Chap.

 1     I|   oscillation, se dressent sur le dos, s’étalent de nouveau, se
 2     I|           l’art de marcher sur le dos, les pattes en l’air.~ ~ ~ ~
 3     I|          longueur, convexe sur le dos, aplati sur le ventre. La
 4     I|           tracassé chemine sur le dos, les pattes en l’air, inactives.
 5     I|    obstinément il se remet sur le dos, obstinément il rampe dans
 6     I|       progression s’y fait sur le dos. Puis le ver pénètre dans
 7     V|       patte les fait choir sur le dos. Pareils à des tortues renversées,
 8    VI|       avec lui cette pièce sur le dos, sur le croupion. On le
 9   VII|        chaise basse au soleil, le dos courbé, les bras sur les
10  VIII|    costume terne et râpé. Sur son dos à demi dépilé, ont presque
11     X|        autre, je leur vois sur le dos une gibbosité monstrueuse
12     X|      portent des havresacs sur le dos.~ ~ ~ ~Les petites tortues
13    XI|         traînée poudreuse de leur dos enfariné, ils ouvrent leurs
14   XII|          d’automne.~ ~ ~ ~Avec le dos d’une aiguille, je leur
15  XIII|      étroitement les flancs et le dos. Pour glisser dans le défilé,
16  XIII|       fait ceinture au travers du dos. Un second trait blanc,
17  XIII|    filiformes, se couchant sur le dos. Enfin les palpes se redressent
18  XIII|        Parfois ils montent sur le dos de l’ennemi, se laissent
19  XIII|     guilleret, va et vient sur le dos du troupeau. Il choisit
20   XIV|      Notonecte qui, couché sur le dos, rame avec deux longs avirons,
21    XV|     Lucilies, rayé de brun sur le dos, marqué sur le ventre de
22   XVI| hérissement de cils noirâtres. Le dos, couleur de poix, porte
23  XVII|       elles-mêmes et polissent du dos la paroi terreuse de leur
24   XIX|        laisse choir, tombe sur le dos, agite un moment le ventre,
25   XIX|           guêpier. Couchée sur le dos, elle a des pandiculations
26   XIX|           glisser, tombent sur le dos et ne se relèvent plus,
27   XIX|       leur toilette. Elles ont le dos poussiéreux. Les bien portantes,
28   XXI|        bougie stéarique. Enfin le dos en est rayé de subtiles
29   XXI|    divergent en éventail ; sur le dos, elles se raccourcissent
30  XXII|          perdu.~ ~ ~ ~Tournant le dos au gibier, l’Épeire fait
31  XXII|         elle fait, elle tourne le dos à l’ouvrage. Cela marche
32 XXIII|          environ, grimpent sur le dos de l’araignée et s’y tiennent
33 XXIII|          pattes et montent sur le dos de la nouvelle mère, qui,
34 XXIII|       Oliv.). Aussitôt délogés du dos de la Lycose leur mère,
35 XXIII|         Épeire se renverse sur le dos et se vautre à la manière
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