Chap.

 1    II|   nous parlaient autrefois le Scorpion et l’Araignée ; ainsi nous
 2   VII|    œuf que du nouveau-né ? Le Scorpion languedocien nous fournit
 3   VII|    supplément d’extension. Le Scorpion nous l’a déjà dit, le ver
 4    IX|     articles de la queue d’un scorpion, le dard compris, serrés
 5    XV| tolérance remet en mémoire le Scorpion languedocien, qui, les noces
 6    XV|       la Mante religieuse, du Scorpion languedocien et du Carabe
 7 XVIII|    occupais alors du venin du Scorpion languedocien et de son action
 8 XVIII|      tant qu’on laisserait le Scorpion agir à sa guise. Je désirais
 9 XVIII|      Comment s’y prendre ? Le Scorpion n’a pas de récipient ampullaire
10 XVIII|        Il m’est fourni par un Scorpion mort et déjà desséché. Un
11 XVIII|       moins des résultats. Le Scorpion lui-même, blessant de son
12 XVIII|     artifice dépasse celui du Scorpion.~ ~ ~ ~À nombreuses reprises
13 XVIII|    vient que le réel venin du Scorpion est ici hors de cause. Ce
14 XVIII| recommence avec les pinces du Scorpion, pinces dont le contenu
15 XVIII| analogue n’est attribuable au Scorpion, qui localise son venin
16 XVIII|      avons vu, à la piqûre du Scorpion, même répétée plusieurs
17 XVIII|      peu sensible au venin du Scorpion, ne résiste pas mieux à
18 XVIII|     que provoque la piqûre du Scorpion. Par ses effets convulsifs,