Partie,  Chap.

 1    1,       I|          sans être le dernier des coquins. C’est trop bête, à la fin !~ ~ ~ ~
 2    1,       V|       lutta. Subir la loi de vils coquins abusant d’un secret volé
 3    1,     XII|      fille à de Breulh… Ah !… les coquins qui m’écrivent connaissent
 4    1,     XXI|        Butor donne la pâtée à mes coquins.~ ~ ~ ~Et, se retournant
 5    1,   XXIII|      méchants et coudoyé bien des coquins ; il connaissait de ces
 6    2,      II|           indiscrétion ; j’ai des coquins de rhumatismes qui m’empêchent
 7    2,      VI|         jamais ne font défaut aux coquins à l’affût de l’occasion.
 8    2,    XXII|          d’être misérables !… Les coquins et les méchants, eux, prospèrent
 9    2,    XXVI|         un de ces ignobles et bas coquins !… Non, cela ne se peut !…
10    2,     XXX| surprendre le secret des ignobles coquins. Mais s’il se sentait d’
11    2,    XXXI|         ici ? Qui sait combien de coquins épient sur ma physionomie
12    2,   XXXII|          ignoblement surpris. Les coquins ne s’occupent ni de crimes,
13    2,   XXXII|       impossibilité d’arriver aux coquins par leurs victimes. Je me
14    2,   XXXII|          halte-là, je veille, les coquins sont perdus. Car je les