Partie,  Chap.

 1    1,     III|        voir.~ ~ ~– Ma troisième objection, poursuivit-il, est peut-être
 2    1,     III|   Hortebize, la justesse de ton objection de tout à l’heure. Oui,
 3    1,       V|  connaissait la valeur de cette objection.~ ~ ~– Oh !… fit-il. Une
 4    1,       X|     ajouta, répondant à quelque objection de son esprit :~ ~ ~ ~Négliger
 5    1,     XII|  Mussidan soupira. C’était là l’objection d’André.~ ~ ~– Reconnaissez-le,
 6    1,     XIV|        despotisme n’admet pas d’objection. Si, en présence d’une nouvelle
 7    1,    XXIV|      sans attendre une nouvelle objection d’André, il lui prit le
 8    1,    XXIV|         attendant peut-être une objection ; mais le gentilhomme ne
 9    1,    XXIV|        Diable ! murmura-t-il, l’objection est forte.~ ~ ~ ~Mais André
10    1,    XXVI| est-à-dire de l’argent.~ ~ ~ ~L’objection de Polyte trahit immédiatement
11    2,      VI|  attendit quelques secondes une objection de Mlle Diane ; elle se
12    2,     VII|         plainte ou hasarder une objection ; donc il triomphait.~ ~ ~–
13    2,    VIII|  Sauvebourg allait hasarder une objection, Norbert l’arrêta d’un geste.~ ~ ~–
14    2,       X|       Ils ne firent donc aucune objection, quand en sortant de table,
15    2,     XIV|  crainte terrible glaçait toute objection sur ses lèvres. “– Que je
16    2,     XXI|           André n’avait pas une objection à présenter.~ ~ ~– Raison
17    2,   XXIII|        cependant pas la moindre objection et suivit le jeune M. de
18    2,    XXIV|        ses fabricants ?~ ~ ~ ~L’objection était si forte, elle résumait
19    2,   XXVII|      notre fille…~ ~ ~ ~À cette objection, la physionomie du bon Tantaine
20    2,   XXXII|         de vous revoir…~ ~ ~ ~L’objection était d’une simplicité enfantine,