Partie,  Chap.

 1    1,     VII|       le bras, André étendit le sien plus vivement encore et
 2    1,       X|       du bien d’autrui comme du sien propre. Mis en demeure de
 3    1,     XIV|       de B. Mascarot, devenu le sien ; partons, nous n’arriverons
 4    1,      XX|  disposé d’un secret qui est le sien plus que le nôtre, serait
 5    1,    XXII|     sont tes esclaves… tu es le sien. Tu es dans sa main, mon
 6    1,    XXII|   Ambrosio, lequel n’est pas le sien.~ ~ ~– C’est pourtant vrai !~ ~ ~–
 7    1,    XXII|    goton, qui après tout est le sien, et il voudrait le retrouver.~ ~ ~–
 8    1,   XXIII|       distingué, à donner comme sien à ces créatures qui le grugent
 9    2,       I|      paysan prétendait faire du sien un « monsieur. »~ ~ ~Norbert
10    2,      IV|       le mit en rapport avec un sien ami, lequel, moyennant une
11    2,       V|        terrible qui répondit au sien, et ensuite des aboiements
12    2,    VIII|       sang de mes veines est le sien, le sang des Champdoce !
13    2,      IX| refusait de le reconnaître pour sien, et la bourgeoisie qui,
14    2,      IX|          passa son bras sous le sien, et l’entraîna.~ ~ ~ ~Il
15    2,   XVIII|    ignominie, de recevoir comme sien l’enfant de Georges de Croisenois ?…
16    2,   XVIII|     odieux de l’élever comme le sien ?~ ~ ~ ~Depuis quatre mois
17    2,      XX|       bouche en vous donnant le sien, qui se trouvera être le
18    2,    XXIV|    André passa son bras sous le sien et l’entraîna.~ ~ ~ ~Mais
19    2,    XXXI|       huissier… C’était bien le sien.~ ~ ~ ~Cependant, si vive
20    2,   XXXIV|      fait préparer au-dessus du sien.~ ~ ~ ~La transition était
21    2,   XXXIV|       duchesse, qui devenait le sien, mais la justification de