Partie,  Chap.

 1   1,       I|           crainte d’être arrêté un beau matin, et conduit comme
 2   1,      II|          le général Dorsenne, le « beau Dorsenne », comme on le
 3   1,      IV|            aux œillades de quelque beau sous-officier…~ ~ ~ ~Quand
 4   1,      IV|           approche, et nous avions beau cogner, personne ne consentait
 5   1,      IV|            bandits, et nous avions beau crier : « Vive l’Empereur »,
 6   1,      IV|    demeuraient sans écho.~ ~ ~ ~Le beau soldat de France, naguère
 7   1,       V|           le temps avait été assez beau mais il se gâta vite, et
 8   1,       V|        officiers nous réunirent un beau matin, et l’un d’eux nous
 9   1,       V|       bonne contenance…~ ~ ~ ~On a beau être courageux, quand on
10   1,     VII|             murmura Rebattel… On a beau faire fi de ces machins-là,
11   1,    VIII|     bientôt comme lui ; nous eûmes beau nous déshabiller, secouer
12   1,    VIII|            l’instant d’avant… On a beau ne pas être délicat, il
13   1,      XI|           le temps avait été assez beau et notre mouvement de retraite
14   1,      XI|        emparait d’eux, et on avait beau les secouer, ils se laissaient
15   1,    XIII|           énergie du désespoir. Du beau corps d’armée du maréchal
16   2,      II|         glisser, il aurait fait un beau grenadier, l’animal, avec
17   2,       V| stimulaient de leur mieux. Un très beau et très généreux mouvement
18   2,    VIII|           Napoléon fit preuve d’un beau sang-froid. Voyant que les
19   2,       X|        choses-là… Les médecins ont beau dire… on sait bien… Triste
20   2,    XIII|            avant peu, tu verras un beau duel… Ah ! je ne le ménagerai
21   2,      XV|        avait un peu troublés. On a beau ne pas être superstitieux,