Partie,  Chap.

 1    1,       I|      infect où vous couchez votre beauté.~ ~ ~« Un ravissant appartement –
 2    1,       I|       grands yeux noirs.~ ~ ~ ~Sa beauté, plus saisissante que celle
 3    1,     III|      cette Rose Pigoreau, dont la beauté a si fort émerveillé notre
 4    1,      IX|          belle ; mais comparer sa beauté à celle de Rose, comme l’
 5    1,      IX|      blasphème.~ ~ ~ ~Belle d’une beauté grossière et sensuelle,
 6    1,      IX|           d’un libertin.~ ~ ~ ~La beauté de Sabine était de celles
 7    1,      IX|           d’elle.~ ~ ~ ~Sa chaste beauté n’était pas de celle qui
 8    1,      XI|      augmentée par la surprenante beauté de Paul, cet adolescent
 9    1,      XI|        estimable placeur, mais sa beauté avait quelque chose de vif,
10    1,      XI|        toilette qui convient à la beauté de madame ?~ ~ ~ ~Van Klopen
11    1,   XXIII|        hommage à son esprit, à sa beauté… Propre à rien ! C’est aux
12    2,       I|          femme ! c’était sa seule beauté.~ ~ ~ ~Les durs travaux
13    2,     III|          était frappée de sa mâle beauté, de l’expression ardente
14    2,      IX|       être toute différente de la beauté de Mlle de Sauvebourg, la
15    2,      IX|         de Mlle de Sauvebourg, la beauté de Mlle Marie n’en était
16    2,      XI|          Mlle Diane, outre que sa beauté est surprenante, me paraît
17    2,     XVI|           sentiments donnait à sa beauté une expression sublime,
18    2,    XVII|        semblait transfigurée ; sa beauté n’était plus de cette terre,
19    2,     XXX|         jeune artiste, de sa mâle beauté, de l’expression énergique
20    2,     XXX|       peintres ont immortalisé la beauté de leur maîtresse.~ ~ ~ ~
21    2,    XXXI| défavorable à Rose. Son impudente beauté n’avait jamais eu un tel
22    2,   XXXIV|        bien jolie, mais jamais sa beauté n’avait rayonné comme en
23    2,   XXXIV|          prodiguer des trésors de beauté et d’amour… il se dira toujours
24    2,    XXXV|           prétend spéculer sur la beauté de sa femme, et vivre de