Partie,  Chap.

 1    1,      IV|           la Concorde et finit à l’avenue du bois de Boulogne.~ ~ ~ ~
 2    1,      IV|        belle demeure, au coin de l’avenue de Matignon, que le placeur
 3    1,      IV|         Mais voilà qu’au coin de l’avenue, mademoiselle me fait signe
 4    1,    VIII|          Champs-Élysées, près de l’avenue de Matignon.~ ~ ~– Une fameuse
 5    1,      XX|            Breulh-Faverlay occupe, avenue de l’Impératrice, un bel
 6    1,      XX|       Ardon, ayant sa façade sur l’avenue des Champs-Élysées.~ ~ ~ ~
 7    1,      XX|          au coin de la rue et de l’avenue de Matignon, elle m’y trouvera,
 8    1,      XX|    quittaient la contre-allée de l’avenue, ils virent une femme, Modeste,
 9    1,      XX|          Non loin du trottoir de l’avenue de Matignon, du côté du
10    1,      XX|          leur besogne en haut de l’avenue. Cependant, on distinguait
11    1,      XX| éloignaient dans la direction de l’avenue de l’Impératrice, se tenant
12    1,   XXIII|       quitté Modeste, au coin de l’avenue de Matignon, que déjà il
13    1,   XXIII|            rue de Chaillot et de l’avenue des Champs-Élysées, et était
14    1,    XXIV|    aussitôt, comme je traversais l’avenue de Matignon, j’ai aperçu
15    1,    XXVI|            où, et se fait conduire avenue de Lowendal.~ ~ ~ ~Elle
16    2,    XIII|      descendait à cheval la grande avenue des Champs-Élysées, Norbert
17    2,    XIII|        voitures qui sillonnaient l’avenue, cherchant des yeux la calèche
18    2,     XXV|       lancé dans la direction de l’avenue de l’Impératrice, André
19    2,     XXV|          et nous reviendrons par l’avenue de Saint-Ouen et la rue
20    2,  XXVIII|         tout en causant, la grande avenue des Champs-Élysées, et ils
21    2,  XXVIII|           à coup, il entend dans l’avenue, une voix de femme qui crie : «