Partie,  Chap.

 1    1,       V|       pièce, et il lisait à la lueur des quatre bougies d’un
 2    1,      VI| lointain, tremblote la chétive lueur de l’espérance. Et on va
 3    1,    VIII|   murmura-t-il.~ ~ ~ ~Puis une lueur de raison éclairant sa folie,
 4    1,    XXIV|    suivre dans le vide quelque lueur chétive, à peine saisissable,
 5    1,   XXVII|       faible. Chétive était la lueur qui devait me guider. Un
 6    2,     III|       il n’osait. Une dernière lueur de raison éclairait le précipice
 7    2,      VI|   rentrer tant qu’il reste une lueur d’espoir.~ ~ ~ ~Elle partit
 8    2,    VIII|         il crut voir comme une lueur dans ses ténèbres.~ ~ ~–
 9    2,    VIII|               Une épouvantable lueur éclaira le duc.~ ~ ~ ~Ses
10    2,      IX|        étincelle de vie ou une lueur de raison.~ ~ ~ ~Trois jours
11    2,       X|    espéré une révélation d’une lueur dans les ténèbres, ou d’
12    2,      XV|        étaient éclairées d’une lueur pâle, chétive, mystérieuse.
13    2,    XVII|      ses os. Cette nuit, cette lueur vacillante, ces apprêts
14    2,   XVIII| consultation avaient donné une lueur d’espoir, mais elle était
15    2,   XVIII|      et il ne découvrait nulle lueur dans l’avenir ; il n’apercevait
16    2,     XIX|       méditations, jaillit une lueur petite, certes, et chétive,
17    2,     XIX|        chétive, mais enfin une lueur qui rompait la désolante
18    2,   XXIII|        il apercevait comme une lueur. Il allait s’élancer au
19    2,    XXIV|      en fut saisi. C’était une lueur soudaine qui éclairait le
20    2,   XXVII|        dont l’œil brilla d’une lueur d’espoir, pourquoi me parler
21    2,  XXXIII|     vit rapidement, comme à la lueur d’un éclair.~ ~ ~– Au moins,
22    2,  XXXIII| peintre revint à lui ; la pâle lueur d’une veilleuse éclairait