Partie,  Chap.

  1    1,     III|              qui existent entre Mlle Sabine et le baron de Breulh-Faverlay
  2    1,      IV|       parfois avant le déjeuner Mlle Sabine.~ ~ ~ ~C’est à quelques
  3    1,      IV|             dans la maison, que Mlle Sabine dont le service ne soit
  4    1,      IV|                     D’ailleurs, Mlle Sabine, je peux bien vous confier
  5    1,      IV|                  Bah !… fit-il, Mlle Sabine aurait un amoureux ?~ ~ ~–
  6    1,       V|              M. de Breulh et de Mlle Sabine.~ ~ ~ ~Lorsqu’ils parlaient
  7    1,       V|              jour du mariage de Mlle Sabine avec tout autre prétendant
  8    1,       V|           demoiselle du rang de Mlle Sabine, à son âge, avec son éducation,
  9    1,      VI|              un mois j’ai à peine vu Sabine. J’ai tant d’occupations !
 10    1,      VI|             Ignorez-vous donc que ma Sabine bien-aimée est la plus heureuse
 11    1,      VI|          comtesse, faites prier Mlle Sabine de descendre.~ ~ ~– Mlle
 12    1,      VI|             de descendre.~ ~ ~– Mlle Sabine est sortie, madame la comtesse.~ ~ ~–
 13    1,      VI|             peu étonné.~ ~ ~ ~Quoi ! Sabine de Mussidan, une jeune fille
 14    1,      VI|                     Vous mariez Mlle Sabine, madame la comtesse ? demanda-t-il.~ ~ ~ ~
 15    1,      VI|             avant la fin de l’année, Sabine sera Mme de Breulh-Faverlay.~ ~ ~ ~
 16    1,      VI|          Sairmeuse, danser avec Mlle Sabine.~ ~ ~– C’est juste !… Oui,
 17    1,      VI|              rendues le jour où Mlle Sabine épousera le frère de Georges…
 18    1,      VI|            vous prévient que si Mlle Sabine venait à épouser tout autre
 19    1,      VI|                mais, en ce cas, Mlle Sabine est assez riche pour deux.
 20    1,      VI|             de Mussidan a décidé que Sabine serait la femme de M. de
 21    1,      VI|             essayerai, docteur. Mais Sabine ! qui nous dit que Sabine
 22    1,      VI|            Sabine ! qui nous dit que Sabine n’aime pas M. de Breulh ?~ ~ ~–
 23    1,    VIII|      balbutiant :~ ~ ~– Mademoiselle Sabine… Oh ! vous êtes bien bonne…
 24    1,    VIII|            Merci !…~ ~ ~C’était bien Sabine, en effet, l’unique héritière
 25    1,    VIII|            de Vendôme.~ ~ ~ ~C’était Sabine, une jeune fille naturellement
 26    1,    VIII|              Depuis près de deux ans Sabine et André s’aimaient.~ ~ ~ ~
 27    1,    VIII|              Cette jeune fille était Sabine.~ ~ ~ ~Les chaleurs venues,
 28    1,    VIII|           autre.~ ~ ~ ~Le lendemain, Sabine vint sur le balcon voir
 29    1,    VIII|         Ignorante et inexpérimentée, Sabine pouvait ne pas démêler au
 30    1,    VIII|        Bientôt cet isolement parut à Sabine la plus énorme des inconvenances
 31    1,    VIII|            mais chevaleresque.~ ~ ~ ~Sabine fut émerveillée de cet héroïsme
 32    1,    VIII|         horreur le foyer domestique, Sabine était aussi abandonnée qu’
 33    1,    VIII|              se trouvait la tante de Sabine :~ ~ ~– Prenez garde à vous,
 34    1,    VIII|           tes regards jusques à Mlle Sabine de Mussidan. D’où t’es venue
 35    1,    VIII|            est qu’il ne verrait plus Sabine.~ ~ ~ ~Sa mâle énergie ne
 36    1,    VIII|          cela ? fit-elle. Est-ce que Sabine est ma fille ? Tout ce que
 37    1,    VIII|           plus glacée qu’une statue, Sabine était devant lui.~ ~ ~–
 38    1,    VIII|       cerveau, il voulut s’éloigner, Sabine le retint.~ ~ ~– Vous désespérez
 39    1,    VIII|         répondit : Oui.~ ~ ~ ~Jamais Sabine n’avait été si belle. Ses
 40    1,    VIII|             l’autre.~ ~ ~ ~Peut-être Sabine réussit-elle à ramener la
 41    1,    VIII|            deux cent mille livres, à Sabine, directement.~ ~ ~ ~Par
 42    1,    VIII|              perdait pas la tête, et Sabine et André le comprenaient
 43    1,    VIII|          André redoublait d’énergie, Sabine tenait toutes ses promesses.~ ~ ~ ~
 44    1,    VIII|              s’il l’eût fallu.~ ~ ~ ~Sabine, à son tour, avait donc
 45    1,    VIII|              que celle qui entourait Sabine dans l’humble logis de l’
 46    1,      IX|            pour mon portrait ?~ ~ ~ ~Sabine de Mussidan était belle ;
 47    1,      IX|         libertin.~ ~ ~ ~La beauté de Sabine était de celles qui empruntent
 48    1,      IX|              aux boues de la terre ; Sabine emportait l’âme vers le
 49    1,      IX|             serge, et le portrait de Sabine apparaissait en pleine lumière.~ ~ ~ ~
 50    1,      IX|          attire et qui charme.~ ~ ~ ~Sabine resta une minute immobile
 51    1,      IX|             alors…~ ~ ~ ~D’un geste, Sabine l’interrompit !~ ~ ~– Vous
 52    1,      IX|           punis pas, André, répondit Sabine. Vous avez voulu mon portrait,
 53    1,      IX|               il faut choisir.~ ~ ~ ~Sabine se recueillit un instant.~ ~ ~–
 54    1,      IX|         traverser son cerveau.~ ~ ~– Sabine, se dit-il, est partie à
 55    1,      IX|          reconnut, il devina plutôt, Sabine et sa femme de chambre.~ ~ ~ ~
 56    1,      IX|              admirait la démarche de Sabine, sa distinction, la façon
 57    1,      IX|           une pile électrique.~ ~ ~ ~Sabine et Modeste arrivaient alors
 58    1,     XII|             avec sa dévouée Modeste, Sabine ne prononça pas un mot.~ ~ ~ ~
 59    1,     XII|                     Dès neuf heures, Sabine, retirée dans sa chambre,
 60    1,     XII|           son gré. C’est une erreur. Sabine ne l’ignorait pas.~ ~ ~ ~
 61    1,     XII|                Le temps pressait, et Sabine se reprochait amèrement
 62    1,     XII|         approche, lorsque apercevant Sabine sur les dernières marches
 63    1,     XII|        ordres.~ ~ ~ ~Sur un signe de Sabine, un des valets de pied avait
 64    1,     XII|                  Où voulait en venir Sabine ? Son esprit s’égarait en
 65    1,     XII|   Mademoiselle… commença-t-il.~ ~ ~ ~Sabine l’interrompit.~ ~ ~– C’est
 66    1,     XII|        Breulh était si évidente, que Sabine en fut émue.~ ~ ~– Croyez,
 67    1,     XII|         ironie qui blessa et révolta Sabine.~ ~ ~ ~Elle se retourna
 68    1,     XII|             entière.~ ~ ~ ~Il aimait Sabine, et il l’aimait depuis longtemps.
 69    1,     XII|              les épaules et expliqué Sabine d’un seul mot : romanesque.~ ~ ~ ~
 70    1,     XII|            demoiselles élevées comme Sabine au noble et moral couvent
 71    1,     XII|            cet autre, demanda-t-il à Sabine, comment vous est-il possible
 72    1,     XII|              détournée les amours de Sabine, il ne se serait pas retiré.
 73    1,     XII|                    À l’exaltation de Sabine avait succédé cette prostration
 74    1,     XII|           arrière-pensée ? Non. Mais Sabine ne s’en inquiéta même pas.~ ~ ~–
 75    1,     XII|              vous avez choisi ?…~ ~ ~Sabine rougit excessivement.~ ~ ~ ~
 76    1,     XII|              une phrase sans blesser Sabine.~ ~ ~ ~Voici que maintenant
 77    1,     XII|              cérémonieusement devant Sabine, s’excusa de l’avoir involontairement
 78    1,     XII|              Celui-là aussi, pensait Sabine, est digne d’être aimé !…~ ~ ~
 79    1,     XII|             agité qu’il ne salua pas Sabine.~ ~ ~– Quelle émotion, disait-il,
 80    1,     XII|           tremblante que la feuille, Sabine avait tout entendu. Ses
 81    1,     XII|          dans le petit salon de jeu, Sabine écoutait toujours.~ ~ ~ ~
 82    1,    XIII|         hôpital. Il faut aussi doter Sabine ; je la doterai richement,
 83    1,    XIII|          jusque dans les entrailles. Sabine est-elle ma fille !…~ ~ ~
 84    1,    XIII|        défendre ?~ ~ ~– Je défendrai Sabine, à tout le moins.~ ~ ~ ~
 85    1,    XIII|              sanglots avaient cessé. Sabine avait eu la force de se
 86    1,    XIII|               la femme de chambre de Sabine, Modeste, pâle et effarée,
 87    1,   XVIII|            le million de dot de Mlle Sabine, vous laisserez rire.~ ~ ~ ~
 88    1,   XVIII|           rupture du mariage de Mlle Sabine et de M. Breulh-Faverlay.
 89    1,   XVIII|         médecin, on te laissera voir Sabine.~ ~ ~ ~Le docteur se hâtait
 90    1,     XIX|        Mussidan, après sa promesse à Sabine, M. de Breulh-Faverlay ne
 91    1,     XIX|               Certes, il aimait déjà Sabine, le jour où il avait demandé
 92    1,     XIX| excentricités des filles. Est-il une Sabine, parmi ces extravagantes
 93    1,     XIX|             Breulh n’en voulait ni à Sabine, ni à cet autre dont il
 94    1,     XIX|         gémissait, voilà tout.~ ~ ~ ~Sabine avait bien jugé, lorsqu’
 95    1,     XIX|                Détacher sa pensée de Sabine lui était aussi impossible
 96    1,     XIX|              de l’étaler aux yeux de Sabine.~ ~ ~ ~À quatre heures du
 97    1,     XIX|       imaginer l’homme distingué par Sabine de Mussidan en blouse, allant
 98    1,     XIX|       annoncé une démarche décisive, Sabine l’avait quitté en lui disant : «
 99    1,     XIX|                 Il ne doutait pas de Sabine, il eut douté de soi avant ;
100    1,     XIX|      parfaitement. Il comprenait que Sabine avait prononcé son nom et
101    1,     XIX|           que de prononcer le nom de Sabine. Il ne vit que la violence
102    1,     XIX|            feindre, cependant ; Mlle Sabine m’a tout confié, tout, entendez-vous
103    1,     XIX|          hier, sur la prière de Mlle Sabine, j’ai retiré la demande
104    1,     XIX|                  Si l’homme que Mlle Sabine me préfère est digne d’elle,
105    1,     XIX|          dire… Je renoncerais à Mlle Sabine plutôt que d’accepter votre
106    1,     XIX|        est-à-dire que j’arriverais à Sabine dépouillé de ma seule noblesse,
107    1,     XIX|              ami.~ ~ ~ ~Ainsi, comme Sabine, il disait : Nous. Ce que
108    1,     XIX|             il savait maintenant que Sabine n’avait pas rencontré d’
109    1,     XIX|        frappa pas. Il ne songea qu’à Sabine.~ ~ ~– Une lettre !… s’écria-t-il
110    1,     XIX|                  Mais ce n’était pas Sabine qui avait tracé les caractères
111    1,     XIX|           vous faire savoir que Mlle Sabine a bien réussi pour vous
112    1,     XIX|            foudroyèrent André.~ ~ ~– Sabine malade !… balbutiait-il,
113    1,     XIX|             oreilles de la Poileveu, Sabine trop malade pour pouvoir
114    1,     XIX|             la petite dame s’appelle Sabine. Joli nom !… Ah !… elle
115    1,      XX|         restait une espérance.~ ~ ~ ~Sabine était malade, mourante,
116    1,      XX|        semblait que si véritablement Sabine était mourante, les pierres
117    1,      XX|         a-t-il ? demanda-t-il.~ ~ ~– Sabine se meurt, répondit le jeune
118    1,      XX|            qu’a-t-elle, cette pauvre Sabine ?~ ~ ~– Je l’ignore, et
119    1,      XX|       informée de la maladie de Mlle Sabine, c’est bon signe. En tout
120    1,      XX|           des nouvelles de la pauvre Sabine. Vous aviez prévu l’effet
121    1,      XX|         cette fatale rupture. Pauvre Sabine !… Elle en m’a pas reconnue
122    1,      XX|       extraordinaire qu’il portait à Sabine ?~ ~ ~– Mon Dieu !… répondit-elle
123    1,      XX|              a dit que la maladie de Sabine fût causée par la rupture
124    1,      XX|              ont été très vagues. Si Sabine ressemble à une morte, Octave
125    1,      XX|             abord, toute la matinée, Sabine a paru si extraordinairement
126    1,      XX|              demi-heure environ avec Sabine. Où est-elle allée en vous
127    1,      XX|       extrêmement attachée, Modeste. Sabine avait la figure absolument
128    1,      XX|            courut à elle. Trop tard. Sabine est tombée à terre en poussant
129    1,      XX|           scènes décrites, il voyait Sabine à terre, il la voyait sur
130    1,      XX|              pendant cette scène que Sabine est arrivée mourante dans
131    1,      XX|              histoire de André et de Sabine, et la sienne aussi.~ ~ ~ ~
132    1,      XX|              adorée maîtresse.~ ~ ~ ~Sabine n’avait pas repris connaissance.
133    1,      XX|              encore, la situation de Sabine resta la même. André menait
134    1,      XX|         avait cessé, mais maintenant Sabine se débattait contre les
135    1,      XX|             M. de Breulh. L’idée que Sabine se mourait peut-être, et
136    1,      XX|   probablement, assurait le salut de Sabine, alors seulement le placeur
137    1,     XXI|              cher marquis et de Mlle Sabine.~ ~ ~– Amen, répondit le
138    1,   XXIII|        précautions.~ ~ ~ ~L’idée que Sabine de Mussidan était sauvée
139    1,   XXIII|              pensée à ce portrait de Sabine qu’il cachait à tous les
140    1,    XXIV|            la dernière, adieu !…~ ~« Sabine »~ ~ ~ ~Si M. de Breulh
141    1,    XXIV|           est vrai, quand je croyais Sabine mourante, je pleurais comme
142    1,    XXIV|                Ma noble et vaillante Sabine n’est pas de ces filles
143    1,    XXIV|              à remettre le billet de Sabine.~ ~ ~ ~Avertie de la résolution
144    1,    XXIV|    poursuivait-il, que tant que Mlle Sabine a eu le délire, M. et Mme
145    1,    XXIV|             depuis qu’il connaissait Sabine.~ ~ ~ ~Il se rappelait jusqu’
146    1,    XXIV|         Êtes-vous convaincu que Mlle Sabine m’aime ?~ ~ ~– Oh !… du
147    1,    XXIV|              Votre mariage avec Mlle Sabine était comme arrêté…~ ~ ~–
148    1,    XXIV|      contrainte est purement morale. Sabine n’en souffrirait pas d’autre,
149    1,    XXIV|    répondit-il, rien pour le moment. Sabine me conjure de l’oublier,
150    1,    XXIV|            il y ait un cadavre entre Sabine et moi, les taches de sang
151    1,    XXIV|          femme de l’aristocratie que Sabine, et, selon lui, toutes devaient
152    1,    XXIV|         cruellement significative de Sabine et lui exposa presque mot
153    1,    XXIV|              la main de cette pauvre Sabine, à quoi la devrait-il ?
154    1,    XXIV|               je pensais à vous et à Sabine.~ ~ ~– Oh !… en ce cas,
155    1,     XXV|      héritière existe, et elle a nom Sabine de Mussidan. Elle aime,
156    1,     XXV|              qui devait épouser Mlle Sabine, M. de Breulh-Faverlay.~ ~ ~ ~
157    1,     XXV|             un coup du génie de Mlle Sabine. Enfin le fait est là. Et
158    1,     XXV|            niais vaniteux a parlé de Sabine.~ ~ ~ ~Dès lors, tout était
159    1,     XXV|             de Champdoce et celle de Sabine, se tiennent. Je les ai
160    1,    XXVI|            apprendre, sinon que Mlle Sabine était d’une tristesse morne.~ ~ ~ ~
161    1,   XXVII|          Triste, mais résignée. Mlle Sabine n’a jamais été d’une gaîté
162    1,   XXVII|              marquis sera le mari de Sabine qu’ils en seront encore
163    2,       I|             son bien à sa nièce Mlle Sabine.~ ~ ~ ~De l’autre côté de
164    2,     XIX|          donnera la main de sa fille Sabine à qui nous voudrons…~ ~ ~ ~
165    2,      XX|           société et sera le mari de Sabine de Mussidan.~ ~ ~ ~La nuit
166    2,     XXI|             jour où il avait reçu de Sabine cette lettre déchirante
167    2,     XXI|              Mussidan, et par contre Sabine, étaient victimes de quelque
168    2,     XXI|     défendait ; plus encore… c’était Sabine, son amour, son bonheur.~ ~ ~ ~
169    2,     XXI|            son mal… L’idée de perdre Sabine suffirait pour troubler
170    2,    XXII|               Distraire sa pensée de Sabine, menacée du plus effroyable
171    2,   XXIII|          couteau, allait contraindre Sabine de Mussidan à lui abandonner
172    2,    XXIV|           murmura André, elle…~ ~ ~– Sabine, monsieur André, est sublime…
173    2,    XXVI|             comte et la comtesse, et Sabine ayant jugé que son devoir
174    2,    XXVI|             honneur « de la famille, Sabine est sublime d’abnégation. »~ ~ ~
175    2,    XXVI|        horreur du péril qui menaçait Sabine.~ ~ ~ ~Cette troisième lettre
176    2,    XXVI|              précédait la chambre de Sabine, encore bien malade, que
177    2,    XXVI|          crime son indifférence pour Sabine !…~ ~ ~D’ailleurs, il ne
178    2,    XXVI|            la porte de la chambre de Sabine ouverte, pour répondre si
179    2,    XXVI|              étaient arrivés jusqu’à Sabine.~ ~ ~ ~D’abord, elle avait
180    2,    XXVI|             honneur du nom, si elle, Sabine, ne consentait pas à épouser
181    2,    XXVI|          mariage de Croisenois et de Sabine.~ ~ ~ ~En second lieu, il
182    2,    XXVI|        suprême catastrophe.~ ~ ~– Et Sabine, reprit-il, ma fille, une
183    2,    XXVI|            Le comte se retourna vers Sabine qu’il enveloppa d’un regard
184    2,    XXVI|           attendri, chère bien-aimée Sabine !…~ ~ ~L’exemple de tant
185    2,   XXVII|              accorde la main de Mlle Sabine, sa fille, à M. le marquis
186    2,   XXVII|           prenez-les, et laissez-moi Sabine. Je vous offre la dot sans
187    2,   XXVII|             l’héroïque dévouement de Sabine. Il insista donc :~ ~ ~–
188    2,   XXVII|            eu l’honneur de voir Mlle Sabine entrer au numéro… de la
189    2,   XXVII|         Tantaine, ne doutant pas que Sabine ne fût la maîtresse d’André.
190    2,    XXIX|           auriez reçu la dot de Mlle Sabine, vous nous tireriez votre
191    2,    XXIX|              tâchez de plaire à Mlle Sabine.~ ~ ~ ~Lorsque M. Martin-Rigal
192    2,     XXX|          disait :~ ~ ~– Si je péris, Sabine est perdue.~ ~ ~ ~Seul,
193    2,     XXX|             à se montrer.~ ~ ~ ~Pour Sabine, il se résignait à une prudence
194    2,     XXX|           Les minutes qui séparaient Sabine de l’horrible et irréparable
195    2,     XXX|              la sienne et à celle de Sabine, qu’ils étaient enveloppés
196    2,     XXX|           était autre que le père de Sabine, M. de Mussidan. Il ne l’
197    2,     XXX|             cet homme est l’amant de Sabine ! Elle venait ici, elle
198    2,     XXX|             s’avouer que le choix de Sabine ne lui paraissait pas indigne.
199    2,     XXX|              Donc, on a dû calomnier Sabine…~ ~ ~ ~Cependant, M. de
200    2,     XXX|             vais voir le portrait de Sabine, découvrez-le, je vous prie.~ ~ ~ ~
201    2,     XXX|        liberté de choisir André pour Sabine. C’est qu’il pensait à Croisenois.~ ~ ~ ~
202    2,     XXX|    dissimuler, ne rien dire encore à Sabine, et faire figure au marquis
203    2,     XXX|             le couteau sur la gorge… Sabine sera votre femme…~ ~ ~ ~
204    2,    XXXI|          écriait-il dans son délire, Sabine est à moi !…~ ~ ~Mais cet
205    2,    XXXI|            de la réalité.~ ~ ~ ~Oui, Sabine serait à lui… mais quand
206    2,    XXXI|        allait arriver au portrait de Sabine, elle voudrait écarter le
207    2,   XXXII|        déplaît pas.~ ~ ~ ~C’était de Sabine, que ce drôle à cravate
208    2,   XXXII|       Mussidan, il verrait peut-être Sabine, André eut comme une idée
209    2,  XXXIII|                  André !… c’est moi, Sabine… au secours !…~ ~ ~Prompt
210    2,  XXXIII|              il lui sembla entrevoir Sabine au bras du marquis de Croisenois.~ ~ ~ ~
211    2,  XXXIII|       marquis de Croisenois.~ ~ ~ ~À Sabine fut sa dernière pensée.
212    2,  XXXIII|     intervalle : André !… c’est moi, Sabine, au secours !… je vous donnerai
213    2,  XXXIII|            la raison, le souvenir de Sabine lui revenait, et il se demandait
214    2,   XXXIV|          convenablement. Dam !… Mlle Sabine ne lui saute pas encore
215    2,    XXXV|         avait essayé de lui arracher Sabine, qui avait tenté de l’assassiner.~ ~ ~–
216    2,    XXXV|            et son père et la mère de Sabine, avant de les connaître.~ ~ ~ ~
217    2,    XXXV|         notion du temps près de Mlle Sabine. À quatre heures, soyez
218    2,    XXXV|              accroché le portrait de Sabine, ce portrait si mystérieusement
219    2,    XXXV|            reconnaissait le génie de Sabine, aidée de M. Lecoq.~ ~ ~ ~
220    2,    XXXV|        mettant sa main dans celle de Sabine, il dit d’une voix émue :~ ~ ~–
221    2,    XXXV|      formellement à son mariage avec Sabine.~ ~ ~ ~Mais M. Lecoq ne
222    2,    XXXV|             chantage.~ ~ ~ ~André et Sabine habitent maintenant le château