Tome,  Livre, Chap.

 1    1,    2,   2|  commençant, respiraient une ineffable bonté. Elle avait toujours
 2    1,    2,  11|      et voilé d’un demi-jour ineffable. Cette lune dans le ciel,
 3    1,    5,  13|     quoi de réchauffant et d’ineffable qui était de la joie, de
 4    1,    7,   6|    et tout son visage devint ineffable. Ses lèvres remuaient ;
 5    1,    8,   1|  peine une sorte de sérénité ineffable, répandue sur son visage,
 6    1,    8,   4|     distinctement poindre un ineffable sourire sur ces lèvres pâles
 7    2,    4,   3| fondit en une sorte de lueur ineffable.~ ~ ~ ~C’était la deuxième
 8    2,    5,   6|     un bruit céleste, divin, ineffable, aussi ravissant que l’autre
 9    2,    8,   9|   des miasmes, de l’autre un ineffable parfum. D’un côté une peste
10    3,    6,   1|  elle des yeux remplis d’une ineffable paternité.~ ~ ~ ~Marius
11    3,    6,   4|  crêpe. Il entendit une voix ineffable qui devait être « sa voix ».
12    4,    3,   5|     rehaussée de naïveté est ineffable, et rien n’est adorable
13    4,    5,   4|   intensité même la félicité ineffable que l’amour donne à l’âme
14    4,    5,   6|   point. À je ne sais quoi d’ineffable et de triste qui l’enveloppait,
15    4,    8,   1|     par une âme. C’était cet ineffable premier embrassement de
16    4,    8,   1|    subtil parfum céleste, un ineffable gazouillement de cœur à
17    4,    8,   3|     dont se composait ce nom ineffable, Cosette. L’amour vrai est
18    4,    8,   7|     plus rien qu’une rude et ineffable bonhomie. L’aïeul avait