Partie,  Chap.

 1    1,       I|      disposer de l’héritage de ma mère. De plus, mon père est vieux,
 2    1,       I|           Pauvre ouvrier… vieille mère à nourrir… incapable de
 3    1,      II|        fiches.~ ~ ~– Madame votre mère, reprit le digne placeur,
 4    1,      II|      rente parvenait-elle à votre mère ?~ ~ ~– Tous les trois mois,
 5    1,      II|       vous l’a affirmé ?~ ~ ~– Ma mère, monsieur, qui me l’a juré
 6    1,      II|          était une sainte. Pauvre mère !… je l’aimais et je la
 7    1,      II|           la mort de madame votre mère ?~ ~ ~– Cette pension, monsieur,
 8    1,      II|     servie depuis ma majorité. Ma mère à cet égard était prévenue.
 9    1,      II|       elle eût dû maudire. Pauvre mère !… « Paul, me dit-elle,
10    1,      II|          plus tard, reprit-il, ma mère mourait subitement, sans
11    1,      II|      Grâce au dévouement de votre mère, qui était, vous l’avez
12    1,      II|                  Le rêve de votre mère était de vous voir établi
13    1,      II|         vous avez déclaré à votre mère qu’en attendant d’être un
14    1,      II|          même de la mort de votre mère, vous vous êtes occupé de
15    1,     III|         enfance ; elle a connu sa mère, elle a été élevée près
16    1,     III|          est mort, prétend-il, sa mère le lui a juré… soit, je
17    1,      VI|           elle était allée, et sa mère trouvait cela tout naturel !~ ~ ~–
18    1,      VI|                  Oh ! madame, une mère a toujours une influence
19    1,    VIII|              Entre un père et une mère qui fuyaient avec une égale
20    1,    VIII|  balbutia-t-il.~ ~ ~– Vertu de ma mère !… interrompit la douairière ;
21    1,      XI|         glace.~ ~ ~– Quand on est mère de famille, prononça-t-il,
22    1,      XI|      enragées de toilettes. Père, mère, mari, elles donneraient
23    1,     XII|           père, encore moins à sa mère.~ ~ ~ ~Sans jamais avoir
24    1,     XII|      pourquoi n’avait-elle pas de mère ?~ ~ ~ ~Un moment elle eut
25    1,     XII|        Breulh ici ?~ ~ ~– Oui. Ma mère n’est pas habillée, on n’
26    1,     XII|           qu’entre mon père et ma mère, je suis abandonnée autant
27    1,     XII|          n’ai pas osé avouer à ma mère. Que dois-je maintenant
28    1,     XII|              Avez-vous prévenu ma mère de la visite de ce monsieur ?
29    1,    XIII|    coupable, épouse criminelle et mère indigne ?…~ ~ ~D’ordinaire,
30    1,    XIII|       dans ce jeune cœur, être sa mère, en un mot.~ ~ ~ ~La comtesse
31    1,     XIV|          un homme. Si j’avais une mère, elle me comprendrait.~ ~ ~–
32    1,     XIV|          qu’aurait fait ta pauvre mère, que je n’aie tenté, essayé ?
33    1,     XIV|     expression navrante.~ ~ ~ ~La mère de Flavie avait été emportée
34    1,     XVI|         enfant est supprimé et la mère jetée sans pitié sur le
35    1,     XVI|       pour hâter la défaite de la mère, tu étais allé acheter à
36    1,     XVI|         garçon qui n’a ni père ni mère, et que nous pousserons
37    1,   XVIII|               Trois billets de sa mère ne laissant aucun doute
38    1,      XX|        croirait morte, m’a dit sa mère, n’étaient de grosses larmes
39    1,      XX|  extraordinairement agitée que sa mère lui a demandé si elle n’
40    1,     XXI|          le bruit :~ ~ ~– Holà !… mère Butor !…~ ~ ~L’atroce vieille
41    1,    XXII|         contenu du chaudron de la mère Butor.~ ~ ~ ~En même temps
42    1,    XXII| prétention de remonter jusqu’à la mère de l’enfant, mais j’espérais
43    1,   XXIII|           la fortune de sa pauvre mère…~ ~ ~ ~Il s’interrompit
44    1,   XXIII|           la mémoire de sa sainte mère, défunte ma femme, je jure
45    1,   XXIII|        auras pas même celle de ta mère. La loi est pour moi. Dès
46    1,     XXV|          ses forces, cria :~ ~ ~– Mère Brigot !… Ohé !… Montez
47    1,     XXV|     appartement.~ ~ ~– Bonjour la mère, lui dit le vieux clerc
48    1,     XXV|          n’avoir connu ni père ni mère…~ ~ ~– Quelle est sa profession ?~ ~ ~–
49    1,     XXV|      portière.~ ~ ~– Cela suffit, mère Brigot, dit-il, laissez-moi
50    1,     XXV|        concierge de la maison, la mère Brigot, guettait la sortie
51    1,     XXV|              Très bien, en effet, mère Brigot ; vous m’aviez parfaitement
52    1,     XXV|             C’était un marché, la mère Brigot ne devait pas s’y
53    1,     XXV|          se renseigner près de la mère Brigot.~ ~ ~ ~C’est avec
54    2,       I|         robuste, la fortune de la mère était acquise à la maison
55    2,       I|     mélancoliques, les yeux de sa mère ! Pauvre femme ! c’était
56    2,       I|     Pauvre enfant ! il a perdu sa mère bien jeune !~ ~ ~ ~Qu’est-ce
57    2,       I|    dernière année de la vie de sa mère.~ ~ ~ ~Norbert se jeta sur
58    2,      II|      réclamer l’héritage de votre mère ?~ ~ ~ ~À l’air stupéfait
59    2,      IV|           billard et à chanter la mère Godichon. Voilà qui est
60    2,       V|        bien laid de désobéir à sa mère, lorsque je vais chez la
61    2,      VI|           j’ai été retenue par ma mère.~ ~ ~ ~C’était tout dire…
62    2,      VI|        maître de la fortune de sa mère.~ ~ ~ ~Ce furent les plus
63    2,      VI|              Elle accompagnait sa mère de cris aussi déchirants
64    2,      VI|          compassion.~ ~ ~– Pauvre mère Rouleau ! fit-il ; le proverbe
65    2,      VI|           la chose, le voilà ; la mère Rouleau emprunte à un homme
66    2,      VI|       écria-t-il tout à coup ; la mère Rouleau est sauvée, elle
67    2,      VI|       parlerai à mon père pour la mère Rouleau. Merci… tout ira
68    2,      VI|      billet :~ ~ ~– Il s’agirait, mère Rouleau, reprit-elle, de
69    2,      VI|          garantis l’affaire de la mère Rouleau arrangée, et je
70    2,      VI|        Chaque jour la fille de la mère Rouleau portait une lettre
71    2,    VIII|       sans rougir le répéter à ma mère ; trouvez quelqu’un qui
72    2,      IX|  conversation avec la fille de la mère Rouleau.~ ~ ~ ~C’était,
73    2,      IX|  Françoise ?~ ~ ~ ~La fille de la mère Rouleau ne devint pas plus
74    2,       X|           suivant, la fille de la mère Rouleau à Champdoce.~ ~ ~ ~
75    2,       X|         recourir à la fille de la mère Rouleau.~ ~ ~ ~Il avait,
76    2,       X|        elle entra, son père et sa mère, assis l’un près de l’autre,
77    2,      XI|       instant, sortant de chez la mère Rouleau. Le noir lui sied,
78    2,      XI|         devant lui la fille de la mère Rouleau.~ ~ ~ ~Cachée derrière
79    2,      XI|   emportement, que la fille de la mère Rouleau fit un bond en arrière –
80    2,     XII|      grâce et l’esprit mêmes : sa mère, une Rhéteau de Commarin
81    2,     XII|          confiée à la fille de la mère Rouleau.~ ~ ~ ~L’accusé
82    2,     XII|      récompenser d’avoir sauvé sa mère !…~ ~ ~Le « Président »
83    2,     XII|          souvent ce chien chez la mère Rouleau, et je lui donnais
84    2,   XVIII|          billet où la malheureuse mère écrivait : « Ayez pitié ;
85    2,      XX|    entendrez toute la famille, la mère et les deux fils – des gars
86    2,      XX|          ferme.~ ~ ~ ~Pourtant la mère Lorgelin, la larme à l’œil,
87    2,      XX|          de la rue Montmartre, la mère Brigot, la plus bavarde
88    2,    XXVI|          claire. Les crimes de sa mère allaient être divulgués,
89    2,  XXVIII|        gagner l’escalier, mais la mère Brigot lui barra le passage.~ ~ ~–
90    2,  XXVIII|      tourné.~ ~ ~– Allons, merci, mère Brigot, faites toujours
91    2,     XXX|           Il y a longtemps que sa mère a déserté le foyer, moi
92    2,     XXX|           n’osât pas répéter à sa mère !~ ~ ~ ~De sa vie, M. de
93    2,  XXXIII|         ne connaissent ni père ni mère, qui n’ait parfois rêvé
94    2,   XXXIV|        temps, et déjà on tient la mère, une fille nommée Clarisse…~ ~ ~ ~
95    2,   XXXIV|        nomme Paul Violaine, et sa mère était une pauvre ouvrière
96    2,    XXXV|         estimer et son père et la mère de Sabine, avant de les
97    2,    XXXV|         qui l’étouffait.~ ~ ~– Ma mère !… s’écria-t-il en serrant
98    2,    XXXV|          conduisez-moi près de ma mère.~ ~ ~ ~Et ce soir-là, en