Partie,  Chap.

 1    1,      IX|    de jeune fille qui est le vôtre ? Avez-vous songé à ce que
 2    1,    XIII|      d’unir ma destinée à la vôtre, je vous ai observée sans
 3    1,     XVI|        Ma vie n’a pas été la vôtre, voilà tout. Vous dépensiez
 4    1,    XVII|      alors, avait soutenu le vôtre, vous me sentiez si convaincu
 5    1,      XX|   aussi bien en cause que le vôtre. Manqueriez-vous de confiance ?~ ~ ~ ~
 6    1,      XX|      il faut qu’elle soit la vôtre.~ ~ ~– Oui, murmura la vicomtesse ;
 7    1,   XXIII|   bon père… vous aimeriez le vôtre, vous !…~ ~ ~Il s’interrompit,
 8    1,    XXIV|    de ma grand-mère et de la vôtre, la marquise d’Arlange ;
 9    2,       I|    calme, à vous de faire le vôtre. Je n’avais pas quinze cents
10    2,      IV|      décide à profiter de la vôtre.~ ~ ~ ~L’autre avait l’air
11    2,      VI|    bien en dire autant de la vôtre.~ ~ ~ ~Norbert et Mlle Diane
12    2,     XVI|      être cher autant que le vôtre… Retirez-vous et ne cherchez
13    2,     XVI|  Quand j’exprimerais tout le vôtre, jusqu’à la dernière goutte,
14    2,     XVI|     risquer ma vie contre la vôtre.~ ~ ~ ~Croisenois dissimula,
15    2,      XX|      qui se trouvera être le vôtre trait pour trait.~ ~ ~ ~
16    2,      XX|        Je la veux égale à la vôtre.~ ~ ~– Soit.~ ~ ~– Compte
17    2,   XXXII|   caractère plus haut que le vôtre, de courage plus grand,
18    2,   XXXII| franchise ne provoque pas la vôtre. J’ai besoin de vous, je
19    2,   XXXIV|     à cette pauvre femme, la vôtre… qui se meurt.~ ~ ~ ~Le