Chap.

 1     I|           sont donc à distinguer. Celles du printemps, hôtes des
 2     I|           en juin et périr après. Celles de l’automne, passionnées
 3     I|      grosseur d’un œuf de pigeon. Celles de la Cétoine drap-mortuaire,
 4     I|            juxtaposés sans ordre. Celles de la Cétoine métallique
 5     I| magnifiques, robustes à l’égal de celles que j’extrais du terreau.
 6     V|    coloration ajoute ses grâces à celles de la forme. Certains œufs
 7     V|         de fossettes semblables à celles d’un dé à coudre. Tout cela
 8   VII|        menues fossettes rappelant celles d’un dé à coudre. Ici se
 9  VIII|   galeries creusées par d’autres. Celles de l’Halicte zèbre lui conviennent
10  VIII|         dans leur propre domaine, celles qui gardent la manufacture
11  VIII|          de calamités pareilles à celles qui, trop souvent, le dépeuplent
12    IX|         surabondance de preuves à celles que m’ont données les fouilles.~ ~ ~ ~
13    IX|           toute l’arrière-saison. Celles qui s’aventurent au dehors
14    IX|          ou point leurs terriers. Celles qui sortent ne manquent
15    IX|   cellules natales. Au contraire, celles de l’Halicte zèbre déménagent,
16    IX|        depuis l’automne, sortent, celles de l’Halicte cylindrique
17    IX|    cylindrique de leurs cellules, celles de l’Halicte zèbre de leurs
18    IX|      zèbre de leurs abris variés, celles de l’Halicte précoce de
19   XIV|       taupe est de quelque durée. Celles du dehors attendent. À nombreuses
20  XVII|        par des épreuves pires que celles d’un essai de digestion.
21 XVIII|     goulot évasé, rivalisent avec celles de l’Eumène d’Amédée, il
22 XVIII|    hexagones, au sujet surtout de celles de l’Abeille, disposées
23   XIX|  inférieurs sont plus grandes que celles des gâteaux supérieurs ;
24   XIX|          et des mâles, tandis que celles des étages d’en haut servent
25   XIX|          les ailes et le ventre ; celles d’avant passent et repassent