Chap.

 1    I|    ténébreux et muet, quand vous êtes pour lui l’aurore, le chant
 2   II|       pas deviné l’énigme ! Vous êtes, ami Guido, le plus subtil
 3   II|         fit-il en souriant, vous êtes chez vous. Je suis votre
 4    V|         au saint paradis où vous êtes assise dans une chaise d’
 5  VII|          disant :~ ~ ~« Que vous êtes bon, mon Dieu, de faire
 6  VII|          il leur disait : « Vous êtes les préférés de Jésus-Christ. »
 7  VII|                  Mon frère, vous êtes Lucide, et il n’est pas
 8  VII|      dehors avec cet homme. Vous êtes insensé d’exposer ainsi
 9  VII|      suis affligé de ce que vous êtes contristé à cause de moi. »~ ~ ~
10  VII|     autant qu’il me semble, vous êtes belle de visage, bien que
11  VII|       dit :~ ~ ~« Seigneur, vous êtes miséricordieux d’apparaître
12  VII|       méchants. Et par elle vous êtes devenus semblables à cet
13  VII|       plus heureux, puisque vous êtes innocents. Que pour vous
14  VII|      nous”, vous mentez. Et vous êtes le cercueil qui dit : “Je
15  VII|            Vous oubliez que vous êtes nés pauvres et nus. Et Celui-là
16  VII|         seront la loi comme vous êtes devenus la loi quand vous
17  VII|          ne savez point que vous êtes misérables. Pourtant la
18  VII|    courra pas le guilledou. Vous êtes un grand railleur, messer
19  VII|      messer Platon, et vous vous êtes beaucoup moqué du monde.
20  VII|          à vos discours que vous êtes très avancé, messer Subtil,
21  VII|    voudrais bien savoir qui vous êtes. Je suis déchu de ma première
22   IX|         dit :~ ~ ~« Madame, vous êtes ma caution. Il faut que
23   IX| circoncis ne disent pas que vous êtes une mauvaise caution. »~ ~ ~
24   XI|          Je vous devine : vous n’êtes pas philosophe. Occupez-vous
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