Partie,  Chap.

 1   1,      II|       taille à contraindre la victoire. Quand, à la veille d’une
 2   1,       V|    combat, espérant que si la victoire nous était favorable, nous
 3   1,    VIII|    pouvait nous conduire à la victoire.~ ~ ~ ~Plus tard, cette
 4   1,      XI|     Nous croyons que c’est la victoire… Hélas ! C’est le commencement
 5   2,       I|    quinze ans à des chants de victoire, était maintenant d’une
 6   2,       X|       menés tant de fois à la victoire ne me touchaient guère.~ ~ ~–
 7   2,     XII|    conduits tant de fois à la victoire soulèverait chez les soldats
 8   2,    XIII| drapeaux de votre chef, et la victoire marchera encore au pas de
 9   2,    XIII|   maintenant ne doutait de la victoire.~ ~ ~ ~Manjoux était venu
10   2,     XIV|   était temps qu’il remportât victoire sur victoire.~ ~ ~ ~À l’
11   2,     XIV|     il remportât victoire sur victoire.~ ~ ~ ~À l’École militaire,
12   2,      XV|  Manjoux ne doutait pas de la victoire, mais une conversation que
13   2,      XV|      venait d’apprendre notre victoire de Ligny, commençait cependant
14   2,     XVI|      est toi qui doutes de la victoire maintenant ?~ ~ ~– Que voulez-vous !…
15   2,     XVI|  enfoncés et sabrés.~ ~ ~– La victoire est à nous, dit un blessé,
16   2,     XVI|  tronc d’arbre.~ ~ ~ ~Oui… la victoire est à nous !… Là-bas, les
17   2,   XVIII|     chef qui nous menait à la victoire, et nous ne demandions pas