Chap.

 1     I|     miettes. Parfois la pâte est fine, presque homogène d’un bout
 2    II|          que je la tapisse d’une fine toile métallique. Cela fait,
 3   III| excellemment travaillées en pâte fine. Elles sont groupées en
 4     V|          de vue nécessaires à la fine anatomie. Toujours est-il
 5     V|        longtemps vêtu, non d’une fine tunique de glu, mais d’un
 6    VI|         coriace. Le mets est une fine andouillette enveloppée
 7    VI|        larves, noyées dans cette fine poussière, rapidement dépérir,
 8   VII|           Elle est enduite d’une fine bouillie verdâtre, demi-fluide
 9  VIII|    nymphe, lorsque se déchire la fine tunique de la forme adulte,
10    IX|        une membrane translucide, fine et souple. L’aspect crayeux
11    XI|  disparaît sous le couvert d’une fine vermoulure, résultat du
12   XIV|        De son côté, avec sa peau fine et nue, la larve obèse de
13   XVI|   pourrait au plus s’engager une fine aiguille. Lorsque l’appât
14  XVII|          se résout simplement en fine purée.~ ~ ~ ~D’autre part,
15  XVII|       milieu de la vermine. Leur fine peau suffit à les protéger.~ ~ ~ ~
16  XVII|       cru. La chair est blanche, fine, à demi translucide, de
17 XVIII|         le pygmée. Seule la peau fine de l’asticot se prête à
18 XVIII|   Sont-ils simplement réduits en fine poussière par l’écrasement ?
19    XX|        regard prendrait pour une fine marmelade d’abricots. L’