Chap.

 1     I|             corselet un faisceau de trois épieux acérés, parallèles
 2     I|        quinzaine de mâles, j’exhume trois femelles au plus. Que sont
 3     I|             d’en rencontrer deux ou trois auprès de la même nubile.
 4     I|         jour.~ ~ ~ ~N’importe : les trois premières épreuves, alors
 5    II|           environ, et le calibre de trois centimètres. S’il est tenu
 6    II|        fonctionnement. À cet effet, trois bambous sont implantés dans
 7    II|            la vérité. Mon édifice à trois bambous m’a valu des moments
 8    II|      Comment fait-il ? L’appareil à trois bambous va nous le dire.~ ~ ~ ~
 9    II|            poussant de sa fourche à trois pointes. Le spectacle du
10    II|             faudrait donc de deux à trois semaines au moins pour creuser
11    II|          douze exactement, groupées trois par trois, ce qui me rendra
12    II|      exactement, groupées trois par trois, ce qui me rendra plus facile
13    II|       recevoir la charge de deux ou trois pilules. Le tout est l’atelier
14    II|            base solide, se dressent trois épieux acérés, les deux
15    II|           le médian court, tous les trois dirigés en avant. À quoi
16    II|     Minotaure fait outil.~ ~ ~ ~Les trois pointes inégales décrivent
17   III|      OBSERVATION~ ~ ~ ~La demeure à trois bambous, d’aménagement si
18   III|           œuf absent s’est présenté trois fois. Le garde-manger était
19   III|        ultérieures. Une émission de trois ou quatre douzaines, c’est
20   III|         mesurant 1,40 m de hauteur. Trois faces sont invariablement
21   III|             quatrième est formée de trois volets égaux que des vis
22   III|            descendue en cave.~ ~ ~ ~Trois mois et plus cette activité
23   III|             terrier. Tantôt deux ou trois pilules suffisent ; tantôt,
24   III|           appareil en dévissant les trois volets mobiles. Mes précautions
25    IV|            mieux et plus vite. J’ai trois cornes qui me serviront
26     V|             la face ventrale.~ ~ ~ ~Trois heures. – Sous l’épiderme,
27     V|             intervalle, s’élaborent trois produits différents : d’
28     V|           coque j’ai compté jusqu’à trois cent vingt et une graines.
29    VI|           en hiver surtout, lorsque trois bûches flambant dans l’âtre
30    VI|            moi. Nous formons à nous trois l’Athénée du village, l’
31    VI|             le fit abattre. Deux ou trois ans après le massacre, je
32    VI|            ils sont plus tolérants. Trois ou quatre jours, à la tombée
33   VII|            ce qu’il était au début. Trois jours plus tard, nouvel
34  VIII|    Onthophage construisent tous les trois, pour la nymphose, une cabine
35  VIII|            bien son nom : il mesure trois pouces de longueur. À quoi
36    IX|         linge noir de façon que, de trois jours, le malade ne puisse
37    IX|         insecte pendant les deux ou trois semaines de sa vie aérienne ?
38    IX|         choc des ondes sonores. Mes trois expérimentés sont d’une
39    IX|         cette éducation pendant les trois ou quatre années nécessaires,
40     X| Approchons-nous. Sur ces capsules à trois valves, que les chaleurs
41     X|           trouve l’insecte sous les trois formes de larve, de nymphe
42     X|            et d’adulte. Chacune des trois loges du fruit contient
43     X|             La part d’un ver est de trois graines contiguës. Celle
44     X|           résulte une loge faite de trois pièces, la centrale figurant
45     X|        brunissent, dessoudent leurs trois valves ; la demeure menace
46     X|             notre insecte, comprend trois espèces d’Iris, outre celui
47     X|             parées d’un mélange des trois teintes. La plante est à
48     X|            les capsules de l’un des trois autres.~ ~ ~ ~Pour quels
49    XI|      mesurant un diamètre de deux à trois travers de doigt. Il y a
50    XI|        grand. Considérons aussi les trois Saperdes mentionnées plus
51    XI|            des siècles. De même nos trois Saperdes et les autres sont
52    XI|    Laurier-Cerise ; pourquoi de nos trois Saperdes, la première exige
53   XII|       commencement d’avril, je fais trois lots de larves de Cétoine
54   XII|        élaboration de l’adulte. Les trois lots sont établis dans de
55   XII|     mandibules, tout au plus.~ ~ ~ ~Trois à quatre mois se passent,
56   XII|            larves soumises, pendant trois à quatre mois, les unes
57  XIII|           leurs sépales répartis en trois catégories de barbiches.
58  XIII|            l’inférieure en comprend trois.~ ~ ~ ~Comme la précédente,
59  XIII|          deux lobes, l’inférieure à trois ; seulement cette dernière
60   XIV|         défile à côté. Un accourt ; trois, quatre autres suivent,
61   XIV|             Ils sont deux, ils sont trois cherchant à détrousser le
62   XIV|       quelle rapidité une équipe de trois ou quatre expurgerait le
63   XIV|         taches brunes. Attaquée par trois ou quatre équarrisseurs,
64    XV|           rare d’en trouver deux ou trois réunis au même gîte. L’assemblée
65    XV|             le moment, j’en connais trois exemples des mieux caractérisés :
66   XVI|         paquet ; leur nombre est de trois cents environ. Si le bec
67   XVI|              Toute la bonne saison, trois mois durant, l’appareil
68   XVI|  interrogeant de la trompe. Deux ou trois semaines, je laisse faire
69  XVII|           déjà parlé d’une ponte de trois cents, relevée œuf par œuf.
70 XVIII|       fournis, elles se classent en trois parts non bien inégales.
71 XVIII|      cadaver equi æque cito ac leo, trois mouches consomment le cadavre
72   XIX|         répartir mes trouvailles en trois catégories. Dans la première,
73   XIX|          livres où j’appris que mes trois catégories étaient connues ;
74    XX|           que je lui connaisse. Ces trois exemples nous disent que
75    XX|           citrina Schaeff.), toutes trois vénéneuses.~ ~ ~ ~En somme,
76   XXI|     anguleux, il interpelle deux ou trois élèves ; il les rudoie quelque
77   XXI|          nous démontrer la règle de trois et les propriétés du triangle,
78  XXII|       soldés, il me restait à peine trois francs par jour, et je devais,