Partie,  Chap.

 1    1,       I|       du banquet quotidien d’un million de convives il doit tomber
 2    1,       I|        le pain du pauvre est un million de fois plus précieux que
 3    1,     III|    prouverais qu’il a plus d’un million à lui.~ ~ ~ ~Les yeux de
 4    1,     III|   docteur pétillèrent.~ ~ ~– Un million !… murmura-t-il.~ ~ ~– Oui,
 5    1,     III|         si comme lui j’avais un million !…~ ~ ~Pendant ces dernières
 6    1,       V|         foncier me donnerait un million demain, rien que de mes
 7    1,       V|        fille qui aura près d’un million de dot. Leurs procédés à
 8    1,       X|     héritières qui apportent un million dans leur tablier à l’homme
 9    1,     XIV|        une fille qui possède un million est bien excusable d’essayer
10    1,     XVI|        de nous aurait près d’un million.~ ~ ~ ~Hortebize n’avait
11    1,   XVIII| sterling, au bas mot, plus d’un million. Le vieux Pam avait le défaut
12    1,   XVIII|     abord, et en second lieu le million de dot de Mlle Sabine, vous
13    1,     XXV|         Écoutez donc, il y a un million de dot.~ ~ ~ ~Sur cette
14    1,   XXVII|               Paul chancela. Le million de dot de Mlle Rigal venait
15    2,       I|       il faut à un Champdoce un million au moins, de revenu. Vous
16    2,       I|        l’entendez, mon fils, un million !…~ ~ ~Norbert ouvrait de
17    2,      VI|     Puymandour, j’irai jusqu’au million tout rond, c’est une somme
18    2,   XXVII|       amis aidant, de réunir un million… Je dis bien : un million !…
19    2,   XXVII|       million… Je dis bien : un million !… cinquante mille livres
20    2,    XXIX|      donnait à son héritière un million de dot ? Aucun, en apparence.~ ~ ~ ~
21    2,   XXXIV|      tenons pour tout près d’un million de promesses d’actions…~ ~ ~–
22    2,   XXXIV|    péril pour nous… Tu auras un million pour ta part, docteur.~ ~ ~ ~
23    2,   XXXIV| épiderme.~ ~ ~ ~Ce mot magique, million, lui dorait l’avenir d’éblouissants
24    2,   XXXIV|   éblouissants rayons.~ ~ ~– Un million !… quelle perspective infinie