Chap.

 1     I|           Nous voici revenus aux vivres réglementaires, les fruits
 2     I|      évaporation et conserve les vivres frais, reçoit le nourrisson
 3    II|                Comme magasins de vivres, la céréale et la plante
 4    II|          convives. En créant des vivres plus sapides, plus abondants,
 5    II|    premiers touchent presque aux vivres, les seconds en sont distants.
 6    II|    maigre que soit la besace aux vivres, les conviés surabondent.
 7    II|          niche ronde au sein des vivres.~ ~ ~ ~La paix et le bien-être
 8   III|      prospèrent. L’abondance des vivres balance les prodigalités
 9   III|        ponte de l’insecte et les vivres disponibles.~ ~ ~ ~D’ailleurs,
10    IV|       périssent sans toucher aux vivres servis.~ ~ ~ ~La conséquence
11    VI|          sable, et je sers comme vivres ladite Cétoine, commune
12    VI|   suivante, si je renouvelle les vivres, les mêmes massacres recommencent.~ ~ ~ ~
13    VI|        rassemblement il faut des vivres, et copieux. Où sont-ils ?~ ~ ~ ~
14   VII|       des voyages, le monceau de vivres est suffisant dans la cellule.
15   VII|       nouvelles distributions de vivres, car la miche du début me
16   VII|    domestiques, vu la nature des vivres, de conservation plus facile,
17   VII|         atome, confondu avec les vivres restants, fournit aux asticots
18   VII|      asticot malin, aussitôt les vivres consommés, se hâte de déguerpir,
19    IX|        des cellules, amasser des vivres, leur sont occupations totalement
20  XIII|     parfaite dans un gîte où les vivres abondent. Il n’en faut pas
21  XIII|      Avec un peu d’économie, les vivres largement suffiraient jusqu’
22  XIII|         un œuf, un seul, car les vivres ne suffiraient pas à plusieurs.
23  XIII|          n’est guère économe des vivres. Quand il n’y en aura plus,
24   XIV| éprouvettes, en bocaux, avec les vivres nécessaires.~ ~ ~ ~Les œufs,
25   XIV|         buvard. Au-dessus de ces vivres, je dépose quelques plaques
26   XIV|     expliquerait la nécessité de vivres liquéfiés au préalable.~ ~ ~ ~
27   XVI|          dans un bocal, avec les vivres requis, l’Alyde se laisse
28  XVII|          informer d’abord de ses vivres. Lecteur, prenez en pitié
29  XVII|         sous cloche, pourvue des vivres requis, poils de lapins
30  XVII|       tiennent sur le monceau de vivres ; longuement ils consomment,
31  XVII|     fouille, sous le couvert des vivres. À très peu de profondeur
32  XVII|        évidée et à préserver les vivres de la dessiccation. Tête
33  XVII|        autres. Chez eux, plus de vivres emmagasinés à l’avance ;
34  XVII|     nourricier. À mesure que les vivres sont consommés, l’enfoui
35  XVII|          la demeure, nul amas de vivres fait à l’avance, comme le
36 XVIII|          à la larve. Lorsque les vivres sont au complet et que l’
37   XIX|          impatientes d’aller aux vivres. Elles se cognent à la paroi
38   XIX|         froid. En hiver, plus de vivres, plus de fruits sucrés,
39    XX|    souterrain, avec abondance de vivres ! Pourquoi se presser ?
40   XXI|   grenier d’abondance, bourré de vivres par la mort, va devenir
41   XXI|         nœud de la question. Des vivres exquis, abondants, chaque
42   XXI|        trouvent dans ce charnier vivres à leur goût, incessamment
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