Partie,  Chap.

  1    1,       I|      réfléchirai, je chercherai. Qu’est-ce que je veux ? gagner du
  2    1,       I|       procuré une bonne position, n’est-ce pas ? Je te fais assez souvent
  3    1,      II|           homme, je puis espérer, n’est-ce pas ? Mon intérêt vous répond
  4    1,      II|           monsieur Paul Violaine, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Le jeune homme
  5    1,      II|            faire ? Peu de choses, n’est-ce pas ? Vous êtes comme tous
  6    1,      II|         placeur. Je vous connais, n’est-ce pas ? Si je n’étais très
  7    1,     III|       tablette de son bureau.~ ~ ~– Est-ce sérieusement, Hortebize,
  8    1,     III|          mais quel est ce secret ?… Est-ce celui que je soupçonne ?
  9    1,     III|           le croire. Mais alors, qu’est-ce que cet inconnu qui servait
 10    1,     III|            comtesse de Mussidans, n’est-ce pas ?…~ ~ ~Le docteur, tant
 11    1,      IV|   singulièrement blessante.~ ~ ~– N’est-ce pas ? Ajoutez à cela qu’
 12    1,      IV|            j’arrive. En entrant, qu’est-ce que je vois ? Mademoiselle
 13    1,       V|              de Clinchan ?~ ~ ~– Qu’est-ce que cela prouve ?~ ~ ~–
 14    1,       V|           argument vainqueur.~ ~ ~– Est-ce vraiment votre opinion ?
 15    1,      VI|         autres choses encore, aussi est-ce sans la moindre préoccupation
 16    1,      VI|         voir, car vous permettez, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Elle sonna sur
 17    1,      VI|        votre mystérieux personnage. Est-ce que je le connais ?~ ~ ~–
 18    1,      VI|           de l’argent qu’on veut, n’est-ce pas, beaucoup d’argent,
 19    1,      VI|        tombe. Cela vous surprend, n’est-ce pas, de m’entendre parler
 20    1,      VI|         plus jeune que son frère… N’est-ce pas un parti sortable ?~ ~ ~–
 21    1,     VII|           Pas de façons avec moi, n’est-ce pas ? si cela vous gênait
 22    1,     VII|          disant :~ ~ ~– Et ceci, qu’est-ce ? La perle de l’atelier,
 23    1,    VIII|                    Mauvais temps, n’est-ce pas ? dit-elle au cocher.
 24    1,    VIII|          dire tout cela ? fit-elle. Est-ce que Sabine est ma fille ?
 25    1,      IX|       fièrement et répondit :~ ~ ~– Est-ce que je doute de vous, André ?~ ~ ~ ~
 26    1,      IX|         enfin… Mademoiselle Rose, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Mais, derrière
 27    1,      IX|            suis, c’est chez papa. N’est-ce pas vous, monsieur, qui
 28    1,      IX|      sérieusement du monde.~ ~ ~– N’est-ce pas ? Moi, d’abord, je suis
 29    1,      IX|         Zora… hein ! un rude nom, n’est-ce pas ? c’est moi qui l’ai
 30    1,      IX|             louis, c’est pour rien. Est-ce drôle que vous connaissiez
 31    1,      IX|           vous connaissiez papa ! N’est-ce pas qu’il a une bonne tête ?…
 32    1,      IX|            Il s’en ferait mourir… N’est-ce pas, que ce n’est pas cher,
 33    1,       X|              Vous m’avez demandé, n’est-ce pas, de compléter le dossier
 34    1,       X|            de sa cervelle.~ ~ ~– Qu’est-ce que cette cuisinière ? demanda
 35    1,       X|            vous devinez le reste, n’est-ce pas ? J’ai joué si malheureusement,
 36    1,       X|         Hôtel du Pérou. On prétend, est-ce vrai ? que des valeurs importantes
 37    1,       X|             de fonds à lui confiés. Est-ce démontré ? Nous l’imaginons
 38    1,       X|           rejeté la faute sur vous. Est-ce vrai ? Avant de jeter le
 39    1,       X|         mauvais rêves de la nuit, n’est-ce pas ? Je vous éveille pour
 40    1,      XI|             mondes.~ ~ ~ ~Peut-être est-ce un des éléments de la vogue !~ ~ ~ ~
 41    1,      XI|            De laquelle de ces dames est-ce le tour ? demanda-t-il.~ ~ ~ ~
 42    1,     XII|            trop de ridicules.~ ~ ~ ~Est-ce modestie réelle ou affectation ?
 43    1,     XII|            oui, monsieur. Peut-être est-ce un homme de génie ; les
 44    1,     XII|             donc avec vos ordres !… Est-ce que votre consigne me concerne ?
 45    1,    XIII|             Qu’avez-vous, mon ami ? Est-ce que vous êtes malade, vous
 46    1,    XIII|            de la comtesse.~ ~ ~ ~Qu’est-ce que cela voulait dire ?
 47    1,    XIII|             murmurait-elle…~ ~ ~– N’est-ce pas ?… Et cependant vous
 48    1,     XIV|        depuis je n’ai plus résisté. Est-ce qu’on lutte contre la destinée !…
 49    1,     XIV|           Car nous sommes riches, n’est-ce pas ? J’avais fini par connaître
 50    1,     XIV|            tu tiendras ta parole, n’est-ce pas ? Ah !… père chéri,
 51    1,     XIV|        réussi ! Car tu as réussi, n’est-ce pas, je ne rêve pas, je
 52    1,      XV|            On sait ce qu’on vaut, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Beaumarchef
 53    1,      XV|              Tiens, pourquoi donc ? Est-ce que je ne mangeais pas avant
 54    1,      XV|           des secours à domicile, n’est-ce pas ? Qu’il m’arrive malheur,
 55    1,      XV|            eh bien !… disait-il, qu’est-ce que cela signifie ? On se
 56    1,      XV|              il faut de l’argent, n’est-ce pas ? Elle n’est pas propriétaire,
 57    1,      XV|           plus.~ ~ ~– C’est tout, n’est-ce pas ? demanda-t-il.~ ~ ~–
 58    1,     XVI|             agit-il ? disait-il, qu’est-ce, qu’y a-t-il ?~ ~ ~ ~B.
 59    1,     XVI|          demeura interdit.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela signifie, balbutia-t-il,
 60    1,     XVI|        doute, interrompit l’avocat, est-ce que tous mes vœux…~ ~ ~–
 61    1,     XVI|            Ah !… vous êtes jaloux ! Est-ce donc ma faute si nos conditions
 62    1,     XVI|        pourtant il est bien vrai, n’est-ce pas, qu’au mois de janvier
 63    1,    XVII|       placeur, je suis le maître, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Et d’un ton
 64    1,    XVII|           ironie, il reprit :~ ~ ~– Est-ce qu’on ne peut pas tout dire
 65    1,   XVIII|             vous avez près de vous, est-ce bien prudent ? un homme
 66    1,   XVIII|               Oh !…~ ~– Quoi ! oh ! Est-ce que les apparences ne vous
 67    1,   XVIII|                    Il est oiseux, n’est-ce pas, reprit le digne placeur
 68    1,   XVIII|          nous comblerons l’abîme. N’est-ce pas, Hortebize ? Seulement,
 69    1,   XVIII|     trompe-t-il pas ? disait-il. Qu’est-ce que cette maladie de Mlle
 70    1,   XVIII|           voiture est à la porte, n’est-ce pas ?… Tu es médecin, on
 71    1,     XIX|         Grand Dieu !… pensa-t-elle, est-ce bien pour nous que vient
 72    1,     XIX|     interrompit.~ ~ ~– Qu’importe ? Est-ce que l’avenir n’est pas un
 73    1,     XIX|          sommes amis, maintenant, n’est-ce pas ?… dit M. de Breulh
 74    1,     XIX|            aurais recours à vous… N’est-ce pas à mon énergie et à mon
 75    1,     XIX|            sa première désillusion. Est-ce que, involontairement, elle
 76    1,     XIX|            de Mlle de Mussidan ! Qu’est-ce que cela signifiait ?~ ~ ~ ~
 77    1,      XX|            Même il sourit de pitié. Est-ce que jamais les maigres rosses
 78    1,      XX|             Clotilde, qu’on peut, n’est-ce pas, sans courir le moindre
 79    1,      XX|                un vieux maniaque, n’est-ce pas, qui est l’ami intime
 80    1,      XX|          danger, en grand danger, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Le médecin a
 81    1,     XXI|                  Et après ?~ ~ ~– N’est-ce pas vous qui êtes venu à
 82    1,     XXI|            de questions comme ça, n’est-ce pas ? On n’est pas de la
 83    1,     XXI|           ma place. Le bourgeois, n’est-ce pas, se procure un gamin
 84    1,     XXI|            sans un marteau ? Non, n’est-ce pas ? Eh bien !… ma cravache
 85    1,    XXII|           eussent été absentes, qui est-ce qui n’est pas content ici ?~ ~ ~ ~
 86    1,    XXII| impénétrables lunettes.~ ~ ~ ~Aussi est-ce Perpignan qui, le premier,
 87    1,    XXII|            sur un bon pied.~ ~ ~– N’est-ce pas ? Vous me direz peut-être
 88    1,    XXII|          définitive ? à personne, n’est-ce pas ? Le malheur est qu’
 89    1,    XXII|           la fin veut les moyens, n’est-ce pas. Seulement, je mentirais
 90    1,    XXII|            à l’aise se leva :~ ~ ~– Est-ce que je sais, moi !… s’écria-t-il
 91    1,    XXII|         écria-t-il d’un ton bourru. Est-ce que je m’occupe de ces histoires !…
 92    1,    XXII|            son interlocuteur.~ ~ ~– Est-ce que tous ces faux-fuyants
 93    1,    XXII|         tout révéler sans danger, n’est-ce pas ? Donc je m’étais dit :
 94    1,   XXIII|             du premier coup d’œil ? Est-ce que Jean Lantier, votre
 95    1,   XXIII|          pas conté votre histoire ? Est-ce qu’on ne sait pas que vous
 96    1,   XXIII|       nom-là devant moi ! Gaston ?… Est-ce que véritablement vous croyez
 97    1,   XXIII|           matin, papa, ajouta-t-il. Est-ce que la goutte reviendrait ?
 98    1,   XXIII|     chrétienne. Saint bon Dieu ! qu’est-ce qu’elles leur font donc
 99    1,    XXIV|                À quoi bon ? fit-il. Est-ce que cela vous gêne ou vous
100    1,    XXIV|           il poursuivait :~ ~ ~– Qu’est-ce que ce mariage que Mlle
101    1,    XXIV|     expressions.~ ~ ~– Eh bien !… n’est-ce pas la preuve que, entre
102    1,    XXIV|            dans toutes ses actions. Est-ce que la passion ne me donnera
103    1,    XXIV|         sourcils s’enfoncèrent, qui est-ce qui se permet chez moi…~ ~ ~ ~
104    1,    XXIV|            connaissez bien.~ ~ ~– N’est-ce pas cette excentrique personne
105    1,    XXIV|        mystérieux qui se dessine, n’est-ce pas. Très bien. S’il obtenait
106    1,    XXIV|       singulière et peu explicable. Est-ce un habile artifice destiné
107    1,    XXIV|          qui s’est passé chez vous. Est-ce que le procédé de ce tailleur
108    1,    XXIV|            Le croyez-vous, madame ? Est-ce donc pour cela qu’il avait
109    1,    XXIV|               C’est de franc jeu, n’est-ce pas ? Pourquoi venir me «
110    1,    XXIV|            inventer un costume. Qui est-ce qui m’habillera maintenant ?
111    1,     XXV|            vous affichiez.~ ~ ~– Où est-ce ?~ ~ ~ ~Le bonhomme eut
112    1,     XXV|             hommes qui ont du nerf. Est-ce que le talent a besoin de
113    1,     XXV|        peine.~ ~ ~– Oh !… monsieur, est-ce possible ; peut-on dire
114    1,     XXV|             de malheur, voilà tout. Est-ce que la sagesse humaine existe !…
115    1,     XXV|         morceau, il est trop dur, n’est-ce pas ? abandonne-le ; à t’
116    1,     XXV|        entière, risque son bonheur. Est-ce vrai cela ?~ ~ ~ ~Hélas !
117    1,    XXVI|            comme un miroir.~ ~ ~ ~N’est-ce pas à dire que la Germanie
118    1,    XXVI|           Tiens ! pourquoi pas ! Qu’est-ce qu’il faut pour avoir une
119    1,    XXVI|              truc ? »~ ~– Mais oui. Est-ce qu’il n’est pas bon ? On
120    1,    XXVI|         femme, toi !~ ~ ~– Un peu ! Est-ce que cela ne se voit pas !
121    1,   XXVII|           saut en arrière.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela signifie ? balbutia-t-il.~ ~ ~–
122    2,       I|            la terre comme ton père. Est-ce que cela t’amuse ? Dire
123    2,       I|          mère bien jeune !~ ~ ~ ~Qu’est-ce que cela signifiait sinon
124    2,      II|           fait fausse route ; aussi est-ce avec plus d’assurance qu’
125    2,      II|         langue, et répétait :~ ~ ~– Est-ce bon, hein ? Quel bouquet !
126    2,     III|     grondant :~ ~ ~– Jarnibleu ! Qu’est-ce que cela signifie ? Ce garçon
127    2,      IV|           mauvais conseil ! Jamais. Est-ce que je ne connais pas mon
128    2,      IV|           toutes ses fantaisies. Qu’est-ce que je veux, moi ? vous
129    2,      VI|            engagement.~ ~ ~ ~Aussi, est-ce avec un beau geste de triomphe
130    2,      VI|          dans quinze mois.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela prouve ? Pour se
131    2,      VI|          sang-froid disparut.~ ~ ~– Est-ce possible ? s’écria-t-elle
132    2,      VI|             monsieur le marquis, qu’est-ce qu’un an de patience à votre
133    2,     VII|            dents sont admirables. N’est-ce pas votre avis ?…~ ~– En
134    2,     VII|             chez les fous.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela signifie ? commença
135    2,    VIII|            affreuses souffrances. N’est-ce pas un cas de légitime défense ?
136    2,    VIII|         Norbert !…~ ~– Impossible ! Est-ce que son père…~ ~ ~– C’est
137    2,    VIII|           mieux voir. – C’est là, n’est-ce pas ? Tous les cheveux,
138    2,    VIII|         écria Dauman effrayé.~ ~ ~– Est-ce votre avis, Diane ? demanda
139    2,    VIII|        passion la plus vive :~ ~ ~– Est-ce vrai, Diane, que vous hésiterez
140    2,    VIII|              palpitant d’espérance, est-ce parce que vous doutez de
141    2,    VIII|       arrêterait pas.~ ~ ~– Mais qu’est-ce donc alors, puisque vous
142    2,    VIII|        absurdes propos du monde ? N’est-ce donc pas la liberté, le
143    2,    VIII|            Jarnicoton ! pensa-t-il, est-ce que mon drôle se croit déjà
144    2,    VIII|        cette heure ? poursuivit-il, est-ce un reproche ? Il n’en était
145    2,      IX|       Croisenois ! s’écria-t-il. Qu’est-ce que ce marquis de Croisenois ?
146    2,      IX|             malade.~ ~ ~– Le duc !… Est-ce croyable ?~ ~ ~– C’est la
147    2,      IX|     apprendre, monsieur le comte. N’est-ce pas, Françoise ?~ ~ ~ ~La
148    2,      IX|             au vent.~ ~ ~– Mais, qu’est-ce, enfin, insista-t-il, comment
149    2,      IX|      cependant… qu’arriverait-il ?… Est-ce que tout ne serait pas découvert ?~ ~ ~ ~
150    2,      IX|            cherchez la bouteille, n’est-ce pas ?… murmura-t-il. Rassurez-vous…
151    2,       X|    terribles, en criant :~ ~ ~– Qui est-ce qui t’envoie, petite espionne.~ ~ ~ ~
152    2,     XII|              s’écria Norbert, moi ! Est-ce possible ! Pouvez-vous donc
153    2,    XIII|                   Il se demandait : Est-ce bien moi qui attend ici,
154    2,    XIII|     chasserait comme une misérableEst-ce que la porte de notre maison
155    2,      XV|             encore tremblant.~ ~ ~– Est-ce un homme ou une femme ?~ ~ ~–
156    2,      XV|            railleuse marquée.~ ~ ~– Est-ce bien celle qui a tenu la
157    2,     XVI|          vie… et vous avez perdu, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~Croisenois inclina
158    2,     XVI|         battre dans votre jardin, n’est-ce pas, la nuit, sans témoins,
159    2,   XVIII|            passé en son absence, qu’est-ce que cela voulait dire, n’
160    2,   XVIII|              Mais vous permettez, n’est-ce pas, que je courre près
161    2,     XIX|             rapport avec PerpignanEst-ce bien tout ?~ ~ ~ ~L’avocat
162    2,     XIX|          agir. Je suis le maître, n’est-ce pas ?…~ ~ ~Quand ce diable
163    2,      XX|       Chaque métier a ses règles, n’est-ce pas ? Ce qu’il aura à faire
164    2,      XX|              affirma-t-il.~ ~ ~ ~Qu’est-ce que cela signifiait ?… Catenac
165    2,      XX|            Cela, nous le pouvons, n’est-ce pas ?~ ~ ~ ~ Je me fais
166    2,      XX|            Mais nous partagerons, n’est-ce pas ? ajouta l’avocat. J’
167    2,     XXI|         près de mes fournisseurs !… Est-ce assez indélicat !… Mais
168    2,    XXII|           me faut pour vivre…~ ~ ~– Est-ce là ce que vous appelez un
169    2,    XXII|             Je la trouve mauvaise ! Est-ce que ma parole ne suffit
170    2,    XXIV|                   Il est entendu, n’est-ce pas, que Van Klopen vous
171    2,     XXV|            un ton brutal :~ ~ ~– Qu’est-ce que cela peut vous faire,
172    2,   XXVII|             Mussidan. Mais pourquoi est-ce vous qui venez, et non pas
173    2,   XXVII|            votre fortune ?… Rien, n’est-ce pas !…~ ~ ~À qui fût venu,
174    2,   XXVII|            en signant le contrat, n’est-ce pas ? Eh bien !… prenez-les,
175    2,  XXVIII|             ardente cupidité.~ ~ ~– Est-ce que je ne pourrais pas être
176    2,  XXVIII|      supposition. Tu hais à mort, n’est-ce pas, tes deux amis, ces
177    2,  XXVIII|            partout pour se venger ; est-ce vrai ?~ ~ ~ ~Le garnement
178    2,  XXVIII|     instincts pareils !… Pourquoi n’est-ce pas Toto qui achète des
179    2,  XXVIII|        Pourquoi ?… Flavie m’aime, n’est-ce pas ; tout est là. Pauvre
180    2,    XXIX|            ce qui est fait ? Non, n’est-ce pas, il est trop tard. D’
181    2,    XXIX|         Rien n’est encore décidé, n’est-ce pas, il faut voir, examiner,
182    2,    XXIX|             en ce moment, dit-il, n’est-ce pas risquer d’augmenter
183    2,     XXX|             car vous n’avez rien, n’est-ce pas ?…~ ~– Rien, monsieur.~ ~ ~ ~
184    2,    XXXI|              ignorait cela. Aussi n’est-ce qu’après de longs tâtonnements
185    2,    XXXI|        assit sur un fauteuil.~ ~ ~– Est-ce que M. André est sorti ?
186    2,   XXXII|             à réfléchir à André. Qu’est-ce que cela signifiait ? N’
187    2,   XXXII|                    Je le vois bien. Est-ce que vous n’êtes pas content ?~ ~ ~–
188    2,   XXXII|            donc autre chose. Quoi ? Est-ce que Mlle de Mussidan ne
189    2,   XXXII|      famille et malgré la fille. Qu’est-ce que cela signifie ? N’y
190    2,   XXXII|        croit la police oublieuse, n’est-ce pas ?… Eh bien !… on se
191    2,   XXXIV|           car il y a une requête, n’est-ce pas, ma chérie ?…~ ~ ~Mlle
192    2,   XXXIV|               tu me comprends bien. Est-ce qu’un père peut tromper
193    2,   XXXIV|           tu as tu ta découverte, n’est-ce pas, Flavie, tu n’en as
194    2,   XXXIV|            jeune fille, mais lui, n’est-ce pas moi !…~ ~– Malheureuse !…
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