Chap.

 1    IV|        et tu resteras ce que tu étais lorsque fut descendue en
 2    VI|      passants, parmi lesquels j’étais, et des mieux assidus. Le
 3    IX| aiguilles vertes des pins. Si j’étais propriétaire, j’aurais médiocre
 4   XVI|        vu la mère opérant, je n’étais pas là au moment requis ;
 5   XIX|          en effet, tandis que j’étais en extase devant ses œufs,
 6   XXI|       fut court et fructueux. J’étais initié. Désormais, sans
 7   XXI|         mon brevet supérieur. J’étais libre. Quelques semaines
 8   XXI|         moi événement majeur. J’étais entré dans l’officine du
 9   XXI|       de la bombe au vitriol, j’étais envoyé à Carpentras, comme
10   XXI|      fut pénible, débordé que j’étais par le trop grand nombre
11   XXI|    surcroît de pensionnaires. J’étais lancé. Le temps et l’indomptable
12  XXII|      défigurer tous, ah ! que j’étais loin de soupçonner mon futur
13  XXII|    fâcheuse, je m’informe. Je n’étais pas habitué à pareille sollicitude
14  XXII|      avaient vite convaincu : j’étais mûr pour la rude vérité.
15  XXII|        grand-route. Oh ! oui, j’étais mûr pour la vérité lorsque
16  XXII|     trouvée faite à point, je n’étais plus d’âge à la cueillir.~ ~ ~ ~
17  XXII|      compagnon du personnage. J’étais un peu le chien de saint
18  XXII|    Vingt-quatre heures après, j’étais dans le cabinet de M. Duruy.
19  XXII|        compagnie du ministre, j’étais introduit dans un petit