Chap.

  1     I|           distance des vivres, le ver doit éclore. Pour atteindre
  2     I|           suivre la croissance du ver, j’installe ma trouvaille
  3     I|      racornie, immangeable, et le ver périrait, incapable de mordre
  4     I|            Mais, pour convenir au ver, le mets racorni doit longtemps
  5    II|       figues sèches, pour tuer le ver, disent-ils. Au champ, vers
  6    II|           qui sera la ration d’un ver.~ ~ ~ ~Essayons d’entrevoir
  7   III|           du 17 avril, a donné le ver le 15 mai. Cette lenteur
  8   III|     famille du Géotrupe.~ ~ ~ ~Le ver de ce dernier a les pattes
  9   III|         estropié de naissance. Le ver du Minotaure, malgré l’étroite
 10   III|    Travaillée par la digestion du ver, la colonne alimentaire,
 11   III|          la matière végétale ; le ver, incomparable triturateur,
 12   III|          logique, conviendrait au ver, désireux d’un souple matelas
 13   III|        prévisions font erreur. Le ver rétrograde au bout inférieur
 14   III|        affiné dans l’intestin, le ver crépit la paroi sablonneuse.
 15   III|    conserves étant la ration d’un ver, le total de la nitée est
 16    IV|       famille.~ ~ ~ ~Or jamais le ver, si débile d’estomac en
 17    IV|       usage en les desséchant. Le ver est lent à se développer ;
 18    IV|       préparer est la ration d’un ver, absolument d’un seul. La
 19     V|  grassouillet, ami du repos, leur ver craint le déplacement :
 20     V|           se dessèchent, celui du ver ne se dessèche pas ; et
 21     V|            Toujours est-il que le ver se badigeonne avec une glu
 22     V|           informer de la voie, le ver est une série de vagues
 23     V|        industrie particulière, le ver s’habille de glu rien qu’
 24     V|          d’un pinceau, je lave un ver dans quelques gouttes d’
 25     V|        gomme arabique. Je mets le ver se ressuyer sur du papier
 26     V|    Quelques minutes, je laisse le ver cheminer à sa guise. Il
 27     V|          vernis dont se couvre le ver du Cione est un fluide visqueux,
 28     V|          chimie qui va suivre, le ver s’expurge au préalable de
 29     V|        visqueux dont s’habille le ver ne se dessèche pas, condition
 30     V|      résultat d’une oxydation, le ver, visqueux dès sa naissance
 31     V|          façon rapide, lorsque le ver se prépare à changer de
 32     V|     desséchant que travaillait le ver lorsque ses pauvres chairs
 33     V|        globulaire, une base où le ver puisse prendre appui pour
 34     V|    capacité sera assez grande, le ver se décollera de son enveloppe
 35     V|           la petite tête noire du ver monter et descendre, obliquer
 36     V|         laisse rien à désirer. Le ver exploite son derrière comme
 37     V|          ouvrage. De son côté, le ver du Cione n’utilise rien
 38     V|          importe l’industrie d’un ver infime, à peine connu même
 39     V|          plus que l’Anagallis, le ver ne combine ses plans ; il
 40     V|          dans les flancs mêmes du ver du Cione avant que ce dernier
 41     V|        ses désavantages aussi. Le ver, privé de pattes, ne progresse
 42     V|           est indispensable où le ver puisse se transformer en
 43     V|         tabernacle.~ ~ ~ ~Chez le ver hôte du Verbascum sinué,
 44     V|        les mesquines coques où le ver du Cione périrait de famine
 45     V|      logis. Couché à son aise, le ver a sous la dent nourriture
 46     V|           la cellule. Aussitôt le ver s’agite, frétille désespéré,
 47     V|       vagabonder comme le fait le ver du Cione. Il est au plus
 48     V|        capable de nourrir un seul ver dans son fruit trop petit.
 49     V|     peut-être pas de problème. Le ver du Cione est vagabond d’
 50    VI|          Ayant à parler d’un gros ver, il cite celui du chêne,
 51    VI|      appellation : il faut que le ver soit grassouillet, de taille
 52    VI|        les auteurs avec le fameux ver de Pline, j’en connais une
 53    VI|       tiède pourriture, abonde un ver de la grosseur du pouce.
 54    VI|        bien supérieur au rustique ver du Capricorne. Pourquoi
 55    VI|      premier lieu pour l’étude du ver, dont la configuration m’
 56    VI|     appréciation des mérites d’un ver.~ ~ ~ ~À mon égard, c’était
 57    VI|   maintenant des métamorphoses du ver ; tâchons d’obtenir la forme
 58    VI|          juillet, je surprends un ver qui véhémentement se démène,
 59    VI|      roulements de croupe le gros ver a simplement refoulé autour
 60    VI|         de chaleur étouffante, le ver se dépouille. L’excoriation
 61   VII| cueillette des vivres destinés au ver, cueillette qui se fait
 62   VII|          Quand il amasse pour son ver, l’Onthophage opère comme
 63   VII|      approches de la naissance du ver, est tout surpris du singulier
 64   VII|        cabine.~ ~ ~ ~En outre, le ver nouveau-né m’étonne par
 65   VII|           préalable traverser, le ver continue en certain temps
 66   VII|    Scorpion nous l’a déjà dit, le ver du Minotaure et bien d’autres
 67  VIII|         semaine environ, le petit ver éclôt, tout étrange et paradoxal.
 68  VIII|           rapide dessiccation. Le ver de l’Onthophage exagère
 69  VIII|          je renvoie le lecteur au ver de l’Oniticelle, dont j’
 70  VIII|       tenir sa gibbe d’aplomb, le ver de l’Onthophage se couche
 71  VIII|    Tapotant un peu des palpes, le ver s’informe de la stabilité
 72  VIII|          le ciment ayant cédé. Le ver la reprend des mandibules,
 73    IX|         la campagne me donnent le ver en plein développement.
 74    IX|         paradis nuptial.~ ~ ~ ~Le ver du Hanneton vulgaire, le
 75     X|        travail de l’Abeille et du Ver à soie ; nous avons entendu
 76     X|      contre l’autre. La part d’un ver est de trois graines contiguës.
 77     X|         charnue des capsules ; le ver, de son côté, se nourrit
 78    XI|         une réflexion. Certes, le ver de la Cétoine n’aurait qu’
 79    XI|       mets nouveau.~ ~ ~ ~Pour le ver du Géotrupe c’est une autre
 80    XI|          pas d’ailleurs rares. Le ver, par exemple, du Brachycerus
 81    XI|        mesure des nécessités d’un ver, si j’assouplissais les
 82    XI|       autre arbre est fatal à son ver.~ ~ ~ ~Résumons ces détails,
 83   XII|         la mère, à puiser chez le ver riche pour augmenter l’avoir
 84   XII|         pour augmenter l’avoir du ver pauvre. J’obtenais ainsi
 85   XII|   convient pas à mes projets. Son ver est de constitution trop
 86   XII|          de ses larves : à chaque ver son pain, pétri en forme
 87   XII|         et, maigrement nourri, le ver, assez robuste pour résister
 88   XII|          gavé au degré requis, le ver cesse de manger.~ ~ ~ ~Le
 89   XII|           qui double le volume du ver et amasse les économies
 90   XII|         en mesurerait vingt si le ver s’était nourri à sa convenance,
 91  XIII|           fis la connaissance, le ver estropié avait acquis à
 92  XIII|        fréquemment. Vu de dos, le ver éveille l’idée d’une créature
 93  XIII|          la bosse caricaturale du ver de l’Onthophage, la besace
 94  XIII|     atrophiées et contrefaites du ver du Géotrupe, qui, devenus
 95  XIII|      semble-t-il, fort utiles. Le ver chemine ; il monte et descend
 96  XIII|   escalade.~ ~ ~ ~De son côté, le ver du Scarabée sacré, enclos
 97  XIII|        Myodites subdipterus ? Son ver s’établit, je ne sais comment,
 98  XIII|        une griffette, pourquoi le ver du Géotrupe naît estropié.
 99   XIV|              Il faut y ajouter le ver de terre, le Lombric, rencontré
100   XIV|     divers points et tiraillé, le ver se partage en segments que
101   XVI|          premier établissement du ver. Ces causes d’insuccès s’
102   XVI|       chaire ont parfois abusé du ver de la tombe. N’accordons
103   XVI|          imaginaires horreurs. Le ver du sépulcre est invention
104  XVII|     MOUCHE BLEUE DE LA VIANDE. LE VER~ ~ ~ ~Écloses dans l’intervalle
105  XVII|       mieux qu’à la nutrition. Le ver les implante tour à tour
106  XVII|       dire, sans paradoxe, que le ver de la Mouche bleue digère
107  XVII|        qualité supérieure, car le ver carnivore possède, lui aussi,
108  XVII|      évidence : l’intervention du ver de la Mouche bleue convertit
109  XVII|           rivaliser avec celle du ver. Je possède un flacon de
110  XVII|          estomac de l’asticot. Le ver l’emporte ici sur le porc
111  XVII|        bien pour le dissolvant du ver. Elle se résout en un fluide
112  XVII|        obstacle membraneux que le ver, occupé de son bouillon,
113  XVII|                Pour quel motif le ver abandonne-t-il la carcasse,
114  XVII|     meilleur pour le bien-être du ver et de la pupe, à la condition
115  XVII|       obéir à son inspiration, le ver s’abstient. Je l’élève dans
116  XVII|       couche de sable, la peau du ver durcit et devient un cercueil,
117  XVII|         devoir lui conseiller. Le ver a sa prudence : en prévision
118 XVIII|         et cela se passe quand le ver nage dans les déliquescences
119 XVIII|    asticot de la Mouche grise. Le ver, constamment plongé dans
120 XVIII|     passées de façon normale ; le ver s’est développé en mouche,
121 XVIII|           le parasite a dévoré le ver.~ ~ ~ ~Dans le troisième
122 XVIII|           en pourriture noire. Le ver a donc subi l’inoculation
123 XVIII|          brouet de pourriture, le ver est exposé à de graves périls.
124    XX|   luminosité semblable à celle du ver luisant. Il s’illumine pour
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