Partie,  Chap.

 1    1,      II|         fit le placeur. Vous ne pouvez rester à l’Hôtel du Pérou.
 2    1,       V|         M. de Clinchan, vous ne pouvez l’ignorer, monsieur le comte,
 3    1,       V|      voies judiciaires. Vous ne pouvez être ni recherché ni poursuivi
 4    1,       V|    chargé de vous dire que vous pouvez dormir tranquille, si vous
 5    1,      VI|         connais ?~ ~ ~– Vous ne pouvez le connaître, madame, il
 6    1,      VI|        la maîtresse.~ ~ ~– Vous pouvez tout sur votre mari, et
 7    1,       X|      argent…~ ~ ~– Suffit, vous pouvez compter sur moi.~ ~ ~ ~Elle
 8    1,       X|      votre âge, lorsque vous ne pouvez même vous douter de toutes
 9    1,       X|          et seul au monde, vous pouvez affirmer mon innocence,
10    1,       X|        de vous abandonner. Vous pouvez aller haut et loin !…~ ~ ~
11    1,      XI|       ouvrir un compte. Vous ne pouvez savoir ce dont une femme
12    1,     XVI|     mais je vous tiens. Vous ne pouvez rien contre moi que je ne
13    1,   XVIII|   définitif.~ ~ ~– Quoi !… vous pouvez croire…~ ~ ~– Chut !… vous
14    1,     XIX|        de jour et de nuit, vous pouvez compter sur Breulh-Faverlay…
15    1,    XXII| présentée.~ ~ ~« Ainsi que vous pouvez le croire, j’ai, de mon
16    1,   XXIII|        monstrueuse :~ ~ ~– Vous pouvez lâcher votre monnaie, le
17    1,    XXIV|         j’ai entrevu. Mais vous pouvez peut-être me sauver…~ ~ ~–
18    2,       I|       minoterie de Bivron… Vous pouvez vous retirer.~ ~ ~ ~Norbert
19    2,      VI|       un brin d’herbe ! Vous ne pouvez savoir avec quelle sollicitude
20    2,      XV|       avec un autre.~ ~ ~« Vous pouvez me croire, car je suis une
21    2,     XVI|       Vous êtes chez vous, vous pouvez prendre toutes les précautions
22    2,      XX|   importante, délicate, vous ne pouvez rien sans moi…~ ~ ~– Tu
23    2,    XXIV|       Eh bien !… monsieur, vous pouvez lui être fort utile.~ ~ ~ ~
24    2,    XXXV|         hésitation :~ ~ ~– Vous pouvez, je le sais, m’intenter
25    2,    XXXV|    vivement le duc, que vous ne pouvez aimer qu’une femme digne