Chap.

 1     I|     le ver a la moitié de sa grosseur finale. L’idée me vient
 2     I|    des ovoïdes presque de la grosseur d’un œuf de pigeon. Celles
 3   III|      la première en date. Sa grosseur exceptionnelle et son agréable
 4   III| semences en sont de médiocre grosseur, bien inférieures à celle
 5   III|    multiplicité, soit par la grosseur des graines. Comme exploitation
 6    IV|    vertes encore et de toute grosseur.~ ~ ~ ~Je mets dans une
 7   VII|      en est qui dépassent en grosseur la Guêpe ordinaire ; d’autres
 8   VII|     fait un pain rond, de la grosseur d’un pois. À l’inverse des
 9     X|      de ces pochettes, de la grosseur à peu près d’un grain de
10     X|   comparables de forme et de grosseur à un pépin de raisin. Comme
11     X|     jaune pâle, variables de grosseur, depuis celle d’une cerise
12   XIV|    de chair musculaire de la grosseur d’une noix et tari de son
13   XIV|     Coupée en morceaux de la grosseur d’une noisette et soumise
14  XVII|     blancs, globuleux, de la grosseur d’un grain de plomb pour
15 XVIII|     La mignonne pièce, de la grosseur d’une cerise, ne comporte
16  XXII|     forment un globule de la grosseur d’un pois. Voilà le trésor
17  XXII|      huit œufs blancs, de la grosseur d’un noyau de cerise.~ ~ ~ ~
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