Chap.

 1     I|    puérilités du jeune âge ? Je n’en vois pas.~ ~ ~ ~Pour faire parler
 2     I|             vers le solstice, je les vois pénétrer, tantôt l’une,
 3     I|              côté, le ver avance. Je vois courir, avec une belle régularité,
 4     I|            la chute d’un caillou. Je vois les cils se pencher, se
 5    II|             ailes de papillon : j’en vois d’établis au pied de l’étendard,
 6    II|    perpendiculaire à la sphère. J’en vois qui, à demi descendus, agitent
 7    IV|            importe, ils éclosent. Je vois les vermisseaux errer quelques
 8    IV|             fait pour la plupart. Je vois le vermisseau trouer le
 9     V|            Et le petit s’en tire. Je vois les nouveau-nés, serrés
10    VI|            cette arme sauvage ? J’en vois sortir, en temps de réfection,
11    VI|            Criquet. Vingt fois je le vois changer de point d’attaque,
12    VI|  juxtaposition et encollement. Je le vois se soulever à l’une de ses
13    VI|               Ils prospèrent. Je les vois de jour en jour grossir.
14    VI|          puante bête de nos lits. Je vois à cette spécialité un obstacle
15   VII|            devenues cratères, je les vois se poser, enfarinés de jaune.
16   VII|          complément de farine. Je ne vois rien d’autre qui puisse
17   VII|          abeille ? Rien de grave. Je vois des audacieux qui suivent
18  VIII|         morceaux peut-être.~ ~ ~ ~Je vois, au bord du ruisselet, l’
19  VIII|         rayonnement de l’enfance. Je vois nettement en souvenir ce
20  VIII|       indélébile. Malgré les ans, je vois toujours la dalle où sonnaient
21  VIII|       politesse est réciproque. J’en vois qui, sur le point d’émerger
22  VIII|            sont ces vagabondes ? J’y vois des affligées, restées sans
23  VIII|       moments de son poste. Je ne la vois jamais quitter sa maison,
24  VIII|          mûrie par le soleil, je les vois à leur poste, au bout supérieur
25  VIII|             années de file, je ne le vois pas occuper la même parcelle
26  VIII| agglomérations sans nombre ? Je n’en vois qu’une : l’attrait de vivre
27    IX|              sol si favorable que je vois chaque année l’Halicte cylindrique (
28    IX|           donne sur les terriers, je vois les mâles voltiger fort
29    IX|              avait encore montré, je vois les mâles fréquenter l’intérieur
30    IX|            leur petit lever ; je les vois mettre la tête à la lucarne,
31    IX|               sur les centaurées, je vois paraître les premiers mâles.
32     X|              un atome, tel que je le vois en imagination, ne va pas
33     X|            De temps à autre, je leur vois sur le dos une gibbosité
34   XII|             tiennent immobiles. J’en vois qui, doucement, à longs
35   XII|            un peu de la patte ; j’en vois d’associés par couples,
36  XIII|            fêtes au grand air. Je ne vois pas du tout comment un frêle
37  XIII|          procession sans fin, je les vois, très affairées, escalader
38  XIII|            autres processions je les vois redescendre, repues et se
39   XIV|          dents un œuf de Lucilie. Je vois les audacieuses qui viennent
40   XIV|              leur donner, mais je ne vois pas du tout de quelle façon
41    XV|           gonflée et saillante ? J’y vois une poche de débarras où
42   XVI|       comparaison de l’autre ! Je le vois errer sur mes pièces, à
43   XIX|            peux le croire lorsque je vois tout le guêpier périr, victime
44   XIX|        désert. Par une déchirure, je vois grouiller de quoi largement
45   XIX|              dispos, alertes. Je les vois faire des avances à leurs
46    XX|              Ces souffreteux, je les vois refuser la nourriture et
47   XXI|              anneaux cornés ; je les vois humer avec satisfaction
48   XXI|            sous cloche.~ ~ ~ ~Je les vois ramper affairées à la surface
49   XXI|       rejetées.~ ~ ~ ~Eh bien, je ne vois pas autre chose qui puisse
50  XXII|         façon, puis d’une autre ? Je vois les résultats ; je ne comprends
51 XXIII|              que je sache. Je ne les vois pas grossir. Tels ils étaient