Chap.

 1    I|        muraille de ce cloître, le maître dont s’honore Pérouse a
 2    I|    reconnais pas non plus pour le maître d’un de ces domaines rustiques,
 3    V|     mosaïste. Or le Tafi était un maître habile. Étant allé à Venise
 4    V|           sourde oreille. Mais le maître ne se lassait point d’appeler.
 5    V| Buffalmacco attendit le départ du maître. Dès qu’il fit jour, le
 6    V|        gloire. Donc, sitôt que le maître fut parti, Buffalmacco se
 7    V|    peignaient, sur les dessins du maître, le bon saint François recevant
 8    V|        par son application, votre maître à tous, s’il n’était point
 9    V|              C’était ainsi que le maître appelait chaque nuit son
10    V|         escalier les pas du vieux maître, l’apprenti tourna le nez
11    V|           jour, et depuis lors le maître n’osa plus l’aller réveiller.~ ~
12    V|          de fait que l’oraison de maître Andrea Tafi était entendue
13    V|          de jouer quelque tour au maître qui se montrait homme juste
14    V|           au petit jour, quand le maître frappa rudement du poing
15    V|           coutume :~ ~ ~« Debout, maître Apollonius ! Debout, les
16    V|       cœur. Depuis huit jours, le maître s’efforçait de bien exprimer
17    V|       Mais, dans le moment que le maître était le plus occupé à cet
18    V|        qui séparait la chambre du maître de celle des apprentis.
19    V|          à San Giovanni.~ ~ ~ ~Le maître qui, dans l’ardeur du travail,
20    V|           dans la fable. »~ ~ ~Le maître discourait en cette manière
21    V|     attaché commença de s’élever. Maître Andrea, se sentant hissé
22    V|         qu’à ce moment la voix du maître s’étranglait tout à fait
23    V|        les rideaux, s’abattit sur maître Andrea qui, pensant étouffer,
24    V|            au lieu de secourir le maître, ils lui demandèrent si
25    V|         tient les pinceaux.~ ~ ~– Maître, dit Apollonius, il faut
26    V|        dans Florence qui pût voir maître Andrea Tafi sans lui éclater
27    V|                         III~ ~ Le maître~ ~ ~ ~Ayant appris l’art
28    V|        abandonna l’atelier de son maître Andrea Tafi et alla s’établir
29    V|        sujet de ces peintures. Le maître, ayant accepté le prix qu’
30    V|      ensemble, voir travailler le maître. Devant ces mères désolées
31    V|            priez de ma part votre maître de venir travailler lui-même
32    V|    ajouta-t-il, vos paroles à mon maître, et il ne manquera pas de
33    V|           au contraire de voir le maître au lieu de l’apprenti.~ ~ ~ ~
34    V|       elle n’eût d’en bas tiré le maître par son manteau et culbuté
35    V|       appelèrent à grands cris le maître qui rentra dans la salle
36    V|    appeler, puisque vous aviez un maître chez vous. Peut-être manquait-il
37    V|           Il vit d’abord le vieux maître Andrea Tafi, de qui il avait
38    V|    battait sa femme.~ ~ ~ ~Il vit maître Simon de Villa, le médecin
39    V|   Buffalmacco avait fait croire à maître Simon de Villa qu’il le
40    V|       porte aux fêtes, se donna à maître Simon pour un diable chargé
41    V|       couvert d’un manteau est un maître peintre, ainsi qu’il a été
42  VII|         bon que lui, parce que le maître est moins bon que le serviteur,
43  VII|        des prisonniers ; pitié du maître du champ que pressent rudement
44  VII|           Et parce que je suis le maître de ceux qui étudient la
45  VII|        donc te reprendre comme le maître reprend l’écolier. Il a
46  VII|          il n’alla pas trouver le maître de la carrière. Et il ne
47  VII|  servantes qui avaient servi leur maître sans recevoir de salaire,
48  VII| misérables. Pourtant la misère du maître est plus cruelle que celle
49   IX|       contrée. Fabio offrit à son maître de payer une grosse rançon,
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