Chap.

 1    II|         doucement sollicitée, la plante s’est laissé faire ; elle
 2    II|      végétation spontanée, cette plante origine première du pois ?
 3    II|         vivres, la céréale et la plante potagère sont, pour la majeure
 4    II|     enclos quelques lignes de la plante aimée. Sans autre convocation
 5    II|           et il vient alors à sa plante, un peu de partout, trottant
 6   III|       promenant au soleil sur la plante aimée, elle peut laisser
 7   III|      insuffisantes, parce que la plante du début offrait copieuse
 8   III|          les pois, encore sur la plante, dans leurs cosses ; il
 9    IV|        hors de cause : c’est une plante frileuse qui ne supporterait
10    IV|           Le développement de la plante est au degré requis, si
11    IV|         à proximité immédiate la plante nourricière, ils s’y arrêteront,
12    IV|     Charançon stationnant sur la plante.~ ~ ~ ~Et pourtant la surveillance
13     V|          interroge la pierre, la plante et la bête. Les coquillages
14     V|          et même moins.~ ~ ~ ~La plante bénie des jardins potagers,
15    VI|        moindre souffle d’air. La plante n’est pas plus insoucieuse
16  VIII|       sol natal ; nous sommes la plante qui ne quitte pas sans déchirures
17  VIII| frontières armées de canons ; il plante des poteaux, au pied desquels
18     X|  animales. Il faut recourir à la plante pour s’en faire une idée
19     X|         et devient pareille à la plante originelle. Pour multiplier
20   XII|         moments d’arrêt, cela se plante, un par un, d’ici, puis
21  XIII|     manière. Cela débute dans la plante, officine de cellules où,
22  XIII|      premiers âges admettons une plante pour défricher le roc, un
23  XIII|        puceron pour exploiter la plante. Cela suffit : l’alchimie
24   XIV|         la terre, nourrice de la plante.~ ~ ~ ~
25  XVII|        la fertile humeur, que la plante ne tardera pas à faire rentrer