Partie,  Chap.

 1    1,     III|          mois qu’il n’est venu chez Martin-Rigal.~ ~ ~– Il est de fait que
 2    1,      XI|             de compte de Mme Flavie Martin-Rigal ; une nouvelle cliente,
 3    1,      XI|             vous présentera chez M. Martin-Rigal, le père de Mlle Flavie,
 4    1,     XIV|        répondu sans hésiter :~ ~ ~– Martin-Rigal ? Connu ! C’est un banquier.~ ~ ~ ~
 5    1,     XIV|        banquier.~ ~ ~ ~Banquier, M. Martin-Rigal l’est en effet, et il habite
 6    1,     XIV|         aristocratie financière, M. Martin-Rigal n’en est pas moins très
 7    1,     XIV|          qui répond cela, et non M. Martin-Rigal.~ ~ ~ ~Lui, on ne le rencontre
 8    1,     XIV|                    Physiquement, M. Martin-Rigal est grand et chauve. Sa
 9    1,     XIV|          son idole.~ ~ ~ ~La maison Martin-Rigal n’est pas montée sur un
10    1,     XIV|       rendre un peu folle.~ ~ ~ ~M. Martin-Rigal en est encore à répondre :
11    1,     XIV|            cinq heures et demie, M. Martin-Rigal donnait audience à une de
12    1,     XIV|             qui semblait charmer M. Martin-Rigal, s’expliquant clairement,
13    1,     XIV|             tout de suite !…~ ~ ~M. Martin-Rigal se leva :~ ~ ~– J’y vais,
14    1,     XIV|            était Paul Violaine ; M. Martin-Rigal ne le savait que trop. Il
15    1,     XIV|           serrent le cœur…~ ~ ~ ~M. Martin-Rigal était assis près de la cheminée :
16    1,     XIV|         pris en faute et grondé, M. Martin-Rigal baissa la tête.~ ~ ~– Eh
17    1,     XIV|           Je n’ai pas osé.~ ~ ~ ~M. Martin-Rigal leva les bras au plafond.
18    1,     XIV|          tenté, essayé ? murmura M. Martin-Rigal.~ ~ ~– Rien peut-être, tu
19    1,     XIV|           visible contrainte que M. Martin-Rigal écoutait ce récit que Flavie
20    1,     XIV|     éveiller ses soupçons.~ ~ ~ ~M. Martin-Rigal sourit bonnement.~ ~ ~–
21    1,     XIV|        affluait à ses pommettes, M. Martin-Rigal la contemplait avec une
22    1,     XIV|             donc de joie ?~ ~ ~ ~M. Martin-Rigal eut un geste terrible.~ ~ ~–
23    1,     XIV|             Pourquoi ?… répondit M. Martin-Rigal, incapable de se maîtriser,
24    1,     XIV|            sera la sienne.~ ~ ~ ~M. Martin-Rigal sourit tristement.~ ~ ~–
25    1,     XIV|         arrivant était un ami de M. Martin-Rigal, un gros fabricant, qui
26    1,     XIV|          Paul Violaine.~ ~ ~ ~Si M. Martin-Rigal détestait l’homme choisi
27    1,     XIV|            il n’apercevait pas Mlle Martin-Rigal.~ ~ ~ ~Le dîner était pour
28    1,     XIV|     indifférence parfaite.~ ~ ~ ~M. Martin-Rigal ne s’attendait certes ni
29    1,     XIV|            l’un près de l’autre, M. Martin-Rigal et le docteur Hortebize
30    1,   XVIII|           francs la signature de M. Martin-Rigal, ce banquier dont vous m’
31    1,   XVIII|          secret. Mène-le dîner chez Martin-Rigal, et trouve un prétexte pour
32    1,     XXI|             l’avait conduit chez M. Martin-Rigal, où ils avaient dîné, bien
33    1,     XXV|        passaient exactement chez M. Martin-Rigal. Le docteur jouait avec
34    1,     XXV|          pas à une lieue de chez M. Martin-Rigal.~ ~ ~– Partons donc !… s’
35    1,     XXV|          puis être interrogé par M. Martin-Rigal, par Mlle Flavie…~ ~ ~–
36    1,   XXVII|       fit-il, de vos succès chez M. Martin-Rigal. Outre que vous plaisez
37    2,     XIX|          est le voisin de notre ami Martin-Rigal, un certain Lecoq…~ ~ ~ ~
38    2,      XX|      devenue amoureuse de lui, Mlle Martin-Rigal. »~ ~ ~Catenac devait bien
39    2,      XX|            chez notre excellent ami Martin-Rigal, et vous trouverez là… notre
40    2,   XXIII|           perdre, aujourdhui même, Martin-Rigal et Mascarot…~ ~ ~ ~André
41    2,   XXIII|          paraphe, c’est celui de M. Martin-Rigal, le banquier de la rue Montmartre… »
42    2,   XXIII| arriverait-il si on présentait à M. Martin-Rigal cette fausse signature ?~ ~ ~–
43    2,   XXIII|             Klopen le couturier, et Martin-Rigal le banquier.~ ~ ~ ~Or, comment
44    2,   XXIII|         précisément la signature de Martin-Rigal, et pourquoi avait-il tout
45    2,    XXIV|            signés Gandelu, endossés Martin-Rigal… Je les tenais de la Société
46    2,     XXV|            que demeure le banquierMartin-Rigal.~ ~ ~ ~Il entra à son tour,
47    2,  XXVIII|        Flavie, la fille du banquier Martin-Rigal.~ ~ ~ ~D’un seul coup d’
48    2,  XXVIII|         détestable vaniteux, que M. Martin-Rigal passe sa vie dans son cabinet.
49    2,  XXVIII|           simplement dire que si M. Martin-Rigal s’avisait à cette heure
50    2,    XXIX|            était l’intime ami de M. Martin-Rigal, et par contre, le protecteur
51    2,    XXIX|           dire que la place de Mlle Martin-Rigal n’est pas ici…~ ~ ~– Je
52    2,    XXIX|           dans l’allée de la maison Martin-Rigal.~ ~ ~– Ma foi !… grommelait-il,
53    2,    XXIX|            Sabine.~ ~ ~ ~Lorsque M. Martin-Rigal sorti de son bureau ce soir-là,
54    2,     XXX|        Klopen, Mascarot, Hortebize, Martin-Rigal…~ ~ ~ ~Soumettant à la plus
55    2,    XXXI|           imiter la signature de M. Martin-Rigal. Et qu’avez-vous répondu ?…~ ~–
56    2,   XXXII|             au Tantaine, oui, et au Martin-Rigal aussi. L’idée d’une porte
57    2,  XXXIII|         entrer dans la maison de M. Martin-Rigal.~ ~ ~ ~Deux femmes causaient
58    2,  XXXIII|             à deux pas de la maison Martin-Rigal.~ ~ ~ ~Mais les heures volaient,
59    2,   XXXIV|       transporta dans le cabinet de Martin-Rigal, le banquier, tous les papiers
60    2,   XXXIV|         plus de vingt ans, celle de Martin-Rigal, le père de la capricieuse
61    2,   XXXIV|         Mascarot, – c’est-à-dire de Martin-Rigal, – fut de courir à son cabinet,
62    2,   XXXIV|          répondit le docteur.~ ~ ~ ~Martin-Rigal s’était levé, ivre de témérité
63    2,   XXXIV|                D’autre part, reprit Martin-Rigal, j’ai vu Catenac, de retour
64    2,   XXXIV|         horriblement laid…~ ~ ~ ~M. Martin-Rigal, à ces mots, se dressa si
65    2,   XXXIV|              Malheureuse !… s’écria Martin-Rigal, pauvre malheureuse !…~ ~ ~
66    2,   XXXIV|          heure sont inutiles…~ ~ ~ ~Martin-Rigal était consterné.~ ~ ~– C’
67    2,   XXXIV|        rougit de plaisir le jourMartin-Rigal lui dit :~ ~ ~– Rassemblez
68    2,   XXXIV|         Mais sur cette proposition, Martin-Rigal éleva des objections.~ ~ ~ ~
69    2,   XXXIV|            lendemain, déjeuner chez Martin-Rigal, et que, après le repas,
70    2,   XXXIV|                  En effet, répondit Martin-Rigal, je vais envoyer.~ ~ ~ ~
71    2,   XXXIV|    attendant, je vous arrête, vous, Martin-Rigal, autrement dit Tantaine,
72    2,   XXXIV|         reste plus sur les mains de Martin-Rigal une seule goutte du sang
73    2,   XXXIV|          main.~ ~ ~ ~L’œil fixé sur Martin-Rigal, il attendait, pour désespérer,
74    2,   XXXIV|           avocat se précipitait sur Martin-Rigal.~ ~ ~– Misérable, hurlait-il,
75    2,   XXXIV|        place de l’ancienne issue de Martin-Rigal, un trou assez étroit par
76    2,   XXXIV|        attendait dans la rue.~ ~ ~ ~Martin-Rigal semblait frappé d’imbécillité.
77    2,    XXXV|     poursuivit :~ ~ ~– La raison de Martin-Rigal n’a pas résisté à la catastrophe.
78    2,    XXXV|           autrement terrible.~ ~ ~– Martin-Rigal fou !… murmura André.~ ~ ~–
79    2,    XXXV|          mes nasses. Les papiers de Martin-Rigal m’ont fourni des armes.
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