Partie,  Chap.

 1    1,       I|                Conclu !… c’est un placement.~ ~ ~ ~Paul n’était qu’un
 2    1,      II|          directeur d’un bureau de placement pour employés et domestiques
 3    1,      II|         tenue.~ ~ ~ ~Le bureau de placement et l’hôtel étaient au fond.~ ~ ~ ~
 4    1,      II| ressemblait à tous les bureaux de placement de Paris.~ ~ ~ ~Tout autour,
 5    1,       V|         directeur d’une agence de placement, sise rue Montorgueil, –
 6    1,     VII|          escalier de la maison de placement.~ ~ ~ ~Cette fortune subite,
 7    1,       X|     première salle de l’agence de placement.~ ~ ~ ~Cette clientèle matineuse
 8    1,       X|          directeur de l’agence de placement avait la mine abasourdie
 9    1,     XII|          hasard dans un bureau de placement.~ ~ ~ ~M. de Mussidan crut
10    1,   XVIII|           je fondai mon agence de placement. Un placeur n’inquiète personne…
11    1,   XVIII|           à sa femme : « C’est un placement. » Telle femme qui n’a pas
12    1,     XXI|         le mystère de l’agence de placement, B. Mascarot, admirablement
13    1,   XXVII|         du proverbe, au bureau de placement de la rue Montorgueil.~ ~ ~ ~
14    2,       I|           venu seulement pour son placement. Il comptait profiter de
15    2,     XIX|          le bureau de l’agence de placement.~ ~ ~– Eh ! eh ! fit-il
16    2,     XXV|       tout simplement un agent de placement pour domestiques et employés
17    2,    XXIX|           ainsi dans un bureau de placement, il compromettait sa dignité.~ ~ ~–
18    2,   XXXIV|    établissement prospère pour le placement des domestiques des deux
19    2,   XXXIV|        non seulement du bureau de placement, mais encore de l’hôtel