Partie,  Chap.

 1    1,      II|         un véritable effroi que trahit aussitôt sa mobile physionomie.~ ~ ~–
 2    1,      IV|        domestiques dans la cour trahit la grande et riche maison.~ ~ ~ ~
 3    1,       V|              Mais son visage ne trahit rien de ses pensées. Son
 4    1,       V|      terne figure du placeur ne trahit la joie qu’il ressentait.~ ~ ~–
 5    1,     XII|       le trait essentiel qui la trahit.~ ~ ~ ~Avec les plus délicates
 6    1,     XXV|          absurde, terrible, qui trahit toujours. Il ne faut pas
 7    1,    XXVI|           L’objection de Polyte trahit immédiatement cette préoccupation.~ ~ ~–
 8    2,       I|        physionomie souriante ne trahit l’orage terrible qui grondait
 9    2,      II|     dont il sangla son limonier trahit sa colère.~ ~ ~– Allons,
10    2,    VIII|        fond du vase. Et rien ne trahit sa présence. Elle n’altère
11    2,      XV|       dire que votre femme vous trahit et se moque de vous avec
12    2,   XVIII|       rendez-moi mon enfant ! » trahit quelque chose de l’horrible
13    2,   XXIII| charitablement que si elle vous trahit, cela va être vraiment fâcheux
14    2,    XXIV|         mouvements, tout en eux trahit l’inquiétude, la contrainte,
15    2,    XXIV|     rouge… hormis cela, rien ne trahit ses intolérables souffrances…