Partie,  Chap.

 1    1,    VIII| froissement de la robe de la femme aimée.~ ~ ~ ~Penché sur la rampe,
 2    1,     XIV|           ton vieux père, fillette aimée, poursuivit-il, ton meilleur
 3    1,    XVII|          et j’avais une maîtresse, aimée jusqu’au délire, qui se
 4    1,    XVII|   prochaine d’une femme tendrement aimée, que sans vous communiquer
 5    1,     XXV|           maîtresse et qu’il avait aimée à la folie, il ne la reconnut
 6    2,      VI|          qu’elle avait rêvé d’être aimée par Norbert.~ ~ ~ ~Lui se
 7    2,      IX|           pourvu qu’elle se sentît aimée.~ ~ ~– Voyons, père, reprit-elle,
 8    2,      IX|          de Sauvebourg qu’il avait aimée jusqu’au crime, il la haïssait
 9    2,       X|  semblables ? Oh ! oui, je vous ai aimée follement, jusqu’au renoncement
10    2,     XII|          prétend ne tenir la femme aimée que de sa seule et libre
11    2,    XIII|          image de cette femme tant aimée se détachait lumineuse,
12    2,    XIII|      stupide… Jamais je ne vous ai aimée comme à cette heure…~ ~ ~ ~
13    2,     XVI|         Croisenois ne l’avait tant aimée ; elle lui apparaissait
14    2,     XVI|            cette femme qu’il avait aimée jusqu’à lui offrir le sacrifice
15    2,    XXVI|         quand il l’avait connue et aimée. Combien elle semblait pure
16    2,    XXXV|          secret à cette femme tant aimée et si digne de l’être, pendant