Partie,  Chap.

  1    1,      II|               Te voici un homme, mon fils, tu ne dois plus compter,
  2    1,      II|               ni plus ni moins qu’un fils de famille. À dix-huit ans,
  3    1,      II|         propre à rien. Si j’avais un fils, eussé-je cent mille livres
  4    1,     III|            ait le droit de se croire fils d’un roi. En second lieu,
  5    1,      VI|        appris tout seul ; je suis le fils de mes œuvres ! »~ ~ ~Hortebize
  6    1,       X|       puissantes le bout de tous les fils que depuis vingt ans, avec
  7    1,       X|           sont ses rapports avec son fils.~ ~ ~– Bien, je vais mettre
  8    1,       X|              famille, vous serez mon fils…~ ~ ~ ~À cette proposition,
  9    1,      XI|            et l’enveloppent de leurs fils sans l’éveiller.~ ~ ~ ~Pouvait-il
 10    1,    XIII|         privations, elle a élevé son fils comme celui d’un bourgeois.
 11    1,     XIV|          occasion telle que bien des fils de famille n’en trouvent
 12    1,    XVII|              prend le mot d’ordre du fils aîné du duc de Sairmeuse,
 13    1,    XVII|           géométrie et d’algèbre des fils de famille qui se moquaient
 14    1,    XVII|        joueur ruiné, un père dont le fils venait de déshonorer le
 15    1,     XXI|           préoccupe la conduite d’un fils prodigue, les familles désireuses
 16    1,    XXII|             sa femme. Ils avaient un fils unique, ils l’ont perdu
 17    1,    XXII|              le duc s’est souvenu du fils de la goton, qui après tout
 18    1,   XXIII|                  Vous connaissez mon fils ?…~ ~ ~Le ton de M. Gandelu,
 19    1,   XXIII|                  Connaissez-vous mon fils ? » devaient éclairer André.~ ~ ~ ~
 20    1,   XXIII|          satisfaction à comparer son fils à un jeune homme dont il
 21    1,   XXIII|            expressions de M. Gandelu fils, hésita quelque peu à répondre.~ ~ ~ ~
 22    1,   XXIII|    véritablement vous croyez que mon fils à moi, Nicolas Gandelu,
 23    1,   XXIII|           honte à ce sot qui est mon fils. Il ne le trouve pas assez
 24    1,   XXIII|            angles. Marquis ! lui, le fils d’un homme qui a servi les
 25    1,   XXIII|           excuser cela. Monsieur mon fils rougit de moi. Porter un
 26    1,   XXIII|        trouverait meilleur d’être le fils d’un gredin titré. Il prétend
 27    1,   XXIII|           terrible moulinet, que son fils jugea prudent de se reculer.~ ~ ~ ~
 28    1,   XXIII|        précipité entre le père et le fils.~ ~ ~– Oh ! ne craignez
 29    1,   XXIII|           avenir de nos enfants. Nos fils, qui devraient être la glorification
 30    1,   XXIII|              monsieur André, est mon fils. Sur la mémoire de sa sainte
 31    1,   XXIII|           heures de souffrances, mon fils ne m’a pour ainsi dire pas
 32    1,   XXIII|              d’être malade, on a son fils près de soi. »~ ~ ~Hélas !
 33    1,   XXIII|              huit jours du prêt, mon fils ne donnera que 20.000 fr.
 34    1,   XXIII|           lui donner confiance ? Mon fils chercha et trouva. Oui,
 35    1,   XXIII|             Oui, c’est alors que mon fils se mit à me parler sans
 36    1,   XXIII| insignifiante, il a dit – devant mon fils qui l’avait suivi – à Clergeot,
 37    1,   XXIII|          cinq minutes plus tard, mon fils reparut heureux, souriant,
 38    1,   XXIII|          négociation fut rompue… Mon fils n’a pas eu ses cent mille
 39    1,   XXIII|    entrepreneur avait espéré que son fils allait demander grâce ;
 40    1,   XXIII|              le noble emploi que mon fils ferait de ma fortune ? Il
 41    1,   XXIII|           lorsqu’il reprochait à son fils le plus odieux des crimes,
 42    1,   XXIII|            et cyniques menaces de ce fils.~ ~ ~ ~Des flots de sang
 43    1,   XXIII|        encore un peu tremblante, mon fils est enfermé à clef dans
 44    1,   XXIII|              comme ça ! Et c’est mon fils ! Ô Françoise ma pauvre
 45    1,   XXIII|       provoque l’interdiction de mon fils. Et après cela, plus un
 46    1,   XXIII|            Elles sont affreuses. Mon fils fera comme il nous a dit,
 47    1,   XXIII|               que le ridicule de mon fils rejaillira sur moi, que
 48    1,   XXIII|          poussé dans l’esprit de mon fils. C’est un enfant, il est
 49    1,   XXIII|           chercher des excuses à son fils.~ ~ ~– Mais en voici assez,
 50    1,     XXV|           Laissez-vous guider, ô mon fils ! laissez-nous mesurer le
 51    1,     XXV|              Ce garçon, qui était le fils d’un cordonnier d’Amiens,
 52    1,     XXV|           nouveau. Paul Violaine, le fils illégitime d’une petite
 53    1,     XXV|            Violaine, de Poitiers, le fils de la petite mercière de
 54    1,     XXV|     rémission. Eternels moutons, les fils d’Abel seront toujours tondus.
 55    1,    XXVI|            assez beau ! On dirait un fils de prince.~ ~ ~ ~Mais le
 56    2,       I|          vers 1840, vivait, avec son fils unique, l’héritier d’un
 57    2,       I|       dimanche, lorsque suivi de son fils il traversait le bourg de
 58    2,       I|            ans mes capitaux. Que mon fils m’imite, et dans cent ans,
 59    2,       I|            ménage, elle lui donna un fils baptisé sous les noms de
 60    2,       I|             pour lui seul.~ ~ ~ ~Son fils, il ne s’en occupait que
 61    2,       I|         faire apprendre à lire à son fils.~ ~ ~ ~Puisqu’il prétendait
 62    2,       I|            oser prononcer devant son fils un mot capable de l’éclairer
 63    2,       I|           faisait accompagner de son fils, c’est qu’il commençait
 64    2,       I|             de l’étude, emmenant son fils.~ ~ ~ ~Ils allèrent remiser
 65    2,       I|       terminé, il ordonna donc à son fils de l’attendre, et s’éloigna.~ ~ ~ ~
 66    2,       I|       Montlouis.~ ~ ~ ~Ce Montlouis, fils d’un des métayers de M.
 67    2,       I|            efforçait de faire de son fils un paysan, le paysan prétendait
 68    2,       I|            amuse ? Dire que tu es le fils d’un grand seigneur, de
 69    2,       I|           pas si heureux que moi, le fils de son fermier ! Enfin…~ ~ ~ ~
 70    2,       I|             auberge, il retrouva son fils à la place où il l’avait
 71    2,       I|            duc de Champdoce et à son fils.~ ~ ~ ~Autre signe : les
 72    2,       I|        jeunes gens de son âge, leurs fils. Toutes les tortures de
 73    2,       I|            pendant que Montlouis, le fils du fermier était au collège.~ ~ ~ ~
 74    2,       I|       pensées et ses espérances à ce fils qui devait être le continuateur
 75    2,       I|        Champdoce s’arrêta devant son fils.~ ~ ~– Ma fortune n’est
 76    2,       I|         revenu. Vous l’entendez, mon fils, un million !…~ ~ ~Norbert
 77    2,       I|                  Ni vous ni moi, mon fils, poursuivait le duc, ne
 78    2,       I|            riche qui vous donnera un fils que vous élèverez à la dure,
 79    2,       I|              vous devrez léguer à ce fils de douze à quinze millions.
 80    2,       I|              laissera lui-même à ses fils une fortune royale. Voici
 81    2,       I|             Vous voici un homme, mon fils, et vous devez vous accoutumer
 82    2,      II|            de frapper le père par le fils.~ ~ ~ ~Cependant, un ouvrier
 83    2,      II|              fière chance d’avoir un fils comme vous. Ah ! j’en sais
 84    2,      II|             président accueillait le fils du duc de Champdoce.~ ~ ~ ~
 85    2,     III|        injurieuse.~ ~ ~ ~Offenser le fils d’un homme qui possédait
 86    2,     III|          apitoyer sur le sort de son fils ? La certitude d’hériter
 87    2,     III|             entendre, sacrifiait son fils.~ ~ ~ ~Sacrifier sa fille
 88    2,     III|                  Il est inutile, mon fils, commença le vieux gentilhomme,
 89    2,     III|             et le plaçant devant son fils, il ajouta :~ ~ ~– Je suis
 90    2,     III|             pu parler longtemps. Son fils écoutait, bouche béante,
 91    2,      IV|           entretien du duc et de son fils. Il était informé des conditions
 92    2,      IV|             hâtait la révolte de son fils.~ ~ ~ ~Souvent, le soir,
 93    2,      IV|             agit d’un mineur qui est fils d’un duc millionnaire. Et
 94    2,      IV|         apparence le plus dévoué des fils, agir en réalité à votre
 95    2,      IV|       sorties et des absences de son fils ; mais, à cent lieues de
 96    2,      VI|            marquis de Champdoce, mon fils.~ ~ ~ ~Il se retourna ensuite
 97    2,      VI|           probité. Dans cent ans les fils de ces gens-là, mieux éduqués
 98    2,      VI|    contradiction.~ ~ ~ ~D’abord, son fils n’eût jamais osé l’interrompre ;
 99    2,      VI|                     Jarnicoton ! mon fils, dit-il, je gagerais bien
100    2,      VI|           pas d’or les poches de son fils, mais le jeune homme ne
101    2,      VI|         avait retrouvé Montlouis, ce fils du fermier de son père qui
102    2,      VI|          Champdoce laissait-il à son fils une liberté si grande ?
103    2,     VII|            le trouble affreux de son fils, et c’est du ton le plus
104    2,     VII|           pas besoin, j’imagine, mon fils, de vous apprendre le nom
105    2,     VII|        chagrin ; il avait réduit son fils unique aux derniers expédients
106    2,     VII|            obéissance passive de son fils, l’obstiné gentilhomme devait
107    2,     VII|             Il saisit la main de son fils, et, la serrant à la broyer :~ ~ ~–
108    2,     VII|           par la fortune ?… Oh ! mon fils, comment avec cette seule
109    2,     VII|             et enfin, revenant à son fils :~ ~ ~– Voilà qui est entendu,
110    2,     VII|              de Champdoce voyait son fils à genoux devant ses moindres
111    2,     VII|                    Réfléchissez, mon fils…~ ~ ~– Toutes mes réflexions
112    2,     VII|              pas toujours été un bon fils ? Vous l’avez reconnu vous-même.
113    2,     VII|               j’y allais. Je suis le fils de l’homme le plus riche
114    2,     VII|             pays, j’ai vécu comme le fils de nos ouvriers, me suis-je
115    2,     VII|                     Depuis quand les fils refusent-ils d’obéir lorsque
116    2,     VII|              Il se précipita sur son fils, le bâton levé, en criant :~ ~ ~–
117    2,     VII|                    Et saisissant son fils par le collet, il le traîna,
118    2,     VII|         avait eu entre le père et le fils une altercation de la dernière
119    2,     VII|              que, dans la vie de son fils, tout un côté existait qu’
120    2,     VII|          savoir les habitudes de mon fils, les maisons qu’il hante,
121    2,     VII|          cela. On vient rejoindre le fils, on trouve le père, le désappointement
122    2,     VII|            monsieur le marquis votre fils que je venais… Vous m’excuserez
123    2,     VII|        raison à me donner.~ ~ ~– Mon fils, mademoiselle, est enfermé
124    2,     VII|        traite avec cette rigueur mon fils unique, l’héritier de ma
125    2,     VII|           qui me convient à moi, mon fils prétend la refuser !… c’
126    2,     VII|          assurer le bonheur de votre fils.~ ~ ~– Son bonheur !… Eh !
127    2,     VII|             C’est un rêve, cela. Mon fils n’est qu’un enfant, mais
128    2,     VII|              conseils ont poussé mon fils à la révolte. Me serais-je
129    2,     VII|              sera. Emprisonnez votre fils, monsieur le duc, livrez-le
130    2,     VII|         ajouta-t-elle, ménagez votre fils, et songez, avant d’attaquer
131    2,     VII|             appela.~ ~ ~– Où est mon fils ? demanda-t-il.~ ~ ~– Là-haut,
132    2,     VII|            lit, et s’adressant à son fils :~ ~ ~– Levez-vous, Norbert,
133    2,     VII|            taisait.~ ~ ~– Ainsi, mon fils, ce sont là les inspirations
134    2,     VII|    Jarnitonnerre ! hurla le duc, mon fils me menace !~ ~ ~ ~Et fou
135    2,    VIII|     malédiction des pères, celle des fils doit aussi porter malheur.
136    2,    VIII|          femme qu’il destinait à son fils. Ce nom devait rester gravé
137    2,    VIII|             avait voulu assommer son fils, et que celui-ci s’était
138    2,    VIII|           pas toute autorité sur son fils ? C’était à supposer. Qui
139    2,    VIII|              encore le visage de son fils lui causait une certaine
140    2,    VIII|             en était pas besoin, mon fils, pour me faire déplorer
141    2,    VIII|            talons.~ ~ ~– Voyons, mon fils, reprit le duc, quelles
142    2,    VIII|             de s’humilier devant son fils… et de s’humilier inutilement.~ ~ ~ ~
143    2,      IX|            mariage de sa fille et du fils du haut et puissant seigneur
144    2,      IX|              mari n’est autre que le fils du duc de Champdoce, M.
145    2,      IX|            duc avait trouvé chez son fils des répugnances pareilles,
146    2,      IX|             séparaient le père et le fils. Il connaissait leur violence
147    2,      IX|            quand il avait frappé son fils, Jean avait été confondu
148    2,      IX|              pas paraître plus qu’un fils désolé, quand arriva le
149    2,       X|              leur annonçait que leur fils, le frère aîné auquel on
150    2,       X|             en conte, je le tiens du fils de la Jubon, que j’ai trouvé
151    2,       X|       Dompair, marquis de Champdoce, fils mineur et légitime de Guillaume-César
152    2,       X|        découvert la tentative de son fils et en abusait-il pour lui
153    2,      XI|           demanda-t-il à Norbert, le fils du comte de Mussidan ?~ ~ ~–
154    2,      XI|        capables d’avoir écrit à leur fils d’accourir, afin de devancer
155    2,      XI|             en face de Montlouis, ce fils du fermier de son père,
156    2,      XI|          énorme qui le séparait, lui fils d’un paysan, n’ayant pas
157    2,      XI|              était assez lié avec le fils du marquis de Sauvebourg,
158    2,      XI|    prononça-t-il, Dieu m’a puni. Mon fils, je vous pardonne.~ ~ ~ ~
159    2,      XI|           renonce à mes projets, mon fils, je ne veux pas que vous
160    2,     XII|         venait de mettre au monde un fils, et chassée par sa famille,
161    2,   XVIII|       marquis de Champdoce, était le fils d’une pauvre fille des environs
162    2,     XIX|            garnement. Élevé comme un fils de prince, ce garçon avait
163    2,     XIX|             le dernier mot.~ ~ ~– Le fils de la Fougerousse mort,
164    2,     XIX|       matérielles, de la mort de son fils.~ ~ ~ ~Cependant il ne confia
165    2,      XX|       Lorgelin, sa femme et ses deux fils.~ ~ ~ ~Ces braves gens seront
166    2,      XX|         famille, la mère et les deux fils – des gars de vingt-cinq
167    2,      XX|           noble client. Il verra son fils sortant enfin des bourbes
168    2,      XX|            Paul est véritablement le fils du duc de Champdoce, affirma-t-il.~ ~ ~ ~
169    2,      XX|           non, celui-ci n’est pas le fils abandonné du duc de Champdoce,
170    2,      XX|           Champdoce retrouverait son fils.~ ~ ~ ~Cela, nous le pouvons,
171    2,      XX|              duc n’a pas même vu son fils lorsqu’il est  ; il a
172    2,      XX|            son père, car Paul est le fils de Montlouis.~ ~ ~– Conclusion,
173    2,      XX|   interrogèrent-ils.~ ~ ~– Lui !… le fils du duc de Champdoce !~ ~ ~ ~
174    2,     XXI|       pouvaient entendre. M. Gandelu fils eut au moins le bon sens
175    2,     XXI|        croyait avoir jugé M. Gandelu fils ; il était resté bien au-dessous
176    2,    XXII|            étendue de ma misère. Mon fils est un malheureux, et j’
177    2,    XXII|           sourire navrant.~ ~ ~– Mon fils est vieuxprononça-t-il,
178    2,    XXII|            une pause M. Gandelu, mon fils est perdu. Je ne puis qu’
179    2,    XXII|                 Qui obtiendra de mon fils un aveu sincère de ses dettes ?…
180    2,    XXII|       monsieur ; je parlerai à votre fils aujourdhui, et à Rose dès
181    2,    XXII|             au feu.~ ~ ~ ~M. Gandelu fils l’examina d’un air comiquement
182    2,   XXIII|        suivit le jeune M. de Gandelu fils qui semblait connaître admirablement
183    2,   XXIII|               comme celui de Gandelu fils.~ ~ ~ ~Il mâchonnait son
184    2,   XXIII|              mieux.~ ~ ~ ~M. Gandelu fils, lui, s’était rapproché
185    2,   XXIII|    seyez-vous.~ ~ ~ ~Mais M. Gandelu fils, lui aussi, était pressé.~ ~ ~–
186    2,   XXIII|         Aussi, voyant que M. Gandelu fils perdait totalement la tête,
187    2,   XXIII|          billets, murmura M. Gandelu fils.~ ~ ~– Ne sais.~ ~ ~– Qu’
188    2,    XXIV|           ton bonhomme, à M. Gandelu fils, vous venez me commander
189    2,    XXIV|       Gandelu ne déshéritera pas son fils pour cela… j’ai l’honneur
190    2,    XXIV|         couturier ?~ ~ ~ ~M. Gandelu fils était absolument rassuré.~ ~ ~–
191    2,    XXIV|            situation, que M. Gandelu fils en fut saisi. C’était une
192    2,    XXIV|            le pistolet !… je suis le fils d’un honnête homme !…~ ~ ~
193    2,  XXVIII|    entrepreneur, en sortait avec son fils, et s’arrêtait pour causer
194    2,    XXXI|        Maintenant, reprit M. Gandelu fils, il s’agit de célébrer la
195    2,    XXXI|       profond mépris pour M. Gandelu fils, que le jeune peintre la
196    2,    XXXI|          effet, suivaient M. Gandelu fils, chargés de mannes immenses,
197    2,    XXXI|         ébahissement, que M. Gandelu fils éclata de rire.~ ~ ~– Pas
198    2,    XXXI|              finir.~ ~ ~ ~M. Gandelu fils, qui n’avait pas la tête
199    2,    XXXI|             vivement, que M. Gandelu fils, se sentant écrasé, se leva
200    2,    XXXI|           des Martyrs, où M. Gandelu fils lui avait dit avoir vu l’
201    2,    XXXI|              c’était bien M. Gandelu fils, mais en quel état !… Pâle,
202    2,    XXXI|              fondre sur M. Gandelu fils. Ce ne pouvait être sa griserie
203    2,    XXXI|            La surprise de M. Gandelu fils fut si forte, qu’il se redressa
204    2,    XXXI|              que de lui dire que son fils est un faussaire. C’est
205    2,    XXXI|         esquiverai…~ ~ ~ ~M. Gandelu fils eut du moins le mérite de
206    2,   XXXII|           pardonna.~ ~ ~ ~Il vit son fils corrigé par cette affreuse
207    2,   XXXII|              de non-lieu !… Mais mon fils ne peut pas rester sous
208    2,   XXXII|            il faut tout prévoir, mon fils partira demain matin pour
209    2,   XXXII|           avant-hier avec M. Gandelu fils, que vous êtes monté en
210    2,   XXXII|         voudraient forcer M. Gandelu fils à partir avec RoseParbleu !…
211    2,  XXXIII|            sans doute vous voir, son fils est tiré d’affaire. Si vous
212    2,   XXXIV|         faire à se préoccuper de son fils… Les autres ne comptent
213    2,   XXXIV|        pense-t-il, le conduire à son fils… Ah ! docteur, cette fausse
214    2,   XXXIV|             repas, il emmènerait son fils.~ ~ ~ ~C’est à onze heures
215    2,   XXXIV|              homme qu’il croyait son fils.~ ~ ~ ~Il racontait ses
216    2,   XXXIV|          jeune homme n’est pas votre fils. Il se nomme Paul Violaine,
217    2,    XXXV|            Enfin, demain, M. Gandelu fils sera remis en possession
218    2,    XXXV|          séparé de vous qui êtes mon fils. Je ne chercherai pas à
219    2,    XXXV|            puis vous reconnaître mon fils. La loi ne me laisse pour
220    2,    XXXV|           que trop, ou renoncer à ce fils miraculeusement retrouvé,
221    2,    XXXV|            disant :~ ~ ~– Venez, mon fils, et qu’il soit fait selon
222    2,    XXXV|            soir-là, en embrassant ce fils tant pleuré, Marie de Puymandour,
223    2,    XXXV|          apprenant qu’André était le fils de Norbert, Mme de Mussidan
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