Partie,  Chap.

  1    1,      II|          je sais que mon père est mort avant ma naissance.~ ~ ~ ~
  2    1,      II|        pas été continuée après la mort de madame votre mère ?~ ~ ~–
  3    1,      II|           Le lendemain même de la mort de votre mère, vous vous
  4    1,     III|           t’a parlé. Son père est mort, prétend-il, sa mère le
  5    1,      IV|        œuvre de ce pauvre Sévair, mort à la peine, le jour où on
  6    1,       V|           à entraîner la peine de mort ou des peines afflictives
  7    1,      VI|           vous droit de vie et de mort, un homme dont les volontés
  8    1,      VI|         Ah !… il n’était donc pas mort.~ ~ ~ ~Le docteur nota l’
  9    1,      VI|      misérables, que je crains la mort ? Ah ! il y a des années
 10    1,     VII|          oui, il le haïssait à la mort.~ ~ ~– C’est égal, se disait-il,
 11    1,    VIII|        sûr, c’est que, lors de sa mort, survenue deux mois plus
 12    1,      IX|         madame le lendemain de la mort de papa.~ ~ ~ ~C’est avec
 13    1,      XI|           devenu plus pâle que la mort.~ ~ ~ ~Si ignorant qu’il
 14    1,     XII|         témoin avec Ludovic de la mort de l’infortuné Montlouis,
 15    1,    XIII|         elle était enceinte. À la mort de son amant elle a été
 16    1,    XIII|           été à deux doigts de la mort. Au moment de vous embrasser,
 17    1,     XIV|         une larme, c’est un homme mort !~ ~ ~ ~L’accent du banquier
 18    1,    XVII|         je vous parle ne verra la mort d’aussi près qu’une seule
 19    1,    XVII|        sentiez si convaincu de la mort prochaine d’une femme tendrement
 20    1,     XIX|       vieilli, fini, on juge tout mort en soi, et il suffit d’un
 21    1,     XIX|         nombreux amis.~ ~ ~ ~À la mort de son oncle, il s’était
 22    1,     XIX|          était impossible. Il fût mort plutôt que de prononcer
 23    1,    XXII|           même s’il est vivant ou mort. »~ ~– Eh ! eh ! ricana
 24    1,    XXII|         an passé, et depuis cette mort, ils sont inconsolables.~ ~ ~ ~
 25    1,    XXII|           héritier légitime étant mort, n’ayant personne à qui
 26    1,   XXIII|           jouait sur ma vie ou ma mort, comme vous parieriez sur
 27    1,   XXIII|           l’infâme ; il épiait la mort qui devait lui livrer ma
 28    1,   XXIII|    effroyable courage de hâter la mort de ton père, puisque tu
 29    1,   XXIII|     malheureux !… tu souhaites ma mort pour manger ma succession.
 30    1,   XXIII|        ces idées d’emprunt sur ma mort et de comédie de médecin
 31    1,    XXIV|           comme sa condamnation à mort ? On allait donc rompre
 32    1,    XXIV|         moment entre la vie et la mort ; puis, à peine revenue
 33    1,     XXV|       Rose, n’existe plus. Il est mort d’inanition dans un grenier
 34    1,     XXV|          lui faudrait, jusqu’à sa mort, être cet autre dont il
 35    1,     XXV|                 Paul Violaine est mort.~ ~ ~ ~Et il lui semblait,
 36    1,     XXV|     exemple, elle saura que cette mort rend à M. de Breulh la main
 37    2,       I|       Loin de s’affliger de cette mort, le duc intérieurement s’
 38    2,     III|          donc vingt-cinq ans à sa mort.~ ~ ~ ~Cependant, avant
 39    2,     III|        indépendance, afin qu’à ma mort vous ne soyez pas enivré
 40    2,      VI|                VI~ ~ ~ ~Depuis la mort de l’infortunée duchesse
 41    2,      VI|        qui pouvait vous donner la mort, qui avait pénétré dans
 42    2,      VI|   réussira-t-elle ?…~ ~ ~Oui ! la mort la plus épouvantable, inévitable,
 43    2,     VII|           Je vous verrai avant ma mort plus de six cent mille livres
 44    2,     VII|         je le veux, et jusqu’à la mort, s’il le faut. Jamais son
 45    2,    VIII|          combien de misérables la mort de M. de Champdoce sauverait
 46    2,    VIII|          cela, et le chimiste est mort.~ ~ ~– Il y a dix ans !…~ ~–
 47    2,    VIII|    conventions sociales, c’est la mort. Vous cesseriez bientôt
 48    2,    VIII|     séparait de lui, et de quelle mort !… Norbert sentait sa raison
 49    2,      IX|      maître…~ ~ ~– Serait-il donc mort ?~ ~ ~– Hélas !… il n’en
 50    2,      IX|          c’est que s’il n’est pas mort sur le coup, cela tient
 51    2,      IX|          que monsieur le duc soit mort, puisqu’il bouge encore,
 52    2,      IX|          sauvé. Mieux eût valu la mort.~ ~ ~ ~La puissante volonté
 53    2,       X|          duc de malheur n’est pas mort, et que, s’il se remet,
 54    2,       X|           lutteurs qui, blessés à mort, s’efforçait de dérober
 55    2,       X|         frère de Mlle Diane était mort. Un exprès avait apporté
 56    2,       X|       était ainsi ? Mon frère est mort, Norbert, je suis aussi
 57    2,      XI|      maintenant que son frère est mort et qu’elle est riche, ce
 58    2,      XI|         était à se demander si la mort ne serait pas un bienfait,
 59    2,      XI|          ses oreillers ; il était mort !~ ~ ~ ~S’il est vrai que
 60    2,     XII|    chassée, Mlle Diane reprit, la mort dans l’âme le chemin de
 61    2,     XII|           ami de ce frère dont la mort la faisait si riche.~ ~ ~ ~
 62    2,     XII|           un verdict de vie ou de mort, n’endure pas tout ce que
 63    2,     XII|          mariage de Norbert et la mort du duc.~ ~ ~ ~Ne découvrant
 64    2,     XII|         une question de vie ou de mort.~ ~ ~ ~La seule contenance
 65    2,     XII|            Norbert le devait à la mort de son père, c’est parce
 66    2,     XII|         que M. de Champdoce était mort…~ ~ ~ ~Elle se remit la
 67    2,     XII|     chacun sous un bras.~ ~ ~ ~Le mort était Montlouis !~ ~ ~ ~
 68    2,     XII|     vérité.~ ~ ~ ~Montlouis était mort pour elle, comme déjà le
 69    2,     XII|        duc de Champdoce. Il était mort parce qu’il l’avait connue,
 70    2,    XIII|       Norbert, le lendemain de la mort de son père annonça qu’il
 71    2,     XVI|                  Je suis un homme mort, pensa-t-il, en regardant
 72    2,     XVI|   achèvera l’autre s’il n’est pas mort, le poussera dans la fosse
 73    2,     XVI|           ce que deviendrait, lui mort, cette femme qu’il avait
 74    2,     XVI|           que si vous me tuez, ma mort sera cachée comme je veux
 75    2,    XVII|         une question de vie ou de mort.~ ~ ~ ~Mais il était à bout
 76    2,    XVII|           de nous sera couché là, mort… On ne ment pas en face
 77    2,    XVII|         ne ment pas en face de la mort… Eh bien !… je vous jure
 78    2,    XVII|       Georges de Croisenois était mort !…~ ~ ~Georges de Croisenois
 79    2,    XVII|       Georges de Croisenois était mort, et Norbert de Champdoce
 80    2,    XVII|         marquis de Croisenois est mort !… J’ai tué votre amant,
 81    2,    XVII|           est plus… j’ai vécu. La mort !… voilà le seul bienfait
 82    2,    XVII|        Vous nous réunirez dans la mort, nous qui n’avons pu être
 83    2,    XVII|           de Norbert. Croisenois, mort, l’emportait encore.~ ~ ~–
 84    2,   XVIII|  réellement qu’elle souhaitait la mort. Si elle eût su par quelles
 85    2,   XVIII|         car elle se reprochait la mort de Croisenois.~ ~ ~ ~Si
 86    2,   XVIII|        son rétablissement ou à sa mort.~ ~ ~ ~Elle avait une fièvre
 87    2,   XVIII|        comte de Puymandour, était mort le mois précédent à la suite
 88    2,     XIX|           partie du duel et de la mort de ce brave et digne Georges
 89    2,     XIX|         perdue, finie, tout était mort en eux, ils renonçaient
 90    2,     XIX|  réconcilièrent, devant le lit de mort de ce malheureux dont la
 91    2,     XIX|         Le fils de la Fougerousse mort, reprit B. Mascarot, le
 92    2,     XIX| indiscutables, matérielles, de la mort de son fils.~ ~ ~ ~Cependant
 93    2,      XX|         jusqu’à sa tombe s’il est mort.~ ~ ~– Hum !… tu crois peut-être
 94    2,    XXII|         pour moi le désespoir… la mort.~ ~ ~ ~Un flot de colère
 95    2,    XXVI|       elle se trouvait mêlée à la mort du vieux duc de Champdoce,
 96    2,    XXVI|         constatation légale de la mort de Georges.~ ~ ~ ~Quel scandale
 97    2,  XXVIII|        une supposition. Tu hais à mort, n’est-ce pas, tes deux
 98    2,   XXXII|           se tuer, il avait vu la mort…~ ~ ~– Approchez, Gaston,
 99    2,  XXXIII|         chute, il vit, en bas, la mort inévitable.~ ~ ~ ~Et pendant
100    2,  XXXIII|           sa dernière pensée. Lui mort qui la défendrait…~ ~ ~ ~
101    2,  XXXIII|                 Oh !… il est bien mort, disaient les badauds, il
102    2,  XXXIII|    pousser ont peut-être causé la mort d’un homme, la mort de ce
103    2,  XXXIII|      causé la mort d’un homme, la mort de ce pauvre garçon qui
104    2,   XXXIV|           devenu plus pâle que la mort…~ ~ ~– Que veux-tu dire ?
105    2,    XXXV|        aimerais mieux vous savoir mort, que le mari de Mlle de
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