Partie,  Chap.

  1    1,       I|     bouillante jeunesse !… Vous en êtes vite venus à une querelle,
  2    1,       I|           est-il pas vrai, et vous êtes sur la piste du voleur.
  3    1,      II|          la dernière fois que vous êtes venue, il y a plus de six
  4    1,      II|           nulles même, et que vous êtes décidé à tout entreprendre
  5    1,      II|     couvert. Tantaine dit que vous êtes un charmant jeune homme,
  6    1,      II|        inclina la tête.~ ~ ~– Vous êtes  à Poitiers, rue des Vignes,
  7    1,      II|           le 5 janvier 1843 ; vous êtes, par conséquent, dans votre
  8    1,      II|          Oui, monsieur.~ ~ ~– Vous êtes un enfant naturel ?~ ~ ~ ~
  9    1,      II|           désespoir de cause, vous êtes entré en qualité de clerc
 10    1,      II|           de votre mère, vous vous êtes occupé de réaliser tout
 11    1,      II|        choses, n’est-ce pas ? Vous êtes comme tous les jeunes gens
 12    1,       V|         menaçants.~ ~ ~– Ah ! vous êtes agent d’affaires, dit-il
 13    1,       V|   textuellement aux gens dont vous êtes l’ambassadeur.~ ~ ~– Je
 14    1,       V|        Mais alors…~ ~ ~– Vous vous êtes mépris, monsieur le comte,
 15    1,      VI|           consultation.~ ~ ~– Vous êtes indisposée, madame la comtesse ?~ ~ ~–
 16    1,      VI|        encore de décidé. Mais vous êtes médecin, c’est-à-dire aussi
 17    1,      VI|      impertinente, ah !… vous vous êtes dévoué ?~ ~ ~– Beaucoup,
 18    1,     VII|       serais peintre…~ ~ ~– Vous l’êtes.~ ~ ~– Non sans peine, allez.
 19    1,     VII|        embauchera. »~ ~– Et vous y êtes allé ?~ ~ ~– Heureusement
 20    1,    VIII|     Mademoiselle Sabine… Oh ! vous êtes bien bonneMerci !…~ ~ ~
 21    1,      IX|        monsieur.~ ~ ~– Alors, vous êtes des nôtres. Nous pendons
 22    1,       X|         ton de menace :~ ~ ~– Vous êtes tous là, mes bons amis,
 23    1,       X|         vous en doutez guère. Vous êtes tous riches, vous êtes heureux
 24    1,       X|        Vous êtes tous riches, vous êtes heureux et honorés, vous
 25    1,       X|           la rue Montorgueil. Vous êtes bien fiers tous, et pourtant,
 26    1,       X|    Tantaine.~ ~ ~– Et vous ne vous êtes pas défendu ?~ ~ ~– J’avais
 27    1,       X|        allé aux informations, vous êtes son voisin, on vous a vu
 28    1,       X|           chaque trahison. Si vous êtes de cette pâte facile, serviteur,
 29    1,       X|            Voyons, reprit-il, vous êtes ambitieux, vous voulez parvenir ?~ ~ ~–
 30    1,       X|          est fou ! Eh bien !… vous êtes ce coureur.~ ~ ~– Je suivrai
 31    1,      XI|           vous, cher monsieur, qui êtes là, disait-il, on vous a
 32    1,      XI|       Depuis neuf jours que vous n’êtes venu, nous avons pour 87
 33    1,      XI|        première épreuve. Si vous n’êtes pas l’homme fort que j’ai
 34    1,      XI|     protégé ne vit pas.~ ~ ~– Vous êtes en colère ? fit-il.~ ~ ~–
 35    1,      XI|         dit-il. En ce moment, vous êtes encore votre maître ; demain,
 36    1,     XII|        contradictoires.~ ~ ~– Vous êtes un ami de notre famille,
 37    1,     XII|            vous et lui ? Non. Vous êtes, vous, tout en haut de l’
 38    1,     XII|           tout en bas. Autant vous êtes noble, autant il est peuple.
 39    1,     XII|         autant il est peuple. Vous êtes fier de ne pas porter de
 40    1,     XII|        expliquer. Jusqu’ici vous n’êtes allée que fort peu dans
 41    1,    XIII|          mon ami ? Est-ce que vous êtes malade, vous aussi ?~ ~ ~–
 42    1,    XIII|            danger.~ ~ ~– Ah ! vous êtes épouvantée !… reprit le
 43    1,    XIII|    maîtresse de Montlouis ? Vous n’êtes donc jamais descendue au
 44    1,    XIII|        plus vite !~ ~ ~– Ah ! vous êtes impitoyable.~ ~ ~ ~Il la
 45    1,     XVI|      compromettrai pas. Ah !… vous êtes jaloux ! Est-ce donc ma
 46    1,   XVIII|       Seulement, le lendemain vous êtes allé lui emprunter dix mille
 47    1,   XVIII|            spéculateur.~ ~ ~– Vous êtes trop modeste. D’abord, vous
 48    1,   XVIII|          vous suffisent pas ? Vous êtes diantrement difficile. Entre
 49    1,   XVIII|        fort ébranlé.~ ~ ~– Et vous êtes sûr de vos… actionnaires ?
 50    1,   XVIII|              En bon français, vous êtes à bout d’expédients, et
 51    1,   XVIII|      palper les revenus, vous vous êtes fort remué ; mais votre
 52    1,   XVIII|            sera d’oublier que vous êtes vous, pour arriver à vous
 53    1,   XVIII|     persuader à vous-même que vous êtes lui ; c’est le seul moyen
 54    1,     XIX|    supériorité ?… Pendant que vous êtes des plus nobles et des plus
 55    1,      XX|           puis. Et, tenez, si vous êtes charitable, ne me demandez
 56    1,      XX|                  Taisez-vous, vous êtes un monstre. Ah !… je comprends
 57    1,      XX|        est-il passé ? Vous ne vous êtes donc pas informée, Clotilde,
 58    1,      XX|            Dans l’après-midi, vous êtes resté une demi-heure environ
 59    1,      XX|       autrement que le monde. Vous êtes l’imprudence même ; votre
 60    1,      XX|           en est une preuve ; vous êtes mondaine, frivole, étourdie,
 61    1,      XX|           un peu… folle… Mais vous êtes aussi, je le sais, une brave
 62    1,      XX|            chère Clotilde… si vous êtes pour nous, si vous consentez
 63    1,      XX|           vous faire languir. Vous êtes un bon enfant, vous !… Donc,
 64    1,      XX|         vous me faites poser, vous êtes mieux informé que moi.~ ~ ~ ~
 65    1,      XX|           moi non plus, papa, vous êtes trop curieux !~ ~ ~ ~Il
 66    1,     XXI|              N’est-ce pas vous qui êtes venu à moi ?~ ~ ~ ~L’ancien
 67    1,     XXI|           C’est comme cela. Vous n’êtes pas, j’imagine, sans avoir
 68    1,    XXII|                   Sans doute. Vous êtes le bailleur de fonds, le
 69    1,    XXII|      réalité… en apparence, vous n’êtes rien. Pour tout le monde,
 70    1,    XXII|         cuisinier. Aussi bien vous êtes de force à deviner tout
 71    1,    XXII|        mieux, répondit-il, si vous êtes habile comme le prétend
 72    1,   XXIII|          de chaise, parce que vous êtes solide et franc comme un
 73    1,   XXIII|          ne sait pas que vous vous êtes fait tout seul, à la force
 74    1,   XXIII|          étiez rien, vous, et vous êtes quelque chose…~ ~ ~ ~C’est
 75    1,   XXIII|            Oui, insista-t-il, vous êtes quelque chose. Vous faut-il
 76    1,   XXIII|           me les a expliqués… Vous êtes mineur ; votre Zora, qui
 77    1,    XXIV|      fondre en larmes :~ ~ ~– Vous êtes son ami, monsieur, au nom
 78    1,    XXIV|           dit-elle, restez, vous n’êtes pas de trop.~ ~ ~ ~Et comme
 79    1,     XXV|         elle vous l’a appris, vous êtes artiste. Vous vous êtes
 80    1,     XXV|            êtes artiste. Vous vous êtes fait seul, comme les hommes
 81    1,     XXV|          vous en doutiez, que vous êtes leur professeur depuis longtemps.
 82    1,     XXV|           en garçon rangé que vous êtes, vous ne dépensez pas ce
 83    1,     XXV|        autrefois ?… Ah ! vous vous êtes mis dans de bien vilains
 84    1,     XXV|            y a rien de fait ; vous êtes dans la misère, restez-y. »~ ~–
 85    1,     XXV|       clerc d’huissier.~ ~ ~– Vous êtes heureux !… fit-il, non sans
 86    1,     XXV|           vos yeux quand vous vous êtes retiré. Paul, c’était une
 87    1,     XXV|         réparation d’honneur. Vous êtes fort, bien plus fort que
 88    1,   XXVII|        toute l’attention dont vous êtes capable, c’est l’histoire
 89    2,       I|           réplique, c’est que vous êtes en âge d’entendre la vérité.
 90    2,      II|            railler, parce que vous êtes sage comme une demoiselle.
 91    2,     III|         sérieusement.~ ~ ~– Vous n’êtes plus un enfant, continua
 92    2,      IV|    retiendrait Norbert.~ ~ ~– Vous êtes vif, monsieur le marquis,
 93    2,      IV|           deux temps de galop vous êtes à la ville. Vous mettez
 94    2,      IV|            grand seigneur que vous êtes et vous rejoignez vos amis.
 95    2,      IV|       était de vous avertir ; vous êtes prévenu, réfléchissez. Je
 96    2,      VI|       plaignez-moi. Lorsque vous m’êtes apparue, me souvenant de
 97    2,      VI|           forcé, bien raison, vous êtes fou, vraiment fou !~ ~ ~ ~
 98    2,      VI|            est inflexible, et vous êtes en son pouvoir. Votre père,
 99    2,     VII|           pires représailles. Vous êtes prévenue, assez d’amourettes
100    2,     VII|            d’une voix rauque. Vous êtes allé insulter la femme que
101    2,     VII|      finirais par oublier que vous êtes mon père…~ ~ ~– Jarnitonnerre !
102    2,    VIII|        idée d’un crime.~ ~ ~– Vous êtes blessé, monsieur le marquis ?
103    2,    VIII|         pas comprendre.~ ~ ~– Vous êtes cruelle, reprit-il, pénétré
104    2,    VIII|        monsieur de Champdoce, vous êtes sans pitié !… Vous m’avez
105    2,      IX| Pardonnez-moi… J’apprends que vous êtes sur le point de quitter
106    2,       X|       tirera toujours de là ; vous êtes la fille d’un noble, et
107    2,       X|            le coup vous-même, vous êtes une gaillarde, vous n’auriez
108    2,       X|       Pourquoi, pendant que vous y êtes, n’allez-vous pas demander
109    2,     XII|         avez tout à risquer ; vous êtes jeunes, riches et nobles,
110    2,     XII|           chose en douceur… Vous y êtes quasi plus intéressée que
111    2,    XIII|    oreilles de Norbert.~ ~ ~– Vous êtes moins sévère pour M. de
112    2,     XIV|            Je le sais, Marie, vous êtes une noble et digne femme,
113    2,     XIV|       digne femme, mais enfin vous êtes femme et vous êtes jeune…
114    2,     XIV|            vous êtes femme et vous êtes jeune… Il est impossible
115    2,     XIV|    diabolique sourire :~ ~ ~– Vous êtes trop curieux !… Vous le
116    2,      XV|     quelles gorges chaudes !… Vous êtes jaloux, duc ? Il croyait
117    2,     XVI|           moment d’égarement… vous êtes trop généreux et trop noble
118    2,     XVI|             monsieur, lorsque vous êtes arrivé… Pourquoi, mon Dieu !…
119    2,     XVI|        sait… ne se doute… que vous êtes ici.~ ~ ~– Personne ne peut
120    2,     XVI|         secoua la tête.~ ~ ~– Vous êtes bien pressé, monsieur le
121    2,     XVI|     chercher mon cadavre ici. Vous êtes chez vous, vous pouvez prendre
122    2,    XVII|        finirai par croire que vous êtes un lâche.~ ~ ~– Malheureux !…
123    2,    XVII|           Madame !…~ ~– Quand vous êtes arrivé, il entrait, et c’
124    2,    XVII|          suis votre mari, que vous êtes à moi, que je puis faire
125    2,     XIX|        était démontrée.~ ~ ~– Vous êtes là que vous me prêchez,
126    2,      XX|          pour trait.~ ~ ~ ~Si vous êtes prudents, vous surveillerez
127    2,      XX|         vous et je m’humilie. Vous êtes forts et je ne suis qu’un
128    2,     XXI|        Zora, vous savez bien, vous êtes venu pendre la crémaillère
129    2,   XXIII|             lui demanda-t-il, vous êtes l’intime de M. de Croisenois ?…~ ~–
130    2,    XXIV|        pour le payer que vous vous êtes adressé au sieur Verminet.~ ~ ~–
131    2,     XXV|     appelle Verminet.~ ~ ~– Vous y êtes !…~ ~ ~André était tellement
132    2,     XXV|              Connu !… fit-il. Vous êtes « filé » et vous voulez
133    2,     XXV|      Breulh d’une voix grave, vous êtes sur la piste des ignobles
134    2,   XXVII|                  Cependant, vous n’êtes pas celui dont je lis le
135    2,  XXVIII|        avez pas écouté, quand vous êtes venu là-bas pour Caroline.
136    2,    XXIX|           si on apprenait que vous êtes venue ici ?… On dirait que
137    2,    XXIX|           remis. Et tenez, si vous êtes raisonnable, je vous promets
138    2,   XXXII|            à eux.~ ~ ~– Ah !… vous êtes pressés, leur dit le vieux,
139    2,   XXXII|            donc pour cela que vous êtes déjà habillés à cette heure ?~ ~ ~ ~
140    2,   XXXII|          marquis.~ ~ ~– Quoi, vous êtes pris, vous aussi.~ ~ ~–
141    2,   XXXII|            bien. Est-ce que vous n’êtes pas content ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~–
142    2,   XXXII|        criaient les joueurs ; vous êtes trop patient, patron, envoyez
143    2,   XXXII|      prévenir, et il sait que vous êtes là.~ ~ ~ ~Satisfait de la
144    2,   XXXII|           avais pas le choix. Vous êtes surveillé de près et je
145    2,   XXXII|            rapporter que vous vous êtes promené avant-hier avec
146    2,   XXXII|             Gandelu fils, que vous êtes monté en voiture avec M.
147    2,   XXXII|            rougissez déjà ! Vous n’êtes pourtant pas au bout.~ ~ ~ ~
148    2,  XXXIII|            des miracles… Ici, vous êtes relativement en sûreté,
149    2,   XXXIV|      arrête.~ ~ ~– Moi ?…~ ~– Vous êtes bien le sieur Catenac, avocat ?~ ~ ~ ~
150    2,   XXXIV|           le duc, dit-il, que vous êtes victime d’une odieuse supercherie.
151    2,    XXXV|       amènent. Vous savez qui vous êtes et qui je suis.~ ~ ~ ~André
152    2,    XXXV|            suis séparé de vous qui êtes mon fils. Je ne chercherai
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