Partie,  Chap.

 1    1,     VII|       francs sur la planche, n’était-ce pas le cas de s’acquitter,
 2    1,     VII|     était pas un ami ; à peine était-ce un camarade.~ ~ ~ ~Paul
 3    1,     XII|         et de « convoitise » ? Était-ce une allusion à la pauvreté
 4    1,     XII|      et de défiances.~ ~ ~ ~Qu’était-ce que cette rupture ? avec
 5    1,    XIII|        que cela voulait dire ? Était-ce une allusion ?~ ~ ~ ~Son
 6    1,     XVI|      ravi.~ ~ ~– Là !… fit-il, était-ce la peine de crier comme
 7    1,   XVIII|       est indispensable.~ ~ ~ ~Était-ce un congé ?~ ~ ~ ~M. de Croisenois
 8    2,      II|        d’extraordinaire.~ ~ ~ ~Était-ce enfin l’occasion tant et
 9    2,     III|    sans aide, sans conseils, n’était-ce pas plus beau !~ ~ ~ ~D’
10    2,      VI|   bavardage de son hôte.~ ~ ~ ~Était-ce pure politesse d’amphitryon ?
11    2,    VIII|  plénitude de son sang-froid ? Était-ce supposable ? Cet accent
12    2,     XIV|        témoignage de ses sens. Était-ce bien Norbert qui s’accusait
13    2,     XIV|    génie si supérieur.~ ~ ~ ~N’était-ce pas pour lui, d’ailleurs,
14    2,     XIV|    déployait tant d’adresse, n’était-ce pas une preuve de la plus
15    2,      XV|        absurde étant admise, n’était-ce pas donner l’éveil aux mystificateurs ?~ ~ ~ ~
16    2,      XV|   regarde de tous côtés.~ ~ ~ ~Était-ce donc celui qu’il était venu
17    2,    XVII|   cette terrible soirée.~ ~ ~ ~Était-ce bien elle, Marie, sa femme,
18    2,    XXVI|     abord, elle avait douté. N’était-ce pas le délire encore ?…
19    2,     XXX|     chez lui, dans quel but ?… Était-ce en ami ou en ennemi ? Était-ce
20    2,     XXX| Était-ce en ami ou en ennemi ? Était-ce de son chef, ou l’avait-on
21    2,  XXXIII| monsieur le duc de Champdoce ! Était-ce une plaisanterie ? Que signifiait-elle