Partie,  Chap.

 1   1,       I|       pensant à ma Cécile, et j’étais sûr que la pauvre fille
 2   1,       I|    dormir et se battre.~ ~ ~ ~J’étais vite devenu le point de
 3   1,       I|         coups de coude. Comme j’étais de fort méchante humeur,
 4   1,       V|         il l’adossa.~ ~ ~– J’en étais sûr, balbutia le blessé
 5   1,       V|    blessé d’une voix éteinte… J’étais marqué… adieu, camarades !…~ ~ ~
 6   1,      VI|            Pour l’instant, je n’étais qu ’ un pauvre conscrit,
 7   1,      VI|       ni à Austerlitz… moi, j’y étais, et ça chauffait quasiment
 8   1,      VI|        Je te reconnais, toi… tu étais à Marengo… Et il avait passé,
 9   1,      VI|      occis le plus de Russes… J’étais à côté de toi, et j’ai bien
10   1,    VIII| désillusion, et l’idée que je m’étais faite de l’Empereur se trouva
11   1,       X|        Hein ?… vous voyez que j’étais bien renseigné. »~ ~ ~Nous
12   1,       X|         sergent avait raison. J’étais non seulement ridicule avec
13   1,    XIII|         J’observai Napoléon ; j’étais tout près de lui, et je
14   2,       I|   recrues. Pour ces conscrits j’étais maintenant un vieux grognard…
15   2,       I| maintenant un vieux grognard… j’étais celui qui revenait de Russie,
16   2,       I|        chauffait si fort à X… j’étais là. »~ ~ ~Cet orgueil militaire
17   2,       I|      aussi courageux qu’elle… J’étais là quand on lui a fait l’
18   2,       I|  regardait et je t’assure que j’étais plus ému qu’elle… Quand
19   2,     III|        tiré à côté…~ ~ ~– Et tu étais du nombre ?~ ~ ~ ~Le caporal
20   2,      IV|      excité, moi aussi.~ ~ ~ ~J’étais maintenant soldat dans l’
21   2,      IV|    péquins ».~ ~ ~Maintenant, j’étais grenadier et, qui plus est,
22   2,      IV|         injures qu’il savait. J’étais souvent fort gêné d’être
23   2,      VI|     connais ça… À Spandau, où j’étais prisonnier avec une centaine
24   2,     VII|       de mon gilet un écu que j’étais parvenu à conserver et le
25   2,    VIII|         te voilà, mon brave… Tu étais à Leipzig ?~ ~ ~– Non, monsieur
26   2,      IX|      distinguer encore.~ ~ ~ ~J’étais devenu un vrai grognard.~ ~ ~ ~
27   2,      IX|     rude éducateur, mais je lui étais reconnaissant de l’intérêt
28   2,      IX|         de grand frère.~ ~ ~ ~J’étais rentré à l’ambulance où
29   2,      IX|      des fenêtres du château… J’étais aux premiers rangs… Pauvre
30   2,       X|          j’te disais bien que j’étais foutu… Ça se sent ces choses-là…
31   2,       X|  partirais le premier, car je m’étais habitué à considérer Rebattel
32   2,       X|       satisfaisait qu’à demi. J’étais, on l’a vu, devenu un fanatique
33   2,      XI|        c’était un exil que je m’étais imposé volontairement pour
34   2,      XI|      vivace maintenant que je n’étais plus entraîné dans la ruée
35   2,      XI|  officiers.~ ~ ~ ~Un jour que j’étais assis prés d’un champ d’
36   2,      XI|      beaucoup connu Rebattel, j’étais heureux de parler avec lui
37   2,     XII|        recommanda le silence. J’étais tout près de lui, et je
38   2,    XIII|        servir (à ce moment je n’étais pas encore dans la Garde)
39   2,    XIII|    avait l’air de me dire que j’étais bon à rien, quoi ! C’est
40   2,     XIV|         l’École militaire, où j’étais caserné, il arrivait chaque
41   2,     XIV|       bon camarade… et puis, tu étais son ami.~ ~ ~ ~Elle ne prononça
42   2,      XV|     rêvé plus de dix fois que j’étais mort, et vous voyez, je
43   2,     XVI|      les champs en marécages. J’étais monté à côté de la Finette
44   2,    XVII|     comprit sans doute que je n’étais pas disposé à me laisser
45   2,    XVII|         autorités nationales. J’étais fondé à en espérer le succès,
46   2,    XVII|        derniers adieux…~ ~ ~ ~J’étais revenu à Paris, et je suivais
47   2,    XVII|    aviez données un zèle dont j’étais seul l’objet ; que vos succès
48   2,   XVIII|  Empereur, mais peu à peu, je m’étais pris à l’aimer et je l’aimais