Chap.

 1   XIV|            d’une taupe morte, d’une couleuvre lapidée, victime l’une et
 2   XIV|             l’a rejetée au loin. La couleuvre, réveillée par la douce
 3   XIV|           appareils de cadavres. La couleuvre, le lézard, le crapaud sont
 4   XIV|         Voici maintenant une grosse couleuvre. Roulée en volute serrée,
 5   XIV|         viennent se promener sur la couleuvre en attendant que les ovaires
 6   XIV|             à l’instant même sur la couleuvre de ma terrine. Le nombre
 7   XIV| préparatoire. Si le cadavre, taupe, couleuvre ou autre, laissé en plein
 8   XIV|         cette fois, est une superbe couleuvre d’Esculape, longue d’un
 9   XIV|         mortuaire où se distille la couleuvre. Attendons une semaine ou
10   XVI|     grouillante vermine, une grosse couleuvre se liquéfie. La terrine
11   XVI|            convient de les voir. La couleuvre est noyée dans le bouillon
12   XVI|           jours après, soulevons la couleuvre. D’asticots, il n’y en a
13   XVI|         autour de la taupe et de la couleuvre mortes ; mais, tenus à l’
14  XVII|           pêle-mêle de vertèbres de couleuvre rangées en file, de mâchoires
15  XVII|        haillons de sa fourrure ; la couleuvre s’est excoriée en lambeaux
16  XVII|    victuaille connue, la peau de la couleuvre, tannée par l’asticot et
17  XVII|             périt par l’asticot, la couleuvre par le dermeste, comme nous-mêmes…