Chap.

 1    XI|        mon cabinet, devant une fenêtre, à quelques pas des vitres
 2    XI| onduleux, tous vont droit à la fenêtre, où l’illumination est plus
 3    XI|        dirige toujours vers la fenêtre où donne le soleil. Ils
 4    XI|     les autres au soleil de la fenêtre. Affranchis désormais des
 5    XI|     essor par les vitres de la fenêtre. De configuration, de couleur
 6    XI|        prisonniers derrière la fenêtre sont en travail de parturition
 7    XI|        sont dans l’angle de la fenêtre. Des pucerons ailés s’y
 8    XI|    voici les croisillons de la fenêtre peuplés d’une vermine trottinante
 9    XI|        plus rien ne bouge à la fenêtre : la légion est morte. Avant
10    XI|       de la famille. Devant ma fenêtre, les jeunes se déposent
11    XI|        prisonniers derrière la fenêtre fermée. Là, n’importe la
12   XII|      devant les carreaux de ma fenêtre. Son heure venue, la parturition
13    XV|     visite. Si j’expose sur la fenêtre un morceau de viande de
14    XV|        boucherie exposé sur la fenêtre, devant ma table de travail,
15    XV|        à l’appât déposé sur la fenêtre.~ ~ ~ ~À l’improviste, elle
16    XV|       vient de le faire sur ma fenêtre ? Que de chiens crevés,
17    XV|       table, à trois pas d’une fenêtre ouverte, uniquement éclairée
18    XV|      dirigent à l’opposé de la fenêtre ; ils fuient à la hâte,
19    XV|    volte-face à l’opposé de la fenêtre ; obstinément elle déjoue
20    XV|        alors très bien vers la fenêtre ; mais l’écran enlevé, aussitôt
21    XV|       dans mon cabinet par une fenêtre ouverte, et cette lueur
22   XXI|       sur une table, devant la fenêtre.~ ~ ~ ~Allant d’une cellule