Tome,  Livre, Chap.

 1    1,    1,   4|       affreuse où sa présence jette l’âme, l’échafaud apparaît
 2    1,    2,   8| énormité des vagues.~ ~ ~ ~Il jette des cris désespérés dans
 3    1,    2,   8|   nuit sociale où la pénalité jette ses damnés. La mer, c’est
 4    1,    3,   2|     et les pierres qu’on leur jette. On les accable avec la
 5    1,    3,   7| infortunés qui sont veufs, je jette la proclamation sublime
 6    2,    1,   5|      moins vite l’eau qu’on y jette. On est obligé de reverser
 7    2,    1,  15|    titanique, Cambronne ne la jette pas seulement à l’Europe
 8    2,    1,  15| empire, ce serait peu ; il la jette au passé au nom de la révolution.
 9    2,    8,   4|       fait le signe de croix, jette l’eau bénite, et file. Je
10    3,    1,  12|    foulez aux pieds, qu’on le jette dans la fournaise, qu’il
11    3,    5,   1|        Creuset où la destinée jette un homme, toutes les fois
12    3,    8,   4|       moi ? Je crois qu’on me jette des pierres, je me sauve
13    4,    2,   1| éclaire aussi un peu, et nous jette quelque lueur utile au dehors.
14    4,    3,   7|   avec ce vague désespoir qui jette brusquement la sonde dans
15    4,    6,   2|  chiffons, nourri de ce qu’on jette. Voilà à quoi servait l’
16    4,    7,   4|     volcan qui aboutit et qui jette son pus, le globe ne meurt
17    4,   10,   2|  vision une satire énorme, et jette sur Rome-Ninive, sur Rome-Babylone,
18    4,   11,   2|      mes amis, ça chauffe, ça jette un petit bouillon, ça mijote.
19    4,   11,   2|  ordures sont minables. On ne jette plus rien. On mange tout.~ ~ ~–