Partie,  Chap.

 1    1,      II|  physionomie de M. Mascarot était devenue sérieuse.~ ~ ~– Eh bien !
 2    1,       X|     redressé, son attention était devenue très réelle, sa patience
 3    1,     XIV|              lui, répondit Flavie devenue subitement sérieuse, lui,
 4    1,    XVII|          finir avec une existence devenue intolérable… Car voilà où
 5    1,     XIX|    Champs-Élysées.~ ~ ~ ~Qu’était devenue sa belle impassibilité glaciale,
 6    1,     XIX|          noble comte de Mussidan, devenue la femme du peintre André,
 7    1,      XX|           la cuisinière de Rose – devenue de par le jeune Gaston de
 8    1,    XXII|           ancien cuisinier, était devenue livide.~ ~ ~– Et après ?
 9    1,    XXIV| particularité nous fixera. Qu’est devenue la facture du sieur Van
10    1,    XXIV|         Mme de Bois-d’Ardon était devenue fort pâle, elle frissonnait.~ ~ ~–
11    2,      II|      entendant votre nom elle est devenue plus rouge que la crête
12    2,    VIII|          moi, déshonorée, perdue, devenue la fable du pays ! Et vous
13    2,      XI|       irritation de Norbert était devenue si visible, que Montlouis
14    2,     XII|        une horrible opération est devenue nécessaire.~ ~ ~ ~Octave
15    2,     XII|           s’inclinât, Mlle Diane, devenue Mme de Mussidan, crut distinguer
16    2,     XIV|        explication entre nous est devenue indispensable.~ ~ ~– Une
17    2,      XX|   banquier de notre rue qui était devenue amoureuse de lui, Mlle Martin-Rigal. »~ ~ ~
18    2,      XX|      physionomie du placeur était devenue fort grave.~ ~ ~– J’avais
19    2,    XXIX|                 Mlle Flavie était devenue plus rouge qu’une pivoine.
20    2,    XXXI|           ne sais, répondit Rose, devenue sérieuse, mais à coup sûr
21    2,   XXXIV|                 Mlle Flavie était devenue pourpre.~ ~ ~– Assez, interrompit-elle