Partie,  Chap.

  1   1,       I    |               les eût laissés dans le plus complet dénuement si l’un
  2   1,      II    |         encore qu’il devait retrouver plus tard dans ses états-majors.~ ~ ~ ~
  3   1,      II    |                lesquels devenaient de plus en plus nombreux.~ ~ ~ ~
  4   1,      II    |        lesquels devenaient de plus en plus nombreux.~ ~ ~ ~Cette garde
  5   1,      II    |               à l’époque, le terme le plus méprisant qu’un soldat pût
  6   1,      II    |           toujours une des causes les plus constantes du mécontentement
  7   1,      II    |              de marcher librement. De plus, le genou recouvert d’une
  8   1,      II    |               une épaisse jarretière. Plus tard, je m’en aperçus, les
  9   1,      II    |      Alexandre « que Napoléon n’avait plus assez d’argent pour acheter
 10   1,      II    |          empruntées au vocabulaire le plus grossier.~ ~ ~ ~Après chaque
 11   1,      II    |                et qui ne dédaignaient plus de frayer avec nous à condition
 12   1,      II    |       supportés.~ ~ ~ ~Au reste, pour plus de sûreté, Napoléon, sachant
 13   1,      II    |             les troupes ne trouvaient plus à vivre sur le pays épuisé.
 14   1,     III    |               nous ne nous en voulons plus et…~ ~ ~– Quoi, tu as peur,
 15   1,     III    |              épée sous le prétexte le plus futile. Tuer un homme en
 16   1,     III    |               et l’on citait comme le plus habile tireur le général
 17   1,     III    |             tu vas voir… on ne pourra plus les arrêter.~ ~ ~– Sergent,
 18   1,     III    |             gratiné pour un motif des plus futiles. Je l’avais d’abord
 19   1,     III    |       quelques jours, il n’y paraîtra plus. Allons, serrez-vous la
 20   1,     III    |           excités. Une discussion des plus vives ne tarda pas à s’élever
 21   1,     III    |               48e ne nous désignaient plus que sous le nom des deux «
 22   1,      IV    |              avant nous. Il n’offrait plus aucune ressource, et je
 23   1,      IV    |        altérés, nous bûmes sans doute plus que de raison, car lorsque
 24   1,      IV    |            étapes étaient longues, et plus nous avancions plus nous
 25   1,      IV    |                et plus nous avancions plus nous trouvions le pays dévasté.
 26   1,      IV    |              par l’image, n’inspirait plus confiance ; seule la Garde
 27   1,       V    |           rencontrait pour ainsi dire plus d’habitations. Il nous fallait
 28   1,       V    |          présent nous ne connaîtrions plus que les nuits à la belle
 29   1,       V    |              devenait de jour en jour plus sévère, car on craignait
 30   1,       V    |               point qu’ils étaient de plus en plus difficiles à conduire.~ ~ ~ ~
 31   1,       V    |             qu’ils étaient de plus en plus difficiles à conduire.~ ~ ~ ~
 32   1,       V    |              nous renseigner. J’ai su plus tard qu’au moment où nous
 33   1,       V    |            vieille Prussepassa la plus grande partie de l’armée
 34   1,       V    |               que ce groupement offre plus de prise au boulet qui arrive
 35   1,       V    |             en avant, et il ne bougea plus…~ ~ ~– Qu’on le porte à
 36   1,       V    |            mon cœur n’avait pas battu plus fort que d’habitude.~ ~ ~ ~
 37   1,      VI    |              drapeaux et il était, de plus, nécessaire de compléter
 38   1,      VI    |              tel que nous souhaitions plus que jamais de marcher au
 39   1,      VI    |               ne puis oublier que si, plus tard, je suis devenu ce
 40   1,      VI    |               compagnie… ce n’étaient plus des hommes, mais des fauves
 41   1,      VI    |             et ça chauffait quasiment plus dur qu’hier… Alors quoi ?…
 42   1,      VI    |        propagé, mais on n’y attachait plus maintenant le sens péjoratif
 43   1,      VI    |         autant que bien d’autres qui, plus heureux, l’avaient obtenue
 44   1,      VI    |              m’a demandé les noms des plus méritants et, ma foi, j’
 45   1,      VI    |               est toi qui as occis le plus de Russes… J’étais à côté
 46   1,      VI    |            arrche !…~ ~ ~Et Rebattel, plus crâne que jamais, nous entraîna
 47   1,     VII    |              et un cheval, rien n’est plus simple, lorsque l’on est
 48   1,     VII    |              devenait de jour en jour plus grande, et on finit par
 49   1,     VII    |             non, c’était un sentiment plus noble, puisque les jours
 50   1,     VII    |               qui la faisait paraître plus vieille qu’elle n’était.
 51   1,     VII    |               huit jours, quelquefois plus, mais rarement, et ce favori
 52   1,     VII    |              grand Dieu !… Ce n’était plus un homme, mais un paquet
 53   1,     VII    |             clampins… Pas accéléré !… Plus vite, n… de D… !~ ~ ~Notre
 54   1,     VII    |             où la marche devenait des plus difficiles. On nous dit
 55   1,    VIII    |            chevaux étaient infiniment plus fortes que les secours qui
 56   1,    VIII    |          marmite. Nous ne l’appelions plus que Cabassou-le-Rat, et
 57   1,    VIII    |      affreuses bêtes, qui ne trouvant plus rien à manger dans les villes
 58   1,    VIII    |               du centre, qui était la plus forte, suivait les routes
 59   1,    VIII    |            mais j’crois qu’il ne doit plus en rester beaucoup, car
 60   1,    VIII    |            croyions victorieux, et le plus grand des désastres nous
 61   1,    VIII    |      fonctionnaires publics et par la plus grande partie de ses habitants,
 62   1,    VIII    |         conduire à la victoire.~ ~ ~ ~Plus tard, cette impression s’
 63   1,    VIII    |               cette paix ne dépendait plus maintenant du tsar Alexandre,
 64   1,    VIII    |             ordre parmi les troupes ; plus tard, cela devint impossible.~ ~ ~ ~
 65   1,      IX    |                Nous nous excitions de plus en plus, et nous continuions
 66   1,      IX    |             nous excitions de plus en plus, et nous continuions de
 67   1,      IX    |               longtemps nous n’avions plus de chemises, aussi fut-ce
 68   1,      IX    |        mémoire, car nous n’entendîmes plus jamais parler de cette somme.~ ~ ~ ~
 69   1,      IX    |            restons ici dix minutes de plus, dit Rebattel maintenant
 70   1,      IX    |             le sinistre de Moscou, le plus horrible fut certainement
 71   1,      IX    |          telle rapidité qu’il n’était plus possible de les considérer
 72   1,      IX    |                Moscou !… Moscou n’est plus !… je perds la récompense
 73   1,       X    |              à Moscou, qui ne pouvait plus être une base militaire,
 74   1,       X    |              les autres, mais n’osant plus, comme autrefois, s’en prendre
 75   1,       X    |        baptisât de noms d’animaux les plus variés. Il semblait avoir
 76   1,       X    |              de fusiliers. Nous sûmes plus tard qu’il n’y avait rien
 77   1,       X    |              capote était devenue des plus justes, et nous n’arrivions
 78   1,       X    |           justes, et nous n’arrivions plus à la boutonner, mais quand
 79   1,       X    |              officier de hussards. Le plus vexé ce fut le lieutenant
 80   1,       X    |             capitaine. Il se rabattit plus tard sur une peau de mouton
 81   1,      XI    |              les chevaux n’avançaient plus que difficilement, et tombaient,
 82   1,      XI    |           tombaient, parfois, pour ne plus se relever. Notre artillerie
 83   1,      XI    |              et dans une position des plus critiques. Cependant, après
 84   1,      XI    |             brûlant le pont qui avait plus de trois cents toises de
 85   1,      XI    |           Cassoulet, lui, se montrait plus pessimiste… Depuis près
 86   1,      XI    |             noir. Quand il ne pouvait plus fumer, le pauvre capitaine,
 87   1,      XI    |                     Le froid était de plus en plus vif, et j’en ressentais
 88   1,      XI    |             Le froid était de plus en plus vif, et j’en ressentais
 89   1,      XI    |             voit qu’il ne se relèvera plus, on l’achève aussitôt, et
 90   1,      XI    |               des affamés qui ne font plus aucune différence entre
 91   1,      XI    |              Empereur fit une fois de plus preuve de génie. Pour tromper
 92   1,      XI    |              avait emmené avec lui la plus grande partie de ses forces
 93   1,      XI    |               et le combat devint des plus vifs.~ ~ ~– Petit, me dit
 94   1,      XI    |                   Quand ils ne furent plus qu’à vingt-cinq toises,
 95   1,      XI    |            prodiguant aux ennemis les plus basses injures. Le sang
 96   1,      XI    |              ne songions qu’à tuer le plus d’ennemis possible avant
 97   1,      XI    |       Napoléon veut que s’effectue au plus vite le passage de l’armée
 98   1,      XI    |             produisit le spectacle le plus lamentable qu’il soit possible
 99   1,     XII    |            esprit de corps n’existait plus ; nous fraternisions tous
100   1,     XII    |        épuiser, et elle n’aurait même plus la satisfaction de ranimer
101   1,     XII    |           marche.~ ~ ~ ~Nous apprîmes plus tard que notre capitaine
102   1,     XII    |                Il avait d’ailleurs le plus profond mépris pour les
103   1,     XII    |              devenait de jour en jour plus grande. Ce qui restait de
104   1,     XII    |               armée offrait un aspect plus misérable que jamais… Le
105   1,     XII    |            couverte des coiffures les plus bizarres, la barbe longue
106   1,     XII    |           fortune.~ ~ ~ ~Bientôt, les plus sauvages instincts allaient
107   1,     XII    |            plaintes ; rien ne pouvait plus nous émouvoir ; les souffrances
108   1,     XII    |              paralysé ; il ne restait plus que les yeux de vivants,
109   1,     XII    | définitivement, et la bête ne respira plus.~ ~ ~ ~La Finette, tout
110   1,     XII    |                Une roue qui ne tenait plus que par miracle venait de
111   1,     XII    |           Marengo, dont il ne restait plus maintenant qu’une masse
112   1,     XII    |          arrière, et qui n’avançaient plus qu’avec peine, retrouvaient
113   1,     XII    |               tombaient enfin pour ne plus se relever, en poussant
114   1,    XIII    |                   Au découragement le plus profond avait succédé l’
115   1,    XIII    |             selle. Son regard n’avait plus cette acuité qui m’avait
116   1,    XIII    |               époque (nous l’apprîmes plus tard) il venait de recevoir
117   1,    XIII    |                nous marchions avec le plus de rapidité possible, mais
118   1,    XIII    |             mais nous ne les croyions plus. Des murmures couraient
119   1,    XIII    |          reconnaître, doués d’une âme plus forte, se raidissaient ;
120   1,    XIII    |                puis tombaient pour ne plus se relever. Nous n’avions
121   1,    XIII    |             se relever. Nous n’avions plus la force de les soutenir,
122   1,    XIII    |               ces deux mots n’avaient plus aucun sens… C’était une
123   1,    XIII    |            que leurs bottes n’avaient plus de semelles. Quant au petit
124   1,    XIII    |                camarade… je n’en puis plus ».~ ~– Mon pauvre Blanchonnet,
125   1,    XIII    |             dévoré, nous ne pourrions plus nous en procurer un autre,
126   1,    XIII    |               maintenant il n’y avait plus que quelques chevaux qui
127   1,    XIII    |                     Le froid était de plus en plus vif ; par instants,
128   1,    XIII    |             Le froid était de plus en plus vif ; par instants, des
129   1,    XIII    |           maréchal Ney, il ne restait plus que cinq cents combattants ;
130   1,    XIII    |             Victor en comptait un peu plus, un millier peut-être.~ ~ ~ ~
131   1,    XIII    |              une heure, il ne restait plus rien dans le magasin.~ ~ ~ ~
132   2,       I    |         aspect de la capitale n’était plus celui que j’avais connu
133   2,       I    |            horizon s’assombrissait de plus en plus…~ ~ ~ ~De mauvaises
134   2,       I    |              assombrissait de plus en plus…~ ~ ~ ~De mauvaises nouvelles
135   2,       I    |               mille péripéties toutes plus atroces les unes que les
136   2,       I    |      terribles que l’imagination rend plus effarants encore.~ ~ ~ ~
137   2,       I    |             ah bien ouiche ! elle est plus en train que jamais, et
138   2,       I    |               je t’assure que j’étais plus ému qu’elle… Quand la scie
139   2,       I    |              ne me déplaisait pas non plus de troquer mon vilain uniforme
140   2,      II    |              te reconnais… il ne doit plus en rester beaucoup de ton
141   2,      II    |                S’il ne m’en a pas dit plus long, c’est à cause de toi…
142   2,      II    |    protecteurs. Il ne connaissait pas plus que moi le maréchal Ney,
143   2,      II    |               aggrave pas… manquerait plus qu’une fois dans la Garde
144   2,      II    |           fois dans la Garde j’y voie plus assez pour piquer dans l’
145   2,      II    |           enveloppe, et écrivis de ma plus belle main, en modifiant
146   2,      II    |            enveloppes et ne les lâcha plus. Quand nous fûmes dehors,
147   2,      II    |           pieds que je ne les sentais plusdemande plutôt au caporal
148   2,      II    |                    Ravignac n’insista plus. Il prêtait d’ailleurs peu
149   2,     III    |               et d’autres, je ne sais plus bien. Quand les condamnés
150   2,     III    |            vous que moi. Vous n’aurez plus un moment de tranquillité…
151   2,     III    |              avait, en temps de paix, plus de liberté que les autres
152   2,     III    |             faire du fla-fla, rien de plus.~ ~ ~ ~Rebattel protesta,
153   2,      IV    |                 Rebattel ne se tenait plus de joie et fit, ce jour-là,
154   2,      IV    |             en campagne. Je ne rêvais plus que batailles, charges à
155   2,      IV    |               étais grenadier et, qui plus est, caporal de grenadiers
156   2,      IV    |             Nul sort ne me paraissait plus enviable, et je me voyais
157   2,      IV    |            quand Rebattel qui parlait plus fort que moi, en sa qualité
158   2,      IV    |             et bientôt on n’entendait plus que lui. Si quelqu’un s’
159   2,      IV    |               successives fatiguaient plus le soldat qu’un jour de
160   2,      IV    |           mots à un soldat, et allait plus loin s’entretenir avec un
161   2,      IV    |            poste aux armées était des plus rudimentaires. L’Empereur
162   2,      IV    |               mon calme, je ne voyais plus les choses sous le même
163   2,       V    |              donnaient un effectif de plus de cinq cent mille hommes ;
164   2,       V    |           finit par se montrer un peu plus humain.~ ~ ~ ~Je dois dire
165   2,       V    |               jeunes gens ne tenaient plus debout, il me répondait : «
166   2,       V    |   instructeurs ne se montraient guère plus doux pour les conscrits
167   2,       V    |           recrues. Napoléon qui avait plus que jamais besoin d’hommes
168   2,       V    |        désillusion ! Je ne retrouvais plus dans mon nouveau corps cette
169   2,       V    |      seigneurs.~ ~ ~ ~Et rien n’était plus ridicule que de voir ces
170   2,       V    |         maréchal Bessières, un de nos plus vaillants officiers de cavalerie.
171   2,       V    |               langue étrangère, puis… plus rien…~ ~ ~ ~Quand, au matin,
172   2,      VI    |   gémissements.~ ~ ~ ~Et rien n’était plus lugubre que cette plainte
173   2,      VI    |              Jamais je n’ai assisté à plus navrante agonie. Le pauvre
174   2,      VI    |           voix qui s’affaiblissait de plus en plus, les souvenirs qui
175   2,      VI    |              affaiblissait de plus en plus, les souvenirs qui lui tenaient
176   2,      VI    |        formidable, puis on n’entendit plus rien.~ ~ ~ ~Nous écoutions,
177   2,      VI    |               Cet officier, je le sus plus tard, était le général Benningsen,
178   2,      VI    |                    Nous n’étions donc plus que quatre…~ ~ ~ ~Quand
179   2,      VI    |              Dumontel, d’un caractère plus réservé, n’ouvrait la bouche
180   2,     VII    |       arranger.~ ~ ~ ~Il n’en dit pas plus. Peut-être avait-il une
181   2,     VII    |         humides.~ ~ ~ ~Rebattel était plus soucieux que jamais. Quand
182   2,     VII    |           Rebattel lui-même ne disait plus : « faudra voir ».~ ~ ~Je
183   2,     VII    |           mais bientôt ils devenaient plus nombreux, et nous nous retrouvions
184   2,     VII    |            mieux, car nous ne tenions plus sur nos jambes. Épuisés
185   2,     VII    |              blessures, nous n’avions plus cette belle résistance qui
186   2,     VII    |                Restait la question la plus grave : rejoindre les lignes
187   2,     VII    |             forêt) qui était beaucoup plus vaste que nous ne l’avions
188   2,    VIII    |             de paix.~ ~ ~ ~Vous sûmes plus tard qu’à cette époque,
189   2,    VIII    |          maréchal, que nous ne sommes plus bien nombreux à présent190   2,    VIII    |                    Et il ajouta, mais plus bas :~ ~ ~– Tu sais, pour
191   2,    VIII    |            est que l’Empereur ne sera plus… qu’un boulet l’aura envoyé
192   2,    VIII    |          établi sur une colline : ses plus belles troupes occupaient
193   2,    VIII    |         Empereur, le rendit désormais plus prudent, et il ne s’aventura
194   2,    VIII    |          prudent, et il ne s’aventura plus, le soir, dans la plaine,
195   2,    VIII    |        compagnie, qui ne se composait plus que de cinquante hommes,
196   2,    VIII    |              cette minute, je ne sens plus ma blessure… je ne vois
197   2,      IX    |             me semblait maintenant le plus enviable des métiers et
198   2,      IX    |           contraire. J’avais aussi le plus profond mépris pour ceux
199   2,      IX    |          chemins, et ceux qui étaient plus valides que les autres allaient
200   2,      IX    |          instant, et propageaient les plus mauvaises nouvelles. Selon
201   2,      IX    |     pansements de ceux qui étaient le plus gravement atteints.~ ~ ~ ~
202   2,      IX    |               que je ne reconnaissais plus :~ ~ ~– Ah !… c’est toi,
203   2,      IX    |             vous voyez bien qu’il n’a plus que le souffle…~ ~ ~ ~Je
204   2,      IX    |             blessé tant de fois !… Ne plus le voir à côté de moi, ne
205   2,      IX    |             le voir à côté de moi, ne plus entendre sa grosse voix
206   2,      IX    |       comprenant qu’il ne remonterait plus le courant. Le 13, il signait
207   2,      IX    |           jamais de ce qu’il avait de plus cher au monde, l’Empereur
208   2,      IX    |           méfiance persistait, et les plus mauvais bruits continuèrent
209   2,       X    |               voix s’affaiblissait de plus en plus… Ses lèvres remuaient
210   2,       X    |              affaiblissait de plus en plus… Ses lèvres remuaient comme
211   2,       X    |             dit :~ ~ ~– Je ne te vois plusAdieu, mon fils… Tu as
212   2,       X    |            est tout ce qu’il avait de plus cher au monde… il ne pouvait
213   2,       X    |                  Déjà, il ne trouvait plus ses mots, sa voix n’était
214   2,       X    |             ses mots, sa voix n’était plus qu’un souffle…~ ~ ~– Approche-toi…
215   2,       X    |          souffle…~ ~ ~– Approche-toi… plus près… encore plus près…~ ~ ~ ~
216   2,       X    |       Approche-toi… plus près… encore plus près…~ ~ ~ ~À partir de
217   2,       X    |          pauvres yeux qui ne voyaient plus rien, sa main gauche se
218   2,       X    |        blessure ne me faisait presque plus souffrir et je pouvais maintenant
219   2,      XI    |               militaire ne compterait plus…~ ~ ~ ~N’aurais-je pas 
220   2,      XI    |             de mon esprit, redevenait plus vivace maintenant que je
221   2,      XI    |             maintenant que je n’étais plus entraîné dans la ruée folle
222   2,      XI    |          évanouit vite, n’est bientôt plus qu’un souvenir et l’on se
223   2,      XI    |           avions conscience de n’être plus que des figurants destinés
224   2,      XI    |              les armes ne serviraient plus à rien. L’Empereur suivait
225   2,      XI    |               aussi il m’a parlé, pas plus tard qu’hier et il m’a dit…
226   2,      XI    |              Ah ! oui, celui-là a été plus ingrat que les autres, et
227   2,      XI    |             là, et qu’on ne le craint plus, on lui tient la dragée
228   2,      XI    |             pauvre ami.~ ~ ~ ~J’avais plus de sympathie pour un autre
229   2,      XI    |               les revues reprirent de plus belle.~ ~ ~– M’est avis,
230   2,      XI(10)|               si Napoléon se trouvait plus longtemps à la gêne (textuel)
231   2,      XI    |                L’Empereur se montrait plus fréquemment et paraissait
232   2,      XI    |              Certes, mais ce qui sera plus difficile ce sera de débarquer
233   2,     XII    |               produisit, en effet, et plus tôt que nous ne le supposions.
234   2,     XII    |            Livourne. Napoléon n’était plus surveillé que par les officiers
235   2,     XII    |     supérieurs à nous. Ils étaient de plus très susceptibles, ainsi
236   2,     XII    |        communiquai mes craintes était plus confiant que moi.~ ~ ~ ~
237   2,     XII    |                et nous serons bientôt plus de cent mille.~ ~ ~ ~L’Empereur,
238   2,     XII    |              dit-il… nous serons même plus de cent mille…~ ~ ~ ~Nous
239   2,    XIII    |             qui est peut-être une des plus belles que l’Empereur ait
240   2,    XIII    |                Accueilli d’abord avec plus d’étonnement que d’enthousiasme,
241   2,    XIII    |            les grades ne s’obtiennent plus par faveur, mais à la force
242   2,    XIII    |              preuve… nous l’avons eue plus d’une fois sous les yeux :
243   2,    XIII    |             vois-tu, je vise toujours plus haut… ça n’est pas défendu,
244   2,    XIII    |                 Quand elles ne furent plus qu’à une centaine de mètres,
245   2,    XIII    |          faire fusiller quelques mois plus tard. Dès que nous arrivâmes
246   2,    XIII    |          salies, usées qui avaient vu plus d’une fois le feu de l’ennemi.
247   2,    XIII    |               villages comme dans les plus grandes villes, les cloches
248   2,     XIV    |         coalition, de son côté, avait plus d’un million de soldats.
249   2,     XIV    |                  Peut-être eût-il été plus sage de battre en retraite,
250   2,     XIV    |             montraient en général les plus acharnées contre l’Empereur,
251   2,     XIV    |         cheval, et bien qu’elle n’ait plus qu’un bras, faut voir comme
252   2,     XIV    |              l’Empereur, et y en aura plus d’un comme moi… On ne pouvait
253   2,     XIV    |              guère. Il appartenait de plus à cette catégorie de soldats
254   2,     XIV    |           devenus rares !… je n’avais plus que Manjoux aujourdhui
255   2,     XIV    |                      Il s’en repentit plus tard, et l’on se demande
256   2,     XIV    |         revoir… je ne connais presque plus personne parmi tous ceux
257   2,     XIV    |               est tout ce que j’ai de plus cher au monde… je ne peux
258   2,     XIV    |          rendre sinon sobre, du moins plus « décent », car empêcher
259   2,     XIV    |         moment), eh bien, je ne crois plus à l’étoile de l’Empereur…~ ~ ~–
260   2,     XIV    |              il me semble qu’il n’est plus ce qu’il a été… et puis
261   2,     XIV    |               été… et puis il ne peut plus compter sur ses généraux…
262   2,      XV    |               rêves, on n’en finirait plus. Tenez, moi qui vous parle,
263   2,      XV    |            vous parle, j’ai bien rêvé plus de dix fois que j’étais
264   2,      XV    |              on doit y rester… un peu plus tôt, un peu plus tard, ça
265   2,      XV    |               un peu plus tôt, un peu plus tard, ça n’a pas d’importance…
266   2,      XV    |                 Ni dans la mienne non plus, répondis-je…~ ~ ~ ~Nous
267   2,      XV    |          fermer les yeuxManjoux non plus n’arrivait pas à dormir.
268   2,      XV    |              les battrons une fois de plus…~ ~ ~ ~Manjoux ne doutait
269   2,      XV    |             compromettent parfois les plus habiles combinaisons.~ ~ ~ ~
270   2,      XV    |           affaire de Ligny, reprit de plus belle. Une division de l’
271   2,     XVI    |              roulotte s’était enlisée plus d’une fois…~ ~ ~– Ah ! te
272   2,     XVI    |               le crois, mais il n’y a plus parmi les troupes cette
273   2,     XVI    |          défaite dont je m’efforcerai plus loin de retracer les phases.~ ~ ~ ~
274   2,     XVI    |               mais la pluie reprit de plus belle et les éteignit tous.~ ~ ~ ~
275   2,     XVI    |              une pluie qui n’en finit plus…~ ~ ~– C’est la fatalité,
276   2,     XVI    |          direction de la plaine n’est plus qu’un affreux moignon sanglant.
277   2,     XVI    |           Garde.~ ~ ~ ~L’Empereur n’a plus autour de lui que quatre
278   2,    XVII    |              Nous ne pouvions pas non plus nous imaginer qu’il eût
279   2,    XVII    |            sciait, tranchait, avec le plus de rapidité possible. Les
280   2,    XVII    |          leurs balles pour les rendre plus meurtrières.~ ~ ~ ~Je fus
281   2,    XVII    |               de l’ennemi avaient été plus considérables que les nôtres,
282   2,    XVII    |              il comprit qu’il n’avait plus qu’à abdiquer. « On veut
283   2,    XVII    |               je le fais, il n’y aura plus d’armée dans deux jours…
284   2,    XVII    |          chambre rebelle n’existerait plus… mais je ne suis pas revenu
285   2,    XVII    |     abdication nécessaire, il n’avait plus qu’à céder, et il adressa
286   2,    XVII    |          troupes, mais il n’y fallait plus compter. Quelle raison avais-je
287   2,    XVII    |          combattu et qu’il ne verrait plus en nous que des Français
288   2,    XVII    |                    L’Empereur n’avait plus qu’à céder et c’est ce qu’
289   2,   XVIII    |                     Notre place n’est plus ici, Bucaille, nous sommes
290   2,   XVIII    |       mauvaises têtes ». Nous n’avons plus rien à espérer, nos chances
291   2,   XVIII    |        Empereur, mais puisqu’il n’y a plus d’Empereur, nous sommes
292   2,   XVIII    |           aimer et je l’aimais encore plus depuis que je le savais
293   2,   XVIII    |          monde, il a laissé la France plus petite qu’il ne l’avait
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