Chap.

 1  VIII|          à élever l’Onitis Bison, venu de Montpellier, j’aurais
 2    IX|         de sottises d’où nous est venu l’art de guérir.~ ~ ~ ~Au
 3    IX|         mot lui était apparemment venu des gens de la campagne,
 4    IX|          que lorsque le repos est venu. Ce n’est pas alors un chant,
 5    IX|          pins, l’insecte est donc venu de loin déposer ici sa ponte.
 6     X|           mets. Tout lui est bon, venu d’un Iris quelconque.~ ~ ~ ~
 7    XI|         avec le premier feuillage venu ; plutôt que d’y toucher,
 8    XI|         terre. C’est un étranger, venu apparemment de l’Amérique
 9    XI|   accepteront-ils le premier bois venu ? Tel est le problème.~ ~ ~ ~
10    XI|          d’autre.~ ~ ~ ~L’appétit venu et la profondeur requise
11   XII|          celles qui, le printemps venu, sirotent et sommeillent
12  XVII|      possède un flacon de pepsine venu de l’École de pharmacie
13  XVII|         appareil à l’autre. Avril venu, les éclosions commencent.~ ~ ~ ~
14   XXI|     Désormais, sans autre conseil venu d’un maître, je devais manier
15   XXI|         en ouragan comme il était venu. Non, ce n’est pas cet homme,
16   XXI|          à me seconder, le moment venu ; chacun regarde, respectueux
17  XXII| salamalecs que le bon Duruy était venu oublier un moment dans mon
18  XXII|             mais, tel qu’il m’est venu, ce bout de ruban m’est
19  XXII|           devant Alésia. Mon tour venu, il me questionne sur l’