Partie,  Chap.

 1    1,      II|       main bien chère. Sa barbe rude, soigneusement taillée,
 2    1,     VII|     bonne minute, et d’une voix rude me répondit : « Va demain
 3    1,      IX|        marcher. Zora… hein ! un rude nom, n’est-ce pas ? c’est
 4    1,       X|       veuille vous condamner au rude et obscur métier de placeur.
 5    1,     XIX| influence d’école, attaché à la rude tâche quotidienne qui lui
 6    1,   XXIII|           Seulement, sous cette rude enveloppe, se cachent, comme
 7    1,   XXIII|   accoutumée, son air à la fois rude et bon.~ ~ ~– Voilà qui
 8    2,       I|    douairière de Chevauché, une rude et brave femme, disent les
 9    2,       I|    prétendait le condamner à la rude vie des gens de la campagne,
10    2,      VI|                Le coup était si rude, si inattendu, que Mlle
11    2,      VI|         la résignation ; il est rude, il est inflexible, et vous
12    2,     VII|   tentative d’évasion.~ ~ ~ ~Si rude que fût le coup, Mlle Diane
13    2,     VII|       le duc de sa voix la plus rude, mes ordres ne suffisent
14    2,    VIII|       ne passerai pas outre. Si rude que soit mon devoir, et
15    2,      IX|         encore entendre la voix rude de son père, lui disant :~ ~ ~–
16    2,     XIX|       son abîme, le choc fut si rude qu’il faillit être brisé
17    2,     XXX|               Le malheur est un rude maître. Quelques semaines
18    2,   XXXII|       devez en avoir, voilà une rude occasion.~ ~ ~ ~M. Benoît
19    2,  XXXIII|      Mais il avait désormais un rude auxiliaire, un protecteur
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