Partie,  Chap.

 1   1,       I|           Je songeais aussi à ma pauvre Cécile, la fille du père
 2   1,       I|    Cécile, et j’étais sûr que la pauvre fille souffrait autant que
 3   1,      II|          nous.~ ~ ~ ~Un jour, le pauvre sergent qui se croyait bien
 4   1,       V|    apprêtaient à le soulever, le pauvre lieutenant murmura :~ ~ ~–
 5   1,       V|         dans le tas…~ ~ ~ ~Notre pauvre lieutenant vivait toujours
 6   1,       V|     comptâmes vingt-trois… Notre pauvre compagnie avait été, on
 7   1,      VI|      instant, je n’étais qu ’ un pauvre conscrit, qui saluait encore
 8   1,     VII|         loin nous apercevions le pauvre sergent qui faisait de grands
 9   1,    VIII|         obtenir un morceau de la pauvre bête.~ ~ ~ ~Cabassou, notre
10   1,    VIII|          des rats dans le dos du pauvre garçon, avec défense de
11   1,       X|     Hurtu, qui avait remplacé ce pauvre Postel à notre compagnie,
12   1,      XI|        ne pouvait plus fumer, le pauvre capitaine, il perdait la
13   1,     XII|             Notre cantinière, la pauvre « Finette », était malgré
14   1,     XII|          ce qui lui restait à la pauvre « Finette », mais le précieux
15   1,     XII|        était qu’illusoire, et la pauvre bête maigrissait à vue d’
16   1,     XII|    fourrage, mais on sait que le pauvre sergent n’entendait rien
17   1,     XII|          la tête décharnée de la pauvre bête, et lui parlait doucement,
18   1,     XII|     appelait, le caressait et le pauvre animal, à la voix de sa
19   1,     XII|           et nous entraînâmes la pauvre femme vers sa voiture aux
20   1,     XII|   affamés s’étaient jetés sur le pauvre Marengo qu’ils découpaient
21   1,     XII|    cadavre…~ ~ ~– Marengo !… mon pauvre Marengo ! ne cessait de
22   1,     XII|          songeait toujours à son pauvre Marengo, dont il ne restait
23   1,    XIII|          en puis plus ».~ ~– Mon pauvre Blanchonnet, soupira la
24   2,      II|        en rester beaucoup de ton pauvre 48e .~ ~ ~– Nous sommes
25   2,      IV|   reconnus l’écriture de Cécile… Pauvre Cécile ! elle ne m’avait
26   2,      VI|         plus navrante agonie. Le pauvre Romieu, qui allait certainement
27   2,      VI| gravement atteint, qui, comme le pauvre Romieu, rendit l’âme, huit
28   2,    VIII|       tout ce qui reste de notre pauvre compagnie déjà si éprouvée…~ ~ ~ ~
29   2,      IX|      était bien mal en point, le pauvre Rebattel ! Son visage, encore
30   2,      IX|            Il tourna vers moi sa pauvre face ravagée où seuls ses
31   2,      IX|     cherchai encore des yeux mon pauvre ami, puis je sortis. Je
32   2,      IX|         avais jamais été si ému… Pauvre Rebattel !… oui, il avait
33   2,      IX|        étais aux premiers rangs… Pauvre Empereur !… qu’il était
34   2,       X|     ambulance où se trouvait mon pauvre Rebattel.~ ~ ~– Si tu veux
35   2,       X|       était parti tranquille, le pauvre ami, certain que nos armées
36   2,      XI|      allions entreprendre.~ ~ ~ ~Pauvre Rebattel ! Je lui dois de
37   2,      XI|        de parler avec lui de mon pauvre ami.~ ~ ~ ~J’avais plus
38   2,     XIV|             Mort !~ ~ ~– Ah ! le pauvre gars !… et glorieusement ?~ ~ ~–
39   2,     XIV|     Finette avait compris.~ ~ ~– Pauvre gars ! murmura-t-elle. Et
40   2,     XIV|        le vin qu’elle versait au pauvre sergent, mais, pour l’amour
41   2,     XIV|       cœur, en murmurant :~ ~ ~– Pauvre ami !… pauvre ami !… je
42   2,     XIV|  murmurant :~ ~ ~– Pauvre ami !… pauvre ami !… je croyais cependant
43   2,      XV|      général de division !~ ~ ~ ~Pauvre Empereur ! Au moment où
44   2,      XV|     Finette… ça commence mal… Le pauvre Empereur, il aura bien de
45   2,      XV|         ça… Quand Théophile, mon pauvre mari, est mort à Iéna, eh
46   2,      XV|         de ma personne, mais mon pauvre Manjoux était parmi les
47   2,      XV|      éteinte avec la mort…~ ~ ~ ~Pauvre Manjoux !… Il avait l’âme
48   2,     XVI|          sanglant. Comme moi, le pauvre garçon oublie ses blessures ;