Tome,  Livre, Chap.

 1    1,    1,  13|         D’ailleurs, de certaines natures étant données, nous admettons
 2    1,    2,   3|   expression de gaîté propre aux natures hospitalières :~ ~ ~– À
 3    1,    2,   6|         ce qui est le propre des natures affectueuses. Somme toute,
 4    1,    2,   7|       phases successives que les natures d’une certaine trempe peuvent
 5    1,    4,   2|                 C’étaient de ces natures naines qui, si quelque feu
 6    1,    4,   3|          francs.~ ~ ~ ~Certaines natures ne peuvent aimer d’un côté
 7    2,    3,   8|        devant l’homme.~ ~ ~ ~Les natures grossières ont cela de commun
 8    2,    3,   8|          cela de commun avec les natures naïves qu’elles n’ont pas
 9    2,    3,  10|      Thénardier était une de ces natures doubles qui passent quelquefois
10    3,    1,   5|      bizarre et composée de deux natures, qui entoure certaines grandes
11    3,    2,   8|         perdu. C’est le fait des natures passives. Elle n’avait jamais
12    3,    5,   1|               De fermes et rares natures sont ainsi créées ; la misère,
13    3,    8,  20|     danger, semblait être de ces natures qui sont courageuses comme
14    3,    8,  20|       Chez les grandes et hautes natures les révoltes de la chair
15    4,    8,   1|          perdue ; car il y a des natures généreuses qui se livrent,
16    4,   10,   1| entraînant avec elle les grandes natures et les chétives, l’homme