Chap.

 1     I|        le secours des yeux, on voit le ver qui fiente par intervalles
 2    II|       emplacement fixe ; on la voit un peu de partout à la surface
 3     V|      intérieur de la coque, se voit toujours, après l’éclosion,
 4   VII|      devine plutôt qu’on ne le voit, tant il est délicat. Son
 5   VII|       de l’Halicte sont, on le voit, des ouvrages dispendieux
 6  VIII|     vieux, date d’hier ; on le voit, on le touche.~ ~ ~ ~En
 7  VIII|        ma vie.~ ~ ~ ~L’Halicte voit de même tel brin d’herbe
 8  VIII|      sa tournée aux fleurs, on voit une sorte de trappe, qui
 9    IX| révéler. Les femelles que l’on voit voler au-dessus des terriers
10     X|   émigration d’automne. Qui le voit pour la première fois et
11     X|        Une loupe attentive les voit poudrés d’un soupçon de
12    XV|         Ces dernières, cela se voit, seraient descendues plus
13   XVI|     tendre. Un des gloutons le voit, prudemment se rapproche
14  XXII|      du suaire, la proie ne se voit plus.~ ~ ~ ~L’araignée se
15  XXII|        fonctionne, l’Épeire ne voit pas ce qu’elle fait, elle
16  XXII|     Épeire fasciée, est, on le voit, ouvrage de haute et complexe
17 XXIII|      distance de l’orifice. On voit briller dans l’ombre ses
18 XXIII| semblables à des diamants ; on voit bâiller ses puissants crocs
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