Partie,  Chap.

 1    1,       I|     triomphante.~ ~ ~ ~Paul se taisait. Il eût vu un des barreaux
 2    1,      IX|       fait pas.~ ~ ~ ~André se taisait, indécis. Il était dans
 3    1,     XII|  rougir.~ ~ ~ ~M. de Breulh se taisait, il était confondu, abasourdi.~ ~ ~–
 4    1,     XIV|        doigts.~ ~ ~ ~Flavie se taisait.~ ~ ~ ~Son père, doucement,
 5    1,     XIX| sympathique.~ ~ ~ ~Comme il se taisait, cherchant à se bien rendre
 6    2,       I| Norbert comprenait, et s’il se taisait, c’est qu’il était tout
 7    2,      VI|        de Mlle Diane ; elle se taisait ; il reprit :~ ~ ~– Pour
 8    2,     VII|      retenir.~ ~ ~ ~Norbert se taisait.~ ~ ~– Ainsi, mon fils,
 9    2,     XVI|        sa femme !…~ ~ ~S’il se taisait, c’est qu’il ne voulait
10    2,    XXII|            Le jeune peintre se taisait, épouvanté des souffrances
11    2,   XXIII|            Le jeune peintre se taisait.~ ~ ~ ~Un mot de Croisenois
12    2,     XXV| insigne gredin…~ ~ ~ ~André se taisait, M. de Breulh lui prit familièrement
13    2,  XXVIII|          Comme cependant il se taisait toujours Mlle Flavie répéta
14    2,     XXX|           Si M. de Mussidan se taisait, c’est qu’il ne pouvait
15    2,    XXXV|            Le jeune peintre se taisait. M. de Champdoce reprit