Chap.

 1     I|           quinzaine de Cétoines qui viennent de rompre leurs coques dans
 2     I|       interminables ventrées.~ ~ ~ ~Viennent les froids. De nouveau mes
 3     I|            godet de papier. Elles y viennent sans assiduité bien marquée.
 4     I|        fermer, les pôles contraires viennent en contact l’un de l’autre,
 5    II|          récolte à son heure, quand viennent les joies du renouveau.~ ~ ~ ~
 6    II|            combien peu d’élus ! Que viennent faire ici tous ces surnuméraires,
 7   III|         Heureusement des aides nous viennent, plus patients, plus perspicaces
 8     V|       interprétée, donne le branle. Viennent les compilateurs, qui fidèlement
 9    VI|         trépassé. Les araignées qui viennent de capturer dans leur toile
10   VII|            sur le seuil du terrier. Viennent après les fines retouches :
11   VII|         meurtrières en été qu’elles viennent de l’être au printemps,
12  VIII|             Avec l’âge, les regrets viennent, et la vie s’achève en remuant
13  VIII|          sœurs paisiblement vont et viennent, vaquent à leurs affaires,
14  VIII|           de costume frais, vont et viennent sans relâche des terriers
15  VIII|              ruches insensées, nous viennent à l’esprit si l’on sait
16  VIII|             pauvre inspiration. Que viennent faire ici les mollesses
17    IX|       bouffées du mistral.~ ~ ~ ~Là viennent faire la sieste les chats,
18    IX|          paupière à demi close ; là viennent jouer les enfants, en compagnie
19    IX|        repassent les râteleuses qui viennent, après la fenaison, glaner
20    IX|           Oublions un moment ce que viennent de nous apprendre l’Halicte
21    IX|          aucun mâle.~ ~ ~ ~S’ils ne viennent pas visiter les alentours
22    IX|         fleur de terre. Ils vont et viennent, affairés, d’un terrier
23    IX|         femelles à courtiser. Quand viennent les premiers froids, en
24    XI|         gros partants. Quelques-uns viennent prendre un peu le soleil
25   XII|           gramens à l’arbuste quand viennent les beaux jours et la saison
26  XIII|             vaches des fourmis, qui viennent les traire, c’est-à-dire
27   XIV|          nombreuses reprises, elles viennent sur le seuil de la caverne
28   XIV|           de nouvelles pondeuses et viennent au soleil. Ce manège d’entrantes
29   XIV|            vois les audacieuses qui viennent faire butin jusque sous
30   XIV|      pondeuses quittent leur poste, viennent se promener sur la couleuvre
31   XVI|           de rongeurs. Deux espèces viennent à mes appareils en même
32   XVI|           autre, les deux Dermestes viennent à mes terrines dans un but
33   XVI|           précocité printanière qui viennent à mes terrines, se repaître
34   XVI|     présence, les deux forbans, qui viennent de faire ripaille d’une
35  XVII|           et s’y rassemblent. Ils y viennent de loin, de partout à la
36 XVIII|            choses du ménage vont et viennent sans cesse d’une alcôve
37   XIX|    disais-je, les retardataires qui viennent de rentrer donneront aux
38   XIX|         sert d’appât. Les mouches y viennent. Au départ, voyant le jour
39   XIX|           divers étages. Là vont et viennent incessamment les nourrices,
40   XIX|         cité florissante. Plus tard viennent les préoccupations de l’
41   XIX|            sont les plus nombreux ; viennent après les mâles. Que les
42   XIX|          donne sur la cloche. Elles viennent à la lumière, y stationnent
43   XIX|         brusquement succombent. Ils viennent à la surface, se laissent
44   XIX|           malgré le godet à miel où viennent siroter les valides. Vers
45    XX|            mort. Deux autres Guêpes viennent en aide à la meurtrière
46   XXI|           bien tolérés ; mais s’ils viennent aux cellules, ils sont assaillis
47   XXI|            les dédaigneux de tantôt viennent s’abreuver à la blessure
48   XXI|           la Volucelle. Ils vont et viennent à leur guise, sondent les
49   XXI| oscillations de serpent. Les Guêpes viennent de se remplir le jabot à
50   XXI|         ensemble et tantôt isolées, viennent rogner les bords de la cellule ;
51 XXIII|             d’une trouvaille qu’ils viennent de faire sous le couvert