Chap.

 1     I|              pour convenir au ver, le mets racorni doit longtemps se
 2    II|              essais d’évasion. Je les mets en liberté. Ils m’ont appris
 3    IV|           prédilection innée pour tel mets, comment a-t-il abandonné
 4     V|     dissolution de gomme arabique. Je mets le ver se ressuyer sur du
 5     V|               tronque une ampoule, je mets la larve partiellement à
 6    VI|            médite à cette occasion un mets insensé, qui eût fait les
 7    VI|               dîner d’aujourdhui. Le mets extraordinaire consiste
 8    VI|            Pourquoi ne pas essayer le mets tant vanté ? L’occasion
 9    VI|               condiment obligé de nos mets, est le seul appoint qui
10    VI|              de vanille. En somme, le mets vermiculaire est trouvé
11    VI|             tant elle est coriace. Le mets est une fine andouillette
12    VI|               essayons la méthode. Je mets quelques vers des pins dans
13    VI|            que ma trouvaille devienne mets usuel. Probablement même
14   VII|              tandis que la confiture, mets de l’âge faible, est représentée
15     X|           Sous cloche en treillis, je mets le Charançon en présence
16     X|               en rien la nouveauté du mets. Tout lui est bon, venu
17     X|        dégusté, puis s’est retiré. Le mets ne lui convenait pas, et
18    XI|              l’estomac de passer d’un mets à l’autre sans graduelle
19    XI|             est préférable l’immuable mets consacré par les antiques
20    XI|          artifice insensé, servons un mets de notre invention, absolument
21    XI|             pâtée de mes vers. Je les mets ramollir dans l’eau, puis
22    XI|               que soit l’attrait d’un mets nouveau.~ ~ ~ ~Pour le ver
23    XI|               venue. En dehors de ces mets caustiques, dont nulle autre
24    XI|              habitués par degrés à ce mets redoutable ; ils périraient
25    XI|        feuille de laitue ou d’endive, mets nouveaux qui lui font oublier
26    XI|             il trouve sous la dent le mets traditionnel, l’aubier du
27   XIV|                   Je le cueille et le mets dans la volière. Bientôt
28   XIV|     nombreuses. Je les récolte et les mets dans la volière vitrée.
29   XIV| processionnaire des pins doit être un mets bien pimenté. Mes Carabes
30   XIV|          autant ils en consomment. Le mets est très apprécié. Cependant,
31   XIV|        chances de mes trouvailles, je mets à la disposition de ma ménagerie
32   XIV|           ruine odieuse au regard. Je mets fin à l’orgie, crainte que
33   XIV|       Cétoines sont vidées à fond. Le mets est donc trouvé excellent,
34   XIV|             miettes et consommant. Ce mets, peu connu de leur race
35    XV|        Lombric, la Chenille et autres mets favoris alternent dans le
36   XVI|        strictement rapprochées, et je mets une seconde Mouche bleue
37  XVII|               morceau expérimenté, je mets éclore la ponte de la Mouche
38  XVII|             pareil exode. Bien que le mets leur convienne, comme en
39    XX|              deux parts égales que je mets dans deux assiettes profondes,
40    XX|       certains champignons, pour nous mets délicieux. Tel est le plus
41    XX|              de la gueule, appelaient mets des dieux, cibus deorum,
42    XX|             Amanita Cæsarea Scop), ce mets des dieux, l’asticot n’en
43    XX|                qu’elle soit pour nous mets délicieux ou poison, aucune
44    XX|              eau bouillante, c’est un mets dont je n’ai que du bien
45    XX|             si redoutable, dit-on. Le mets fut, sinon excellent, du
46    XX|              de premier ordre dans un mets en général lourd à l’estomac.
47   XXI|              vu des yeux du corps. Je mets en joie mes étourdis en
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